Une dénonciation qui appelle une épuration
Quand le PS ne retrouve pas sa tondeuse
Avec Pétain, c'est François Mitterrand, à droite
Et ce n'est pas une comparaison hasardeuse...
Mais une réalité historique
Mr Cambadélis !
François Hollande avait pris son temps pour remettre la main dessus
=> Le Premier secrétaire du PS n'est pas très réactif. François Hollande attendit en effet le 28 février 2006, pour suspendre Frêche des instances nationales du parti, après qu'il ait qualifié les harkis de « sous-hommes » (11 février 2006), en attendant son passage devant la commission nationale des conflits. Lire PaSiDupes
Mis en examen en mars 2006 pour injures à caractère racial, Frêche fut relaxé le 13 septembre 2007 par laCour d'appel qui estima que « les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté harkie mais à deux individus »...
Le 16 novembre 2006, la Ligue des Droits de l'Homme de Toulon s'était vainement fendue d'un communiqué:
« Après avoir traité les harkis de sous-hommes, M. Georges Frêche vient de recommencer en s’en prenant à d’autres personnes en raison, cette fois, de la couleur de leur peau. En trouvant qu’il y a trop de noirs en équipe de France de football, M. Frêche voit une couleur là où il ne devrait voir que le talent et la nationalité. En distinguant les joueurs de l’équipe de France de football selon la couleur de leur peau, M. Frêche rejoint les déclarations de M. Le Pen au moment de la coupe du monde de football de 1998.
La LDH condamne ces propos qui lui paraissent incompatibles avec l’appartenance de M. Frêche à un parti politique démocratique qui combat le racisme. Il appartient à ce parti de tirer toutes les conséquences des dévoiements répétés de M. Georges Frêche. »
Dans son édition du 10 au 16 février 2007 ( n° 512), l'hebdomadaire "Marianne" évoque sa condamnation dans l'affaire des harkis traités de "sous-hommes" :
" Georges Frêche assure que sa condamnation dans l'affaire des harkis traités de "sous-hommes" et son exclusion du Parti socialiste ne présente que des avantages : "je perds un point à gauche, j'en gagne dix à droite".
=> Quoi d'étonnant à ce que l'affreux Jojo Frêche récidive donc dans l'émission de Laurent Ruquier, On n'est pas couché du 17 novembre 2007.
Il y dénonça cette fois le trop grand nombre de Noirs dans l'équipe de France de football: « neuf blacks sur onze » alors que, selon lui, « la normalité serait qu’il y en ait trois ou quatre ». A l'évidence « les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté de couleur dans son ensemble mais à neuf individus » et ça ne compte donc pas. L'avis de la LDH non plus.
Il n'avait été exclu du Parti socialiste que dix mois pus tôt, le 27 janvier 2007 par la commission nationale des conflits, qui estima ses propos « non compatibles avec les valeurs d'égalité et de respect des droits humains » que revendiquent pourtant ce parti. Lire PaSiDupes
Cynisme et impudence
Sa Cynique Majesté Royal qui fait des risettes aux Blacks et aux Beurs et fait mine de fustiger son compère (Lire PaSiDupes ) est venue soutenir son ami Georges Frêche sur France-Inter, le 18 novembre 2008 : «Il y a eu beaucoup d'injustice à l'égard des déclarations de Georges Frêche, (...).C'est un élu important, c'est un maire qui a transformé la ville de Montpellier, c'est un homme cultivé, c'est un homme intelligent ». Et ça se voit !
=> Georges Frêche assura d'ailleurs qu'il était victime d'un lynchage médiatique « des media de gauche », comme si elle était capable de tant de bassesse.
Le lynchage médiatique de Besson par « des media de gauche » n'est-il davantage plausible ?
Le Président Mitterrand serrant la main du Président de la République populaire de Chine:
divagation politicienne
ou montage photographique
Mr Kostas Cambadélis ?
Quand le PS ne retrouve pas sa tondeuse
Et ce n'est pas une comparaison hasardeuse...
Mais une réalité historique
Mr Cambadélis !
François Hollande avait pris son temps pour remettre la main dessus
=> Le Premier secrétaire du PS n'est pas très réactif. François Hollande attendit en effet le 28 février 2006, pour suspendre Frêche des instances nationales du parti, après qu'il ait qualifié les harkis de « sous-hommes » (11 février 2006), en attendant son passage devant la commission nationale des conflits. Lire PaSiDupes
Mis en examen en mars 2006 pour injures à caractère racial, Frêche fut relaxé le 13 septembre 2007 par laCour d'appel qui estima que « les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté harkie mais à deux individus »...
Le 16 novembre 2006, la Ligue des Droits de l'Homme de Toulon s'était vainement fendue d'un communiqué:
« Après avoir traité les harkis de sous-hommes, M. Georges Frêche vient de recommencer en s’en prenant à d’autres personnes en raison, cette fois, de la couleur de leur peau. En trouvant qu’il y a trop de noirs en équipe de France de football, M. Frêche voit une couleur là où il ne devrait voir que le talent et la nationalité. En distinguant les joueurs de l’équipe de France de football selon la couleur de leur peau, M. Frêche rejoint les déclarations de M. Le Pen au moment de la coupe du monde de football de 1998.
La LDH condamne ces propos qui lui paraissent incompatibles avec l’appartenance de M. Frêche à un parti politique démocratique qui combat le racisme. Il appartient à ce parti de tirer toutes les conséquences des dévoiements répétés de M. Georges Frêche. »
Dans son édition du 10 au 16 février 2007 ( n° 512), l'hebdomadaire "Marianne" évoque sa condamnation dans l'affaire des harkis traités de "sous-hommes" :
" Georges Frêche assure que sa condamnation dans l'affaire des harkis traités de "sous-hommes" et son exclusion du Parti socialiste ne présente que des avantages : "je perds un point à gauche, j'en gagne dix à droite".
=> Quoi d'étonnant à ce que l'affreux Jojo Frêche récidive donc dans l'émission de Laurent Ruquier, On n'est pas couché du 17 novembre 2007.
Il y dénonça cette fois le trop grand nombre de Noirs dans l'équipe de France de football: « neuf blacks sur onze » alors que, selon lui, « la normalité serait qu’il y en ait trois ou quatre ». A l'évidence « les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté de couleur dans son ensemble mais à neuf individus » et ça ne compte donc pas. L'avis de la LDH non plus.
Il n'avait été exclu du Parti socialiste que dix mois pus tôt, le 27 janvier 2007 par la commission nationale des conflits, qui estima ses propos « non compatibles avec les valeurs d'égalité et de respect des droits humains » que revendiquent pourtant ce parti. Lire PaSiDupes
Cynisme et impudence
Sa Cynique Majesté Royal qui fait des risettes aux Blacks et aux Beurs et fait mine de fustiger son compère (Lire PaSiDupes ) est venue soutenir son ami Georges Frêche sur France-Inter, le 18 novembre 2008 : «Il y a eu beaucoup d'injustice à l'égard des déclarations de Georges Frêche, (...).C'est un élu important, c'est un maire qui a transformé la ville de Montpellier, c'est un homme cultivé, c'est un homme intelligent ». Et ça se voit !
=> Georges Frêche assura d'ailleurs qu'il était victime d'un lynchage médiatique « des media de gauche », comme si elle était capable de tant de bassesse.
Le lynchage médiatique de Besson par « des media de gauche » n'est-il davantage plausible ?
divagation politicienne
ou montage photographique
Mr Kostas Cambadélis ?
Parce qu'Eric Besson envisage de saisir la justice, Jean-Christophe Cambadélis persiste et signe dans sa comparaison entre le ministre de l'Immigration et Pierre Laval, collaborateur de l'occupant nazi.
"J'ai simplement dit qu'Eric Besson avait, dans son ressort, le même que Laval, à savoir, un homme très intelligent, qui n'avait pas été reconnu par son camp", a banalisé Jean-Christophe Cambadélis sur Public Sénat, jeudi 7 janvier.
Isolé dans son camp, il a cette fois comparé E. Besson à Ph. Séguin en rendant hommage au président de la Cour des comptes décédé dans la nuit de mercredi à jeudi. "Comme il n'avait pas été reconnu dans son camp, il est passé dans le camp adversaire, il est passé de brillantissime de gauche, à la droite, ce que n'aurait jamais fait Philippe Séguin".
Comble d'inconscience, le brillantissime Kostas nota que Philippe Séguin " respectait ses adversaires ".
Parce qu'Eric Besson, ancien membre de la direction du Parti socialiste et député, a profité de la politique d'ouverture de Nicolas Sarkozy pour mettre ses compétences au service de la nation et sans doute encouragé par la campagne médiatique de harcèlement contre le ministre, l'intelligent Cambadélis a ajouté que, selon lui, "on ne peut pas dire que Besson soit du même bois". Jack Lang et Michel Rocard se rendent également utiles, mais ne bénéficient pas du même acharnement de la part de Cambadélis. Ce courageux apparatchik socialiste oisif, dont on ne sait pas au juste quel est l'apport au PS, s'en prendrait-il plus facilement aux valeurs montantes de sa génération qu'aux anciens qui n'ont plus rien à prouver?
La position de Cambadélis face à Jojo Frêche n'a pas marqué les esprits
"J'ai simplement dit qu'Eric Besson avait, dans son ressort, le même que Laval, à savoir, un homme très intelligent, qui n'avait pas été reconnu par son camp", a banalisé Jean-Christophe Cambadélis sur Public Sénat, jeudi 7 janvier.
Isolé dans son camp, il a cette fois comparé E. Besson à Ph. Séguin en rendant hommage au président de la Cour des comptes décédé dans la nuit de mercredi à jeudi. "Comme il n'avait pas été reconnu dans son camp, il est passé dans le camp adversaire, il est passé de brillantissime de gauche, à la droite, ce que n'aurait jamais fait Philippe Séguin".
Comble d'inconscience, le brillantissime Kostas nota que Philippe Séguin " respectait ses adversaires ".
Parce qu'Eric Besson, ancien membre de la direction du Parti socialiste et député, a profité de la politique d'ouverture de Nicolas Sarkozy pour mettre ses compétences au service de la nation et sans doute encouragé par la campagne médiatique de harcèlement contre le ministre, l'intelligent Cambadélis a ajouté que, selon lui, "on ne peut pas dire que Besson soit du même bois". Jack Lang et Michel Rocard se rendent également utiles, mais ne bénéficient pas du même acharnement de la part de Cambadélis. Ce courageux apparatchik socialiste oisif, dont on ne sait pas au juste quel est l'apport au PS, s'en prendrait-il plus facilement aux valeurs montantes de sa génération qu'aux anciens qui n'ont plus rien à prouver?
La position de Cambadélis face à Jojo Frêche n'a pas marqué les esprits
-> Jack Lang: le président de la région Languedoc-Roussillon n'est "pas digne d'être aujourd'hui membre du Parti socialiste". "J'ai honte pour Georges Frêche", tonne même l'ancien ministre sur RTL.
-> Bertrand Delanoë, Harlem Désir ou Benoit Hamon, avaient d'ailleurs estimé que Georges Frêche "n'avait plus rien à faire au PS" en novembre 2006.
-> St Just-Montebourg, le président du conseil général de Saône-et-Loire, est intransigeant." A titre personnel, au nom des combats pour les valeurs que j'ai toujours défendues (...), il me paraît indéfendable et pour tout dire inacceptable que le Parti socialiste soutienne d'une manière directe ou indirecte la candidature de Monsieur Georges Frêche".
-> Bertrand Delanoë, Harlem Désir ou Benoit Hamon, avaient d'ailleurs estimé que Georges Frêche "n'avait plus rien à faire au PS" en novembre 2006.
-> St Just-Montebourg, le président du conseil général de Saône-et-Loire, est intransigeant." A titre personnel, au nom des combats pour les valeurs que j'ai toujours défendues (...), il me paraît indéfendable et pour tout dire inacceptable que le Parti socialiste soutienne d'une manière directe ou indirecte la candidature de Monsieur Georges Frêche".
-> Mais Vincent Peillon, le député européen et responsable du courant L'Espoir à gauche, est celui qui a été le plus amoral. "Je l'ai toujours soutenu, c'est un ami personnel", dit-il sur France Info.
->La gelée Royal fait volte-face
En janvier 2007, tout juste intronisée candidate officielle du PS pour la présidentielle de 2007, l'amère Royal lâcha le président de son comité de soutien régional et demanda qu'il soit exclu du PS.
En 2008, dans un entretien au Parisien, la promotrice de la "république du respect" fit machine arrière et déclare avec légèreté. "Il s'est excusé pour cette phrase, que je trouve extrêmement regrettable, sur l'équipe de France de football. Si les partenaires n'ont plus que cet argument en fin de campagne, c'est bon signe sur ce qui va se passer dans les urnes [pour les élections à la tête du PS]."
Il pourrait réintégrer le PS après les Régionales....
Lire PaSiDupes
Indulgente, la justice encourage-t-elle les « dérapages» de Frêche?
Frêche, chassé du PS, mais pour quel motif ?
La Commission nationale des conflits du Parti Socialiste, réunie le 27 janvier 2007 à la demande du Bureau National du Parti (cf. ci-dessus), a jugé que « que, sans conteste, ces propos au-delà de leur caractérisation pour le droit, ne sont pas compatibles avec les valeurs d’égalité et de respect des Droits humains qui fondent depuis toujours l’engagement du Parti Socialiste , mais ne condamnait pas les insultes que l'on croit, mais ceux tenus par Georges Frêche le 14 novembre 2007 lors d’une séance du conseil d’agglomération de Montpellier, à l'encontre d'un camarade socialiste.
A propos du racisme socialiste, voir le cas Manuel Valls et relire PaSiDupes pour en savoir plus sur ces valeurs d'égalité et de respect dont ils nous parlent à propos "des whites, des blacks des biancos" et d'identité nationale.
=> En décembre 2009, une nouvelle controverse apparaît, après qu'une plainte a été déposée par le fils d'un ancien prisonnier de guerre contre Georges Frêche, auteur d'un nouveau « dérapage » sans gravité aucune. Le candidat Divers Gauche, protégé par le PS pour tenter de conserver la région Languedoc-Rousillon en mars prochain, avait déclaré en septembre 2009 : « Les Allemands ont fait deux millions de prisonniers partis en villégiature s'occuper des Gretchen, pendant que leurs maris étaient en peine sur le front russe ». Après
Attendons-nous à ce que, les Régionales passées, la justice juge que « les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté des prisonniers de guerre dans son ensemble » , mais à quelques vacanciers privilégiés et infidèles du Club Med nazi ?
=> Octobre 2008
Georges Frêche a menacé, en plein conseil d’agglomération, le maire socialiste de Saint-Jean de Védas (Hérault), Jacques Atlan, de lui "couper les couilles"!
Le malheureux avait osé tenir tête à l'odieux président PS de la région Languedoc-Roussillon, en refusant de soutenir une liste imposée par la rue de Solférino…Cet épisode montre comment celui qui est surnommé "Georges le sécateur" par la presse satirique locale, traite ceux qui osent penser différemment dans "SON" agglomération (sic). A Montpellier, les opposants, même socialistes, font chaque matin le compte !
La Ch'tite Aubry et l'amère Royal n'ont rien à craindre.
->La gelée Royal fait volte-face
En janvier 2007, tout juste intronisée candidate officielle du PS pour la présidentielle de 2007, l'amère Royal lâcha le président de son comité de soutien régional et demanda qu'il soit exclu du PS.
En 2008, dans un entretien au Parisien, la promotrice de la "république du respect" fit machine arrière et déclare avec légèreté. "Il s'est excusé pour cette phrase, que je trouve extrêmement regrettable, sur l'équipe de France de football. Si les partenaires n'ont plus que cet argument en fin de campagne, c'est bon signe sur ce qui va se passer dans les urnes [pour les élections à la tête du PS]."
Il pourrait réintégrer le PS après les Régionales....
Lire PaSiDupes
Indulgente, la justice encourage-t-elle les « dérapages» de Frêche?
Frêche, chassé du PS, mais pour quel motif ?
La Commission nationale des conflits du Parti Socialiste, réunie le 27 janvier 2007 à la demande du Bureau National du Parti (cf. ci-dessus), a jugé que « que, sans conteste, ces propos au-delà de leur caractérisation pour le droit, ne sont pas compatibles avec les valeurs d’égalité et de respect des Droits humains qui fondent depuis toujours l’engagement du Parti Socialiste , mais ne condamnait pas les insultes que l'on croit, mais ceux tenus par Georges Frêche le 14 novembre 2007 lors d’une séance du conseil d’agglomération de Montpellier, à l'encontre d'un camarade socialiste.
A propos du racisme socialiste, voir le cas Manuel Valls et relire PaSiDupes pour en savoir plus sur ces valeurs d'égalité et de respect dont ils nous parlent à propos "des whites, des blacks des biancos" et d'identité nationale.
=> En décembre 2009, une nouvelle controverse apparaît, après qu'une plainte a été déposée par le fils d'un ancien prisonnier de guerre contre Georges Frêche, auteur d'un nouveau « dérapage » sans gravité aucune. Le candidat Divers Gauche, protégé par le PS pour tenter de conserver la région Languedoc-Rousillon en mars prochain, avait déclaré en septembre 2009 : « Les Allemands ont fait deux millions de prisonniers partis en villégiature s'occuper des Gretchen, pendant que leurs maris étaient en peine sur le front russe ». Après
Attendons-nous à ce que, les Régionales passées, la justice juge que « les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté des prisonniers de guerre dans son ensemble » , mais à quelques vacanciers privilégiés et infidèles du Club Med nazi ?
=> Octobre 2008
Georges Frêche a menacé, en plein conseil d’agglomération, le maire socialiste de Saint-Jean de Védas (Hérault), Jacques Atlan, de lui "couper les couilles"!
Le malheureux avait osé tenir tête à l'odieux président PS de la région Languedoc-Roussillon, en refusant de soutenir une liste imposée par la rue de Solférino…Cet épisode montre comment celui qui est surnommé "Georges le sécateur" par la presse satirique locale, traite ceux qui osent penser différemment dans "SON" agglomération (sic). A Montpellier, les opposants, même socialistes, font chaque matin le compte !
La Ch'tite Aubry et l'amère Royal n'ont rien à craindre.
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