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jeudi 7 novembre 2019

Avec leur campagne politique de victimisation, les musulmans radicalisés fracturent la gauche

Qu'en pensent l'IFOP et ses clients, la Fondation Jean-Jaurès et la Dilcrah, dénonciateurs d'une discrimination par les mécréants français ?

Les musulmans radicaux en France ont orchestré une contre-offensive pour se présenter en Français sincères et pourtant discriminés et agressés


Il fallait le dire,
mais il reste à le démontrer




Des mosquées ont été visées (comme à Bayonne), mais aussi des églises (à Oloron-Sainte-Marie, la cathédrale a été forcée à la voiture-bélier: lien PaSiDupes) et des cimetières (le dernier à Cognac : lien PaSiDupes) ont aussi été vandalisés et des objets de culte ont été profanés à l'occasion de la Toussaint. 

Tandis que les chrétiens font le dos rond,
les musulmans développent une campagne victimaire.
La Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l'Antisémitisme et la Haine anti-LGBT (Dilcrah), dont les moyens de fonctionnement sont désormais pris en charge par les services du premier ministre, financés par l'impôt, et les socialistes de la Fondation Jean-Jaurès (qui reçoit des dons et legs de particuliers et des subventions d'entreprises) ont pu financer une enquête de l'IFOP qui n'a pas refusé leur clientèle. 
Dimanche 10 novembre, se tiendra à Paris une marche contre l'islamophobie pour lutter contre la stigmatisation des musulmans. Le collectif contre l'islamophobie en France est à l'origine de la manifestation, relayée par une cinquantaine de personnalités dans une tribune. Problème, des "personnalités" de gauche ont exprimé des réticences et se sont pour certaines retirées (lien PaSiDupes)

A côté de Frédéric Potier (Dilcrah), la 
secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes d'abord et les hommes ensuite et de la Lutte contre les discriminations, Marlène Schiappa, appelle  à combattre tous les racismes et à défendre "la communauté nationale". Ce jeune préfet à la tête de la Dilcrah établit pourtant un amalgame entre antisémitisme islamiste et extrême droite. 
Ce "Monsieur Antiracisme" du gouvernement mélange banalisation des slogans antisémites parmi les Gilets jaunes, fourvoiement d'une certaine gauche, mais aussi les inquiétantes migrations internes des populations juives en France, qui sont chassées de Seine-Saint-Denis en France pour le centre de Paris ou Bordeaux et Israël.



Marlène Schiappa et Frédéric Potier appellent à combattre tous les racismes et à défendre "la communauté nationale".
Marlène Schiappa et Frédéric Potier appellent à combattre tous les racismes et à défendre "la communauté nationale". (Sipa)

Mais Edouard Philippe sent-il grandir la menace de l'islam poilitique.
Le premier ministre y voit du "communautarisme". Invité de BFMTV,  l'Edouard a dénoncé la démarche d’une partie des organisateurs du rassemblement prévu dimanche à Paris.

Alors que plusieurs responsables de gauche - parmi lesquels Jean-Luc Mélenchon et ses camarades LFI, l’écologiste Yannick Jadot, ou encore l’ancien ministre Benoît Hamon, monsieur 6% à la présidentielle -, avaient initialement ratifié ce texte, certains s’en sont finalement désolidarisés de cette tribune au vu du profil sulfureux de quelques-uns des autres signataires : ainsi François Ruffin a-t-il annoncé mercredi matin sur France Inter qu’il ne faudra pas compter sur lui : "Je n’irai pas dimanche, je joue au foot", a expliqué le député de La France Insoumise...
Certains initiateurs de la tribune publiée par... Libération le 1er novembre et de la manifestation de dimanche, dont le très controversé Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF), mettent mal à l’aise une partie de la gauche. 

Le PS a décidé mardi soir de ne pas participer. A la différence de Benoît Hamon, il ne partage pas l’avis des signataires dénonçant des "lois liberticides" qui sont votées "depuis des années" à l’encontre des musulmans. Le PS a également souligné que "la laïcité garantit la liberté de conscience et la liberté religieuse à chacune et chacun, comme le droit de critiquer les religions".
Certains socialistes, à l’instar du sénateur PS du Val-d'Oise Rachid Temal, ex-secrétaire national intérimaire du Parti socialiste, jugent en revanche "nécessaire" l’organisation "d’une grande manifestation pour la République".

"Moi, ce que je sais, c’est qu’un certain nombre - peut-être pas tous..., mais un certain nombre de ceux qui appellent à manifester dimanche me paraissent s’inscrire dans une logique de communautarisme qui n’est pas du tout ce à quoi je crois et qui est une logique que je combats politiquement, démocratiquement, légalement, avec toute ma force", a martelé Edouard Philippe.

Depuis l'attaque à la préfecture de Paris, dans laquelle un fonctionnaire de police converti et fanatisé a assassiné quatre de ses collègues, une vigilance renforcée a été mise en place pour repérer les fonctionnaires radicalisés en France. 

Un surveillant de prison connu pour sa radicalisation travaillait au Tribunal de Grande Instance (TGI) de Paris

Affecté depuis quelques mois à "la souricière", où sont accueillis les détenus en attente de leur jugement, un fonctionnaire du ministère de la Justice a été exfiltré, apprend-on "une quinzaine de jours" plus tard, en sorte qu'il ne soit plus en contact direct avec des détenus, révèlent ce jeudi 7 novembre Franceinfo et Le Figaro. Et qu'il ne favorise pas les fuites de détenus de sa communauté...

L'exfiltration a été exigée par le procureur de Paris, Rémy Heitz, soi-même. Pour l'exemple ! Et la presse s'en fait d'ailleurs largement l'écho. La direction interrégionale de l'administration pénitentiaire a ainsi discrètement muté l'agent dans des services administratifs "sans lien direct et habituel avec des personnes détenues".

Le fonctionnaire sans visage était déjà connu pour son fondamentalisme islamiste et faisait l'objet d'une surveillance du renseignement pénitentiaire avant même d'être nommé au TGI. 
Rémy Heitz aurait demandé une attention accrue sur ces dérives et exigé un criblage plus serré sur le recrutement et les profils des agents amenés à travailler au tribunal.

VOIR et ENTENDRE les chiffres fournis par le préfet de police :
Depuis l'attaque criminelle au coeur même de la préfecture de Paris le 3 octobre dernier, le repérage des fonctionnaires radicalisés s'est accru. 
Depuis cette date, il y aurait eu "33 signalements" pour soupçons de radicalisation, a indiqué le préfet de police Didier Lallement. Au total, la préfecture de police examine 48 cas - et non 27, comme évoqué dans la presse -, a-t-il précisé. "Sur l'ensemble des signalements, il y en a douze qui ont amené à désarmer les agents, dont sept depuis le 3 octobre", a détaillé le préfet. "J'ai depuis le 3 octobre demandé trois suspensions (de fonctionnaires) au directeur général de la police nationale.
Il y en a une sur laquelle "j'ai eu une notification de la suspension", a précisé le préfet Didier Lallement.

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