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jeudi 18 juillet 2013

SNCF: à Brétigny, la thèse du sabotage se précise

Un précédent déraillement le 12 juillet

Le 15 juillet 2013 en Gare de Bondy (Seine-Saint-Denis), des agents de la SNCF inspectent et resserrent si besoin les éclisses des aiguillages des voies ferrées après l’accident ferroviaire de Bretigny-sur-Orge.Les malveillances qu'on nous dssimule

La SNCF a eu à connaître un autre acte de malveillance dans une gare de la Haute-Vienne
, le jour du déraillement du train Paris-Limoges. Même mode opératoire: le démontage d'une "éclisse", la même pièce qu'à Brétigny-sur-Orge, où les investigations sur les circonstances du drame suivent leur cours.
L'intuition d'un attentat grandit avec ce nouvel élément venu s'ajouter à différentes enquêtes, l'une judiciaire, les deux autres administratives, se poursuivent sur les causes du déraillement du train Paris-Limoges, le 12 juillet, en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne). 

L'information a filtré: le même jour et toujours sur l'axe Paris-Limoges, un autre acte de malveillance a été commis dans le département de la Haute-Vienne, de l'autre côté, à la gare de triage de Saint-Sulpice Laurière. Une locomotive haut-le-pied, qui circulait donc sans wagons de voyageurs et, semble-t-il à vitesse réduite, a déraillé sans  se coucher sur le côté. D'après des technciens de la SNCF, l'acte de malveillance ne fait aucun doute, des éclisses (lourdes pièces d'acier) et des boulons ayant été démontés et retrouvés sur le bas-côté. De bonne source, on indique également que les autorités locales ont été prévenues et qu'une plainte a été déposée à la gendarmerie, qui a effectué les premières constatations sur place. 

Le service de communication de la SNCF confirme être "au courant" de cet incident 

Mais la SNCF ne souhaite pas le commenter
, dans la mesure où une enquête de la gendarmerie est cours. Dans l'affaire de Brétigny-sur-Orge, le mauvais positionnement d'une éclisse est à l'origine du drame (6 morts, une trentaine de blessés).
Après les attaques à répétition de caténaires des années 2008-2009 (cf. libellé "caténaire(s), rien ne permet encore de conclure, à ce stade des investigations, à un sabotage...  
Ni à l'intention criminelle et à la récidive. Pourvu donc que la série ne continue pas...
-  "Arrachage de caténaire dans le Var: une pure malchance ? "


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