Le tabou de l'immigration plombe les Français et donne des ailes au FN
Une étude de l’INSEE fait apparaître que les prestations sociales assurent 21% des revenus des immigrés, contre 5,1% pour les non-immigrés et 5,4% pour les immigrés qui viennent d’Europe.
Sujet tabou de la gauche levé pour les Français
Ces prestations « sociales » ont un coût pour les actifs français que Contribuables Associés est l’un des seuls à avoir déjà calculé bien avant. Lien
Ce coût est de 30,4 milliards d’euros, soit près de 500 euros annuels par personne résidant en France, personnes non-imposables y compris. Le seuil du « cliché » est largement dépassé.
La journaliste de La Tribune Valérie Segond a publié le 25.03.2011 une analyse sur le Front national et les causes de sa montée (lien).
Elle l'attribue en premier lieu au « rejet obsessionnel de l’immigration de peuplement en provenance du Maghreb et d’Afrique sub-saharienne » (sic).
Valérie Segond nuance en fin d’article son propos en laissant entendre que « dans le phénomène FN, tout ne relève peut-être pas totalement du fantasme hystérique ».
Et de citer une étude de l’INSEE réalisée par les économistes Philippe Lombardo et Jérôme Pujol, dont la conclusion est, écrit-elle, « assez fidèle au cliché qui nourrit la montée du FN depuis trente ans. »
S’agit-il, dans ce cas, d’un simple cliché ?
Une étude de l’INSEE fait apparaître que les prestations sociales assurent 21% des revenus des immigrés, contre 5,1% pour les non-immigrés et 5,4% pour les immigrés qui viennent d’Europe.
Sujet tabou de la gauche levé pour les Français
Ces prestations « sociales » ont un coût pour les actifs français que Contribuables Associés est l’un des seuls à avoir déjà calculé bien avant. Lien
Ce coût est de 30,4 milliards d’euros, soit près de 500 euros annuels par personne résidant en France, personnes non-imposables y compris. Le seuil du « cliché » est largement dépassé.
La journaliste de La Tribune Valérie Segond a publié le 25.03.2011 une analyse sur le Front national et les causes de sa montée (lien).
Elle l'attribue en premier lieu au « rejet obsessionnel de l’immigration de peuplement en provenance du Maghreb et d’Afrique sub-saharienne » (sic).
Valérie Segond nuance en fin d’article son propos en laissant entendre que « dans le phénomène FN, tout ne relève peut-être pas totalement du fantasme hystérique ».
Et de citer une étude de l’INSEE réalisée par les économistes Philippe Lombardo et Jérôme Pujol, dont la conclusion est, écrit-elle, « assez fidèle au cliché qui nourrit la montée du FN depuis trente ans. »
S’agit-il, dans ce cas, d’un simple cliché ?
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