Chevènement "doute de la faisabilité" du projet PS pour 2012
Fait pour rassembler, ce projet socialiste ne fait pas l'unanimité au PS
Fait pour rassembler, ce projet socialiste ne fait pas l'unanimité au PS
Michel Rocard a déjà jugé ce projet Aubry "démagogique" et "anesthésiant".
Lien PaSiDupes
Aujourd'hui, le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) Jean-Pierre Chevènement a déclaré dimanche dans un entretien au Parisien : "Je doute de la faisabilité d'ensemble de ce projet. Si le PS veut réduire la dette publique dès 2014, il devra suivre la même politique de rigueur budgétaire que celle de Nicolas Sarkozy et oublier ses promesses de recrutement de policiers, de gendarmes, d'enseignants...".
Le socialiste stigmatise aussi une "grosse lacune" du programme
Selon lui, "il ne parle pas de la monnaie unique, dont le niveau surévalué écrase notre compétitivité et plombe notre croissance. Au moins Ségolène Royal, en 2007, promettait de réformer les missions de la BCE pour ajouter à la lutte contre l'inflation le souci de la croissance et de l'emploi. Là, disparu !", déplore-t-il, malgré la présence de l'ex-ségogol Michel Sapin à la rédaction de ce projet.
"Le PS reste prisonnier du logiciel néolibéral.
Je ne vois aucune remise en cause alors que les socialistes et la droite depuis 25 ans nous ont enfoncés dans l'ornière", ajoute l'ancien candidat à la présidentielle de 2002.
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Aujourd'hui, le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) Jean-Pierre Chevènement a déclaré dimanche dans un entretien au Parisien : "Je doute de la faisabilité d'ensemble de ce projet. Si le PS veut réduire la dette publique dès 2014, il devra suivre la même politique de rigueur budgétaire que celle de Nicolas Sarkozy et oublier ses promesses de recrutement de policiers, de gendarmes, d'enseignants...".
Le socialiste stigmatise aussi une "grosse lacune" du programme
Selon lui, "il ne parle pas de la monnaie unique, dont le niveau surévalué écrase notre compétitivité et plombe notre croissance. Au moins Ségolène Royal, en 2007, promettait de réformer les missions de la BCE pour ajouter à la lutte contre l'inflation le souci de la croissance et de l'emploi. Là, disparu !", déplore-t-il, malgré la présence de l'ex-ségogol Michel Sapin à la rédaction de ce projet.
"Le PS reste prisonnier du logiciel néolibéral.
Je ne vois aucune remise en cause alors que les socialistes et la droite depuis 25 ans nous ont enfoncés dans l'ornière", ajoute l'ancien candidat à la présidentielle de 2002.
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