Un " plan commun " entre les islamistes et l' Occident ?
Appel des Frères musulmans à descendre dans la rue
Les Frères musulmans ont accusé le régime du président syrien Bachar el-Assad de perpétrer un "génocide".
Vendredi, le mouvement, interdit en Syrie, poussait le peuple à ne pas céder aux "tyrans" et à réclamer la liberté après la grande prière.
Appel des Frères musulmans à descendre dans la rue
Les Frères musulmans ont accusé le régime du président syrien Bachar el-Assad de perpétrer un "génocide".
Vendredi, le mouvement, interdit en Syrie, poussait le peuple à ne pas céder aux "tyrans" et à réclamer la liberté après la grande prière.
Le politologue syrien Hamid Al-Abdullahune qualifie cette incitation de confrontation ouverte avec les autorités.
"Cela signifie une guerre ouverte", estime l'expert.
Jeudi, à la veille du jour de grande prière, la direction des Frères musulmans en exil à l'étranger, a exhorté le peuple syrien à se soulever en masse contre le régime en place.
"Avec cette déclaration, les Frères musulmans ont reconnu faire partie des forces qui dirigent les processus en cours en Syrie.
D'autre part, leur déclaration est publiée alors que l'Occident accentue ses pressions sur Damas, ce qui témoigne d'un plan commun", selon l'analyste politique.
Le président Bachar el Assad est confronté aujourd'hui à une vague de manifestations sans précédent depuis son arrivée au pouvoir il y a onze ans.
Jeudi, à la veille du jour de grande prière, la direction des Frères musulmans en exil à l'étranger, a exhorté le peuple syrien à se soulever en masse contre le régime en place.
"Avec cette déclaration, les Frères musulmans ont reconnu faire partie des forces qui dirigent les processus en cours en Syrie.
D'autre part, leur déclaration est publiée alors que l'Occident accentue ses pressions sur Damas, ce qui témoigne d'un plan commun", selon l'analyste politique.
Le président Bachar el Assad est confronté aujourd'hui à une vague de manifestations sans précédent depuis son arrivée au pouvoir il y a onze ans.
Il doit aussi faire face à un début de dissidence au sein de son parti Baas et à des signes de mécontentement dans l'armée face à la répression violente des manifestations, qui a déjà fait 500 morts, signale une ONG syrienne.
Les autorités syriennes voient dans cette contestation sans précédent la main des islamistes tandis que les Frères musulmans accusent le pouvoir de vouloir déclencher une guerre civile et de chercher à saper les appels lancés par la communauté internationale en faveur des libertés politiques et de la lutte contre la corruption.
Les autorités syriennes voient dans cette contestation sans précédent la main des islamistes tandis que les Frères musulmans accusent le pouvoir de vouloir déclencher une guerre civile et de chercher à saper les appels lancés par la communauté internationale en faveur des libertés politiques et de la lutte contre la corruption.
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