La police évacue des activistes en soutien à des travailleurs précaires
Les locaux administratifs de l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm, occupés depuis plusieurs semaines par des étudiants et des grévistes pour soutenir des travailleurs précaires, ont été évacués par les forces de police, ce mardi matin, a annoncé la préfecture de police de Paris (PP). France 2 parle d' "éviction"...
Une poignée d'apprentis intellos déconnectés
« Treize occupants ont été délogés sans incident lors de cette opération qui a débuté à 6h, a-t-on précisé. Le 9 avril, le tribunal administratif, saisi par la direction de l'ENS, « a considéré qu'il y avait urgence à procéder à cette évacuation» car l'occupation « entravait le bon fonctionnement de l'établissement », à la veille des premières épreuves écrites d'admission, prévues mercredi, a expliqué la préfecture.
Des favorisés combattent leur complexe de supériorité
Un mouvement social, appuyé par des étudiants radicaux, a débuté le 10 janvier pour demander la titularisation d'une dizaine d'employés contractuels. Début avril, sous la contrainte, la direction avait pourtant proposé la titularisation d'une partie de ces précaires, ce qui avait été jugé insuffisant par les protestataires.
Les locaux administratifs de l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm, occupés depuis plusieurs semaines par des étudiants et des grévistes pour soutenir des travailleurs précaires, ont été évacués par les forces de police, ce mardi matin, a annoncé la préfecture de police de Paris (PP). France 2 parle d' "éviction"...
Une poignée d'apprentis intellos déconnectés
« Treize occupants ont été délogés sans incident lors de cette opération qui a débuté à 6h, a-t-on précisé. Le 9 avril, le tribunal administratif, saisi par la direction de l'ENS, « a considéré qu'il y avait urgence à procéder à cette évacuation» car l'occupation « entravait le bon fonctionnement de l'établissement », à la veille des premières épreuves écrites d'admission, prévues mercredi, a expliqué la préfecture.
Des favorisés combattent leur complexe de supériorité
Un mouvement social, appuyé par des étudiants radicaux, a débuté le 10 janvier pour demander la titularisation d'une dizaine d'employés contractuels. Début avril, sous la contrainte, la direction avait pourtant proposé la titularisation d'une partie de ces précaires, ce qui avait été jugé insuffisant par les protestataires.
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