
« S'ils nous enlèvent ça, ça va devenir très compliqué pour les rappeurs et la culture en général (…) Si aujourd'hui les gens se permettent de plus ou moins saboter le travail fait depuis plusieurs années, c'est aussi saboter toute une génération. » a ajouté Sinik, fils d'une mère française et d'un père algérien ( Kabyle ), admirateur de Kool Shen (co-fondateur de NTM, Nique Ta Mère), et rappeur d'origine portugaise en perte d'audience.

Il est l'ancien directeur général (numéro 2) de la station et un ancien du groupe NRJ et de NextRadio TV (RMC et BFM TV). Il avait auparavant exercé pendant dix ans différentes fonctions au sein du groupe NRJ, dont celle de directeur général de Radio Nostalgie.

les Délégués départementaux de l'Éducation nationale (DDEN) ;
la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE) ;
la Ligue de l'enseignement ;
le Syndicat des enseignants (SE-UNSA, anciennement SNI-PEGC);
la Fédération UNSA éducation (anciennement FEN) qui héberge le CNAL dans ses locaux.
Ainsi comprend-on sans doute mieux cette mobilisation de la nébuleuse socialiste pour maintenir l'un des siens à son poste.
En 2003, avec les mêmes, Abdelmalek Boutih est allé soutenir l'Initiative de Genève, plan de paix alternatif prévoyant la création d'un État palestinien au côté d'Israël.
L'ancien ministre socialiste de la Culture Jack Lang exprimait sa joie d'être présent pour ce « moment de l'histoire. » Le philosophe Bernard-Henri Lévy expliqua que « si le plan n'a qu'un seul mérite, c'est celui d'obliger les gens à se positionner en faveur ou contre la paix.» Et Malek Boutih, ancien porte-parole de SOS-Racisme, de préciser que « cette journée est un pavé dans la mare ».
Depuis bientôt trois jours, Skyrock vit un peu sa "révolution de jasmin". Lien Le Figaro
Mercredi matin, ils étaient réunis devant les studios pour défendre les animateurs de cette radio, née en mars 1986.
On peut comprendre que les animateurs se mobilisent, mais déjà un peu moins qu'ils cherchent à entraîner le public derrière eux et encore moins que Boutih fasse pression.
La 1ère chaîne des jeunes rappeurs
animée par des quadras:
Difool, ci-contre
Invités de Malek Boutih, Hollande, Lang et Dominique Sopo sont venus.

La gauche politique a invité la droite.
Pas sectaires, Laurent Wauquiez, Rama Yade et Benjamin Lancar étaient invités jeudi après-midi. "On veut montrer à Axa -actionnaire de la radio [via Nakama, la holding du groupe français Orbus] - qu'il n'a pas affaire à un conflit traditionnel. »
La station est en effet prisée des jeunes et a toujours eu un rapport étroit à la politique, mais Skyrock était régulièrement taxée d'opportunisme dès les années 1990. En 2007, elle avait invité les trois principaux candidats d'alors à la présidentielle: Nicolas Sarkozy, François Bayrou et la battue, Désirdavenir Royal.
Cumul des emplois réservés

Skyrock dispose d'un « atout de choix », selon L'Express: Malek Boutih. Depuis plusieurs années, l'élu PS occupe en effet la fonction de directeur des relations institutionnelles pour la radio. Il tient pourtant à mettre les choses au clair: "Ce sont des liens non partisans. Il n'y a aucune instrumentalisation. Même aux socialistes, je leur dis bien qu'ils ne viennent pas pour un combat droite/gauche."
Malek Boutih exerce la fonction d'administrateur au sein du collège des personnalités qualifiées du PSG (Paris Saint-Germain)
Toutes ces casquettes placent son action en situation de trafic d'influence et de conflit d'intérêts.
Le pervers mobilise !!!
RépondreSupprimerL'accusation reprochait à Bellanger, cet homme de radio, d'avoir «favorisé la corruption» de Laeticia, 17 ans au moment des faits, «en l'initiant à diverses formes de sexualité, notamment de groupe, homosexuelle ou sado-masochiste, y compris avec la participation de sa soeur aînée».
Le PDG de Skyrock a toujours nié les faits, affirmant que Laetitia était consentante et refusant le rôle de «gourou» que lui prête l'accusation. Pierre Bellanger et l'adolescente s'étaient rencontrés fin 1999, par l'intermédiaire de la soeur de Laetitia, Emmanuelle, 19 ans, qui vivait avec le fondateur de Skyrock et deux autres femmes dans un appartement parisien.
En première instance, Laetitia avait expliqué avoir accepté de lui offrir sa virginité car elle était «subjuguée», «fascinée» par lui. Elle était alors devenue membre d'un groupe au mode de vie très particulier, avec veillées spirituelles, jeûnes, relations sexuelles parfois multiples et obligation d'écrire un journal intime très codifié contrôlé régulièrement par le «maître», en l'occurrence Pierre Bellanger. Laetitia avait porté plainte trois ans après les faits en estimant avoir été «manipulée» et «humiliée».