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vendredi 1 avril 2011

La santé des mono-maniaques de l'anti-sarkozysme inquiètent Guaino

Henri Guaino se demande "si l'antisarkozysme ne rend pas fou"






Le refus de s'intégrer,
c'est la volonté de s'exclure.



Le conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy dénonce "le climat d'intolérance qui règne aujourd'hui", dans un entretien à L'Express, daté du 30 mars au 5 avril.

L'anathème systématique menace la démocratie
Interrogé sur les critiques envers le chef de l'Etat et ses propos sur l'identité nationale ou la laïcité, H. Guaino affirme qu'"aucun débat démocratique n'est possible si l'on n'échange plus que sur le registre de la caricature, de l'insulte ou du procès d'intention".

Les malsains détournements de pensée
"Quand Nicolas Sarkozy évoque 'l'homme africain', c'est raciste. Quand Aimé Césaire parle de 'l'homme noir', ça ne l'est pas", remarque H. Guaino, faisant allusion au discours prononcé par le président à Dakar en juillet 2007 et à la fière "négritude" de Léopold Senghor, président de la République du Sénégal et académicien français.

Santé mentale de l'opposition
"A force, je finis par me demander si l'antisarkozysme ne rend pas fou!", s'exclame-t-il.

La lâcheté socialiste booste le FN
Le rédacteur des discours présidentiels affirme également que "ce n'est pas le fait de réfléchir sur l'identité nationale ou la laïcité qui fait monter l'extrême droite, c'est l'acharnement à vouloir éviter ces questions. S'interroger sur ce que signifie 'être français' à l'heure de la mondialisation n'était tout de même pas absurde", souligne-t-il.

Selon lui, "l'échec du débat" sur l'identité nationale a "surtout démontré la difficulté de débattre dans le climat d'intolérance qui règne aujourd'hui".

Faisant allusion à la convention sur la laïcité de l'UMP le 5 avril, qui inquiète les conservateurs de droite comme de gauche, de la même façon que les réformes des retraites, des hôpitaux ou du système judiciaire alarmèrent les syndicats défenseurs des acquis, les religieux redoutent que les cartes soient rebrassées. Le conseiller du président affirme: "il faut prendre grand soin de ne blesser personne. Mais poser aujourd'hui le problème de la construction d'un islam de France n'est que l'expression de nos valeurs les plus profondes, incompatibles avec toutes formes de communautarisme".

"Il a fallu plus de cent ans pour que le catholicisme intègre l'héritage des Lumières et de la Révolution.
Avec l'islam, cela ne se fera pas non plus en un jour
", explique-t-il.

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