La gauche incohérente et malhonnête en opposition systématique
Le PS a refusé de transposer la directive européenne acceptée par le gouvernement Jospin.
Le Chef de l’Etat a reproché au PS et a dénoncé hier mardi 20 à Orléans les critiques des socialistes contre le projet de loi sur les OGM, sur lequel les députés doivent se prononcer ce même jour.
"Quand je vois l'attitude d'un certain nombre de formations politiques de notre pays, qui ont accepté la directive, qui ont refusé de la transposer et qui me laissent la transposer, je me dis que dans la vie, il y a la gauche et il y a la droite, il y a l'opposition et la majorité, c'est normal, mais que chacun d'entre nous, nous devons être cohérents avec les décisions que nous avons prises dans le passé", a déclaré Nicolas Sarkozy.
"J'imagine qu'à l'époque, le gouvernement de M. Jospin était soutenu par des forces politiques qui ne doivent pas s'étonner qu'aujourd'hui, le gouvernement de M. Fillon transpose une directive qui a été acceptée par le gouvernement de ses prédécesseurs", a-t-il souligné lors d'un discours.
"Je ne vois pas là débat entre la gauche et la droite, je vois là, simplement, un débat sur la cohérence, sur le bon sens et, pourquoi ne pas le dire, sur l'honnêteté", a poursuivi le chef de l'Etat.
Il fallait transposer "une directive adoptée de longue date, en 2001, sous le gouvernement de Lionel Jospin et sous la présidence de Jacques Chirac. Cette directive a été adoptée, il fallait la transposer", a-t-il insisté.
Après le rejet surprise du projet de loi la semaine dernière à l'Assemblée via l'adoption d'une motion de procédure du PCF, les députés doivent se prononcer une dernière fois ce mardi sur le texte, qui devrait être définitivement adopté à l'issue d'un ultime vote du Sénat, jeudi matin.
La gauche a dû à nouveau défendre mardi plusieurs motions de procédure contre le texte ainsi qu'une motion référendaire.
"Quand je vois l'attitude d'un certain nombre de formations politiques de notre pays, qui ont accepté la directive, qui ont refusé de la transposer et qui me laissent la transposer, je me dis que dans la vie, il y a la gauche et il y a la droite, il y a l'opposition et la majorité, c'est normal, mais que chacun d'entre nous, nous devons être cohérents avec les décisions que nous avons prises dans le passé", a déclaré Nicolas Sarkozy.
"J'imagine qu'à l'époque, le gouvernement de M. Jospin était soutenu par des forces politiques qui ne doivent pas s'étonner qu'aujourd'hui, le gouvernement de M. Fillon transpose une directive qui a été acceptée par le gouvernement de ses prédécesseurs", a-t-il souligné lors d'un discours.
"Je ne vois pas là débat entre la gauche et la droite, je vois là, simplement, un débat sur la cohérence, sur le bon sens et, pourquoi ne pas le dire, sur l'honnêteté", a poursuivi le chef de l'Etat.
Il fallait transposer "une directive adoptée de longue date, en 2001, sous le gouvernement de Lionel Jospin et sous la présidence de Jacques Chirac. Cette directive a été adoptée, il fallait la transposer", a-t-il insisté.
Après le rejet surprise du projet de loi la semaine dernière à l'Assemblée via l'adoption d'une motion de procédure du PCF, les députés doivent se prononcer une dernière fois ce mardi sur le texte, qui devrait être définitivement adopté à l'issue d'un ultime vote du Sénat, jeudi matin.
La gauche a dû à nouveau défendre mardi plusieurs motions de procédure contre le texte ainsi qu'une motion référendaire.
Lionel Jospin: silence radio !
Sa Cynique Majesté Royal s’est abstenue de tout commentaire : n’est-ce pas extraordinaire de la part de quelqu’un qui a toujours quelque chose à dire sur tous les sujets. D’autant que si l’indécente était en 2001 ministre déléguée à la Famille et à l’Enfance, elle avait été passagèrement ministre de l'Environnement du Gouvernement Bérégovoy (1992-1993),: cette expérience , il est vrai, n’a pas duré un an…
Un silence qui fait du bruit !
Un silence qui fait du bruit !
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