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dimanche 25 mai 2008

Yannick Noah, ses insultes et ses gestes obscènes

Noah, le père, disjoncte en concert
Mardi premier avril de cette année, à Bruxelles en concert à Forest National, vers 22 heures 30
Le chanteur
Yannick Noah s'apprête à quitter la scène de la salle de concert belge. C'est du moins ce que pensent les spectateurs présentsà la fin du spectacle de l'ex-champion français de tennis. Mailys Charlier, journaliste pour le quotidien populaire belge La Dernière Heure-Les Sports fait son travail, ce soir-là, dans la salle quand Yannick Noah se ravise et propose de continuer à jouer des reprises d'autres groupes. Il invite alors son public à aller boire un verre, pendant qu'il se retire en coulisse pour faire de même, pendant 20 minutes : il revient sur scène vers 22 heures 50.

Un socialiste pas très social...
"Au début, c'était sympa", confie la journaliste belge à LCI.fr: "
Yannick Noah et ses musiciens ont joué des reprises de groupes amis mais après une heure, ça commençait à s'éterniser en des morceaux de reggae interminables. Entre minuit et minuit trente, les gens ont commencé à partir. Seules 200 à 300 personnes sont restées sur place." Depuis quelques instants déjà, selon Mailys Charlier, le personnel de la sécurité et les techniciens montraient des signes d'impatience. Ils auraient allumé les lumières sur scène et coupé, par intermittence, le micro du chanteur qui refusait de mettre fin à sa prestation.



"Eméché et agressif"

Yannick Noah aurait eu des "gestes obscènes" et aurait tenu des "propos insultants", notamment envers les techniciens, note-t-elle. L'organisateur du concert, Philippe Kopp, contacté par LCI.fr, livre, de son côté, une autre version de l'incident. Démentant tous les propos insultants et gestes obscènes de Yannick Noah, il raconte qu'"il avait été convenu avec le chanteur de rallumer progressivement les lumières sur scène, peu avant la fin de sa prestation".


A cause d'une erreur de manipulation d'un technicien, elles se seraient allumées d'un seul coup, éblouissant le pauvre Yannick Noah qui jouait, jusque-là, dans une lumière tamisée. Si le chanteur a manifesté son irritation -un bref instant ! selon la version de l’organisateur-, Philippe Kopp nie tout comportement agressif de la part de l'artiste, tout au plus "un peu joyeux", à l'approche de la fin de sa tournée.




Histoires de c..
Le poète Yannick Noah a également illustré l'invite Royal: «Aimons-nous les uns les autres».
Pour les innocents, Noah a donc repris une chanson du groupe Placebo, aux paroles grivoises, intitulée Embrasse-moi, mets ton doigt dans mon c.., un titre jugé inapproprié par la journaliste Mailys Charlier, eu égard à la nature d'un public comprenant, selon elle, des personnes âgées mais aussi des enfants.
Là encore, Philippe Kopp minimise: "Il n'y avait plus d'enfants, dans la salle, à cette heure avancée. Quand à leurs grands-parents, si j'en ai compté peu, je les vois mal s'offenser d'une reprise faisant partie d'une liste qui m'avait été remise, à l'avance, par l'artiste." Les minorités opprimées ne sont donc pas prises en compte : il doit être socialiste et va ravir Marie-George Buffet et Olivier Besancenot…


"Karaoké minable"
"De nombreuses personnes sont sorties de la salle, choquées par le comportement de Yannick Noah". Mailys Charlier décrit la fin de soirée sans ces « seniors » ringards et ces « bourgeois bloqués et délicats. : "Certains sont restés jusqu'au bout, par curiosité, pour voir quand il se déciderait à quitter la scène, finalement vers une heure du matin. Si les fans ne l'ont pas sifflé, le public a été choqué par ce dérapage qui ressemblait plus à un karaoké minable de pilier de bar qu'à un spectacle musicalement intéressant. Ce fut vraiment décevant." Marie-Ségolène Royal le reprendra pourtant dans son programme à Charlety…




"A chacun son degré de sensibilité !"

C'est ce que concède Philippe Kopp en bon père de famille : "Néanmoins", assure-t-il, Yannick Noah n'a jamais eu "aucune volonté de choquer son public. Il voulait simplement lui faire plaisir, tout en se faisant plaisir !" Que du plaisir: "Embrasse-moi; mets ton doigt dans mon c**... !"
Contacté par LCI.fr, l'entourage professionnel de Yannick Noah ne se galvaude pas et "ne souhaite pas faire de commentaires".


Il se réserve pour le prochain « débat participatif » de Désirdavenir Royal: 'Embrasse-moi; mets- ton doigt...'? Vivement le Congrès du PS, lorsque Bertrand Delanoë lui renouvellera cette proposition pleine de doigté...
Nous ne saurions attendre...

1 commentaire:

  1. "Si Sarkozy passe, je me casse".
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    Un exemple des discours "terroristes" de la Gauche, usant de grands mots, expressions, références et allusions très précis pour semer la terreur.
    En l'occurence, Mr Noah tentait de faire croire à la communauté noire qu'ils seraient tous en danger de mort si Nicolas Sarkozy était élu.

    La preuve de son mensonge est plus qu'évidente.



    "Les ‘people’ gagnent-ils à être connus ?...
    Et la candidate Royal à s'afficher avec certains d'entre eux?"
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    Il ne faut pas boulier Jamel Debouze, qui a déclaré plusieurs fois que ce n'était pas la jeune femme brûlée vive dans un local à poubelles "la vraie victime", mais les déchets humains qui l'ont ainsi torturée, assassinée, et regardée souffrir atrocement-- qu'ils étaient, eux, "les vraies victimes", du méchant Sarokzy (alors Ministre de l'Intérieur).

    Je l'ai entendu très clairement le dire un matin sur Europe 1, et Isabelle Alonzo mentionne la même chose sur son blog.

    Voilà le genre de personnes dont Canal Plus fait des modèles, et que Mme Royal considère comme des critères de moralité auxquels s'associer pour ses campagnes de promotion.

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