Assez de blocages: pétition en faveur du service minimum

Les syndicats ne doivent pas faire taire les Français

Face aux syndicats plus soucieux de préserver leurs intérêts corporatistes que la liberté d'étudier de nos enfants,

agissons.

Pétition pour un service minimum dans l’éducation nationale

Afin de ne pas laisser les syndicats de l’Education nationale, dont la FSU (SNU-ipp et SNES) et l’UNEF (proche du PS mais aussi du PCF et des trotskistes), de la FIDL (émanation de SOS Racisme) et de l’UNL (émanation de l’UNEF) empêcher les écoliers, collégiens et lycéens de suivre les cours et de préparer serénement leurs examens,

mobilisons-nous pour soutenir Xavier Darcos, Ministre de l’Education nationale, qui a décidé d’appliquer immédiatement le service minimum à l’école.
>> Signez et faites signer cette pétition.

Le parti socialiste préfère la grève au service minimum
Le dispositif ne concerne que les écoles primaires et maternelles, car la majorité des collèges et lycées restent ouverts les jours de grève. Il ne s'agit pas d'un enseignement mais d'un simple « accueil » des élèves.

Financement du SMA.
Les communes volontaires se verront reverser dans les 35 jours une enveloppe prélevée sur les salaires des enseignants grévistes. Pour chaque jour de grève (suivi à 40 %), l'Education nationale économise en moyenne 35 à 40 millions d'euros en salaires d'enseignants. Le financement versé aux communes s'élèvera à 90 euros par groupe de 15 enfants.

Expérimentation.
Le 24 janvier, 2.023 communes se sont portées volontaires pour signer une convention les engageant sur trois ans, soit 10 % des communes dotées d'écoles en France. Les grandes villes socialistes avaient déjà refusé.

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