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vendredi 2 septembre 2016

Aubry applaudit au départ de Macron

"Enfin!" se réjouit Aubry (PS) au lendemain de la passation de pouvoirs

Aubry, maire PS de Lille et frondeuse, s'est réjouie d'un mot, "Enfin !", 
 Aubry, frondeuse féministe, 
n'a rien contre 
la lapidation des hommes
de la démission d'Emmanuel Macron, une des nombreuses bêtes noires de la mauvaise femme. 
"Enfin! C'est tout. Y a rien à dire... Y aurait tellement à dire", s'est bornée à déclaré Aubry, lapidaire que des tortionnaires musulmans, que ce soit en Arabie saoudite sunnite ou en Iran chiite.  
Interrogée lors de l'inauguration d'un groupe scolaire dans le quartier très populaire et excentré de Lille-sud, l'ex-première secrétaire du PS a indiqué qu'elle continuera "à s'exprimer sur le fond comme (elle l'a) toujours fait". Au risque de toucher le fond.

La tortionnaire politique avait déjà perdu son contrôle il y a tout juste un an, en septembre 2015, suite aux déclarations social-libérales du ministre de l'Economie. "Macron ? Comment dire ? Ras-le-bol ! Voilà, ras-le-bol !", avait-elle lâché.

Aubry, élue communautariste

"Aujourd'hui, ce qui m'intéresse, ce n'est pas de savoir combien il y a de candidats à la primaire de gauche ou de droite, c'est de savoir (...) qui sera celui qui nous dira que 'la France est encore un grand pays, un pays où on peut vivre ensemble dans nos différences, la France peut se développer plus fortement, la France est une terre d'égalité'". La priorité de cette caillera socialiste n'est pas une politique sociale.
"Celui [ou celle ?] qui portera cela, ce sera le candidat que moi je soutiendrai", a-t-elle ajouté. Et puisque "les primaires, c'est à la fin de l'année. On a le temps, d'ici là j'essaierai de porter des idées". Et des haines.

L'ex-secrétaire générale une mono-maniaque de la mixité sociale
Caillassage à Strasbourg
La plus grande peur actuelle de cette caillera est l'agitation sociale et les attentats sur sa ville. "Montrer qu'une société mixte, socialement, culturellement est possible et qu'on a envie de vivre ensemble, c'est mon projet politique. Qu'il s'applique à la France, à l'Europe ou à Lille, l'important, c'est de faire et de montrer qu'on peut faire quand on veut", a encore affirmé l'ex-numéro deux du gouvernement Jospin.

Présent à l'inauguration, Patrick Kanner, le ministre de la Ville, de la jeunesse et des sports (successeur indirect d'un autre proche de l'amère de Lille à ce poste gagé, François Lamy), et ex-adjoint de sa ville de Lille, a jugé pour sa part "un peu dommage" que M. Macron quitte le gouvernement, "ce n'est pas ma conception du collectif". A la différence de Martine Aubry, il a estimé que "aujourd'hui, François Hollande est le seul qui peut être présent à gauche au second tour" de la présidentielle. 
Kanner, prochain candidat à la succession d'Aubry à la mairie de Lille ?

 

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