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vendredi 1 avril 2011

Le scandale de la ré-élection de Guérini au CG 13

Les socialistes des Bouches-du-Rhône se sont encore surpassés


L'Auguste de la Canebière nous salue,
tel un empereur romain:
Néron ?


Guérini largement réélu

Malgré les affaires, le président socialiste sortant du Conseil général des Bouches-du-Rhône a été réélu sans problème, vu l'avance accumulée du PS en nombre de conseillers généraux.

Par la réélection de Jean-Noël Guérini, la fédération socialiste donne la preuve de son état de pourrissement avancé: du travail pour l'éboueur Montebourg. Il reste le patron de la gauche dans le département, avec sa réélection triomphale à la tête du Conseil général des Bouches-du-Rhône. Le président sortant a en effet réalisé le plein de voix des 37 conseillers généraux de la majorité (31 PS et 6 communistes) et s'est même offert le plaisir d'en détourner trois de celle de l'UMP.
La chef de file de l'opposition au sein de cette assemblée bananière était sa seule rivale, aucun candidat socialiste ne s'étant présenté.

Ce plébiscite permet à Jean-Noël Guérini de reprendre la main après avoir été malmené ces derniers mois, entre son implication dans les affaires judiciaires qui ont conduit son frère Alexandre en prison et la sortie du rapport d'Arnaud Montebourg sur le fonctionnement féodal de la fédération PS.
Il confond élection et jugement du tribunal
Dans son discours, prononcé après l'annonce de sa réélection, le président sortant a réglé ses comptes avec "ceux qui l'ont bassiné pendant des mois" avec des accusations de clientélisme". "Je n'ai de leçon à recevoir de personne" a lancé M. Guérini à l'intention de la droite. Quant aux socialistes du collectif "Renouveau PS 13", qui dénoncent des "pratiques autoritaires" au sein de la fédération : "C'est un groupuscule bien ciblé dont on sait qui est à la manœuvre" a taclé le nouveau président du CG13, sans les nommer.

Jean-Noël Guérini a enfin dû promis de "nouvelles méthodes de gouvernance" au sein du Conseil général" avec la mise en place "d'une véritable commission des finances qui pourrait être confiée à l'opposition".
Cette décharge s'est déjà soldée par une fin de non-recevoir de la part de l'UMP Martine Vassal..

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