La solidarité nationale bénéficie aux agriculteurs
L'avant-projet de réforme des retraites du gouvernement comporte «deux mesures importantes» en faveur des agriculteurs, dont un octroi facilité au minimum vieillesse, souligne devant la presse le ministre du Travail Eric Woerth.
La principale mesure, a dit le ministre, vise à faciliter l'octroi du minimum vieillesse (709 euros pour un célibataire) aux agriculteurs et éviter ainsi que certains d'entre eux n'aient des pensions de retraite de 300 ou 400 euros par mois.
En outre, la condition de durée comme exploitant pour accéder à la revalorisation des pensions de retraite agricole les plus modestes sera supprimée, « ce qui permettra notamment à de nombreuses femmes ayant occupé successivement les statuts de conjoint et d'exploitant d'y accéder ».
Le bénéfice de la retraite complémentaire obligatoire du régime agricole sera ouvert aux conjoints collaborateurs d'exploitation et aux aides familiaux, qui en sont exclus actuellement.
L'avant-projet de réforme des retraites du gouvernement comporte «deux mesures importantes» en faveur des agriculteurs, dont un octroi facilité au minimum vieillesse, souligne devant la presse le ministre du Travail Eric Woerth.
La principale mesure, a dit le ministre, vise à faciliter l'octroi du minimum vieillesse (709 euros pour un célibataire) aux agriculteurs et éviter ainsi que certains d'entre eux n'aient des pensions de retraite de 300 ou 400 euros par mois.
En outre, la condition de durée comme exploitant pour accéder à la revalorisation des pensions de retraite agricole les plus modestes sera supprimée, « ce qui permettra notamment à de nombreuses femmes ayant occupé successivement les statuts de conjoint et d'exploitant d'y accéder ».
Le bénéfice de la retraite complémentaire obligatoire du régime agricole sera ouvert aux conjoints collaborateurs d'exploitation et aux aides familiaux, qui en sont exclus actuellement.
Enfin, les terres agricoles et les corps de fermes ne feront plus l'objet d'un recours sur succession.
Cette mesure, qui répond à une demande très ancienne de la profession et d'un coût de 50 millions d'euros par an, « lèvera le frein qui peut exister aujourd'hui pour certains retraités agricoles, qui les conduit à renoncer au bénéfice de cette prestation », selon le ministère.
Ces mesures, définies avec le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire et après des entretiens avec les représentants du monde agricole, figurent au nombre des dispositifs de solidarité du système français qui, « aujourd'hui, ne nous semblent pas tenir suffisamment compte de certaines situations »
De quoi satisfaire un temps les pêcheurs, les producteurs de lait ou de céréales. Mais nul doute que le compte n'y est pas pour José Bové ? Lien PaSiDupes
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