Le premier président de la Cour des Comptes contredit la gauche
Montebourg prend un coup sur le bec
Montebourg prend un coup sur le bec
Faudrait-il que tout le BN du PS soit premier président de la Cour des Comptes - à l'instar de Didier Migaud - pour acquérir un début de moralité ? A supposer qu'il respecte l'hermine.
Le socialiste Didier Migaud, nouveau premier président de la Cour des Comptes à la suite de Philippe Séguin, a apporté son soutien moral à Eric Woerth face à la cabale politicienne menée par la gauche à l'initiative d'Eva Joly, en connivence avec les aigris de Libération à Mediapart. Lire PaSiDupes
Florence Woerth, l'épouse du ministre du Travail, qui a décidé de démissionner depuis plusieurs semaines, est salariée depuis le 12 novembre 2007 de la société Clymène gérant une partie de la fortune de Liliane Bettencourt, l'héritière milliardaire de L'Oréal, laquelle est visée par des soupçons d'évasion fiscale. Lire PaSiDupes
"Je ne l'ai jamais trouvé complaisant à l'égard de la fraude fiscale", a indiqué M. Migaud sur Europe 1, alors que le ministre du Travail est confronté à des accusations sans preuve de conflit d'intérêts dans l'affaire Bettencourt au moment où il était en charge du Budget.
Il s'inscrit ainsi en faux contre son confrère, Maître Arnaud Montebourg, député de Saône-et-Loire (de justesse) et membre de la direction du PS, qui avait -aussi sec- estimé: "Il me paraît extrêmement difficile qu'Eric Woerth puisse se maintenir politiquement dans un gouvernement qui a affiché comme objectif de lutter contre les paradis fiscaux".
Didier Migaud a-t-il recouvré sa liberté de parole ?
Interrogé sur une éventuelle complaisance à l'égard de Liliane Bettencourt, M. Migaud a dit n'avoir "jamais eu l'occasion" de s'entretenir de cette situation avec Eric Woerth.
Interrogé sur une éventuelle complaisance à l'égard de Liliane Bettencourt, M. Migaud a dit n'avoir "jamais eu l'occasion" de s'entretenir de cette situation avec Eric Woerth.
Sur ses gardes, il a pris la précaution d'avertir qu'il s'agissait d'un "témoignage personnel en ce qui concerne mes fonctions précédentes", au temps où il était soumis à la discipline du parti socialiste, ayant eu l'occasion en tant qu'ancien président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale de travailler sur la fraude fiscale avec M. Woerth. A ce titre, D. Migaud peut s'exprimer en connaissance de cause et se distinguer de la meute lancée sur des proies successives.
"Je peux témoigner de la volonté très forte d'Eric Woerth de lutter contre le phénomène de la fraude fiscale", a-t-il dit, ajoutant qu'il l'avait "trouvé au contraire très moteur sur ce sujet". Y aurait-il des exemples de faux témoignages à gauche ?
Qui oserait dire que l'opposition serait un repère de calomniateurs haineux ? Personne !
Il ne viendrait en effet à l'idée de 'personne' d'y ranger des noms de paradeurs en boucle de plateaux de télévision. Outre Eva Joly et Edwy Plenel qui sont insoupçonnables, on ne risquerait évidemment pas d'y trouver non plus ceux de Nono Montebourg (il n'est d'ailleurs pas "gommeux" du tout !) ou de Riton-le-rogue Emmanuelli, suivi comme son ombre par Hamon-le-benoît (qui, par décision de Titine Aubry, peut déclarer que "Strauss-Kahn fait chier", sans être vulgaire le moins du monde) : leur intégrité, aussi bien politique que morale, ne peut être mise un seul instant en doute.
Alors qui reste-t-il ? Tous les autres ? Il suffit de quelques-uns, relayés par un media militant, vigilant et ...vertueux.
Le ps a t il oublié la presomption d'innocence qu'il dégaine quand la personne mise en cause fait partie de leur réserve de bulletins de vote
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