La « fin du monde » des conservateurs
Dies Irae, par J. van Valkenburg
Le front de gauche du refus se déploie
- Premier à dégainer: François Hollande, mais pour dire quoi ?
Le front de gauche du refus se déploie
- Premier à dégainer: François Hollande, mais pour dire quoi ?
Il estime vaguement que Nicolas Sarkozy a choisi «la réforme la plus injuste». L'ex-premier secrétaire du PS a affirmé sur Canal + que le chef de l'Etat«a choisi de faire payer les pauvres et ceux qui ont commencé à travailler tôt», mais a reconnu qu'il a voulu avant tout «envoyer un signal aux partenaires européens».
- Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée nationale : "Ce que je retiens du projet, c'est d'abord le signe aux marchés financiers qui font la loi". "C'est une mesure profondément injuste qui va toucher les ouvriers", "ceux qui commencent jeunes, ceux qui travaillent dur" (RTL)
- Le 'dies irae' de Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de Gauche : "Aujourd'hui est jour de tristesse et de colère. La fin de la retraite à 60 ans c'est la fin d'un monde". "Le moment venu, au pouvoir, la gauche devra annuler toutes ces mesures injustes et rétablir la retraite à 60 ans" (communiqué)
- Claude Bartolone, député PS : "En voulant repousser l'âge légal de la retraite en France, le gouvernement va "transformer de jeunes retraités en vieux chômeurs" (France Info)
- Elisabeth Guigou, député PS de Seine-Saint-Denis (Radio Classique) : "On a bien compris que tout cela est un jeu de rôles entre le Premier ministre qui dit des choses plus dures et le Président qui fait mine de revenir en arrière. Personne ne sera dupe".
- L' "annus horribilis" du MoDem: "Le gouvernement a malheureusement fait le choix d'une réforme dure, rapide et qui comporte ainsi certains éléments d'injustice, en particulier le déplacement de l'âge sans décote de 65 à 67 ans" (l'eurodéputé et économiste Robert Rochefort sur France info)
La droite assume la nécessité
Resilience, par Ante Dabro
"Forte, réaliste et juste" sont les qualificatifs que le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a appliqué mercredi 16 juin à la réforme des retraites présentée par le gouvernement.
La réforme "permet de sauver le système de retraite et d'être à l'équilibre en 2018 sans qu'aucune recette ne soit surévaluée", souligne-t-il dans un communiqué.
Il fait également valoir que
- "la pénibilité et le travail très jeune sont protégés dans la réforme",
- "les hauts revenus et le capital participent à l'effort"
- et "la convergence entre le privé et le public est poursuivie".
Sobriété, efficacité.
- Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée nationale : "Ce que je retiens du projet, c'est d'abord le signe aux marchés financiers qui font la loi". "C'est une mesure profondément injuste qui va toucher les ouvriers", "ceux qui commencent jeunes, ceux qui travaillent dur" (RTL)
- Le 'dies irae' de Jean-Luc Mélenchon, président du Parti de Gauche : "Aujourd'hui est jour de tristesse et de colère. La fin de la retraite à 60 ans c'est la fin d'un monde". "Le moment venu, au pouvoir, la gauche devra annuler toutes ces mesures injustes et rétablir la retraite à 60 ans" (communiqué)
- Claude Bartolone, député PS : "En voulant repousser l'âge légal de la retraite en France, le gouvernement va "transformer de jeunes retraités en vieux chômeurs" (France Info)
- Elisabeth Guigou, député PS de Seine-Saint-Denis (Radio Classique) : "On a bien compris que tout cela est un jeu de rôles entre le Premier ministre qui dit des choses plus dures et le Président qui fait mine de revenir en arrière. Personne ne sera dupe".
- L' "annus horribilis" du MoDem: "Le gouvernement a malheureusement fait le choix d'une réforme dure, rapide et qui comporte ainsi certains éléments d'injustice, en particulier le déplacement de l'âge sans décote de 65 à 67 ans" (l'eurodéputé et économiste Robert Rochefort sur France info)
La droite assume la nécessité
"Forte, réaliste et juste" sont les qualificatifs que le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a appliqué mercredi 16 juin à la réforme des retraites présentée par le gouvernement.
La réforme "permet de sauver le système de retraite et d'être à l'équilibre en 2018 sans qu'aucune recette ne soit surévaluée", souligne-t-il dans un communiqué.
Il fait également valoir que
- "la pénibilité et le travail très jeune sont protégés dans la réforme",
- "les hauts revenus et le capital participent à l'effort"
- et "la convergence entre le privé et le public est poursuivie".
Sobriété, efficacité.
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