Mais que la grève est jolie !
Mailly, un irresponsable syndical ravi
Voici l’essentiel des propos proprement scandaleux qu’il a tenus, dans un entretien à La Tribune de mercredi 21:
Le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, estime que "l'idéal serait qu'il y ait le sentiment que le pays est bloqué pendant une journée", le 29 janvier, pour rendre la grève visible à Nicolas Sarkozy.
"Le président de la République s'apercevra alors qu’une journée de grève ça se voit !", déclare J.-C. Mailly, en référence aux propos de Nicolas Sarkozy, selon lesquels "désormais, quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit".
A la question de savoir si la mobilisation sera massive, comme on le dit déjà sur France Info (Radio France), le secrétaire général de FO répond pour la base: "Oui, car elle répond à une attente des Français", "inquiets sur leur pouvoir d'achat, la dégradation de l'emploi et la hausse du chômage".
FO ne souhaite manifestement pas la paix sociale
"On ne peut plus leur dire qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses de l'Etat. Le gouvernement a débloqué des aides en direction des banques, des entreprises, des agriculteurs. Dans le même temps, les salariés voient qu'ils n'ont rien eu depuis longtemps", souligne-t-il.
Intox : un tissu de mensonges
> FO dresse ainsi les salariés contre les agriculteurs. > De plus, les sommes évoquées ne sont pas des dons gracieux aux banques ou aux entreprises mais des prêts destinés à soutenir l’activité économique de leurs clients et à empêcher ou retarder les licenciements. > Quant au RSA, par exemple, c’est moins que rien.
Mailly appelle à un conflit dur
Pour J.-C. Mailly, "c'est l'ampleur de la manifestation et des arrêts de travail qui va conditionner la suite". "Si le gouvernement ne répondait pas à une forte mobilisation, il serait irresponsable. Les huit organisations syndicales se reverront le 2 février pour décider des suites à donner au mouvement", a-t-il mis en garde.
FO lutte contre la crise économique par la crise sociale…
Pour des lendemains qui chantent dans la souffrance, vive la grève du jeudi 29
Si FO est sado, les Français ne sont pas maso et les grévistes devront y réfléchir à deux fois.
"Le président de la République s'apercevra alors qu’une journée de grève ça se voit !", déclare J.-C. Mailly, en référence aux propos de Nicolas Sarkozy, selon lesquels "désormais, quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit".
A la question de savoir si la mobilisation sera massive, comme on le dit déjà sur France Info (Radio France), le secrétaire général de FO répond pour la base: "Oui, car elle répond à une attente des Français", "inquiets sur leur pouvoir d'achat, la dégradation de l'emploi et la hausse du chômage".
FO ne souhaite manifestement pas la paix sociale
"On ne peut plus leur dire qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses de l'Etat. Le gouvernement a débloqué des aides en direction des banques, des entreprises, des agriculteurs. Dans le même temps, les salariés voient qu'ils n'ont rien eu depuis longtemps", souligne-t-il.
Intox : un tissu de mensonges
> FO dresse ainsi les salariés contre les agriculteurs. > De plus, les sommes évoquées ne sont pas des dons gracieux aux banques ou aux entreprises mais des prêts destinés à soutenir l’activité économique de leurs clients et à empêcher ou retarder les licenciements. > Quant au RSA, par exemple, c’est moins que rien.
Mailly appelle à un conflit dur
Pour J.-C. Mailly, "c'est l'ampleur de la manifestation et des arrêts de travail qui va conditionner la suite". "Si le gouvernement ne répondait pas à une forte mobilisation, il serait irresponsable. Les huit organisations syndicales se reverront le 2 février pour décider des suites à donner au mouvement", a-t-il mis en garde.
FO lutte contre la crise économique par la crise sociale…
Pour des lendemains qui chantent dans la souffrance, vive la grève du jeudi 29
Si FO est sado, les Français ne sont pas maso et les grévistes devront y réfléchir à deux fois.
Ce soir, avant de changer de chaîne par écoeurement, j'ai entendu Mr Mailly prétendre que "quelqu'un de l'UMP" (Frédéric Lefèbvre) avait annoncé "qu'il sanctionnerait les grèvistes".
RépondreSupprimerUne déformation éhontée visant encore à faire croire à une dictature.
Il s'agissait en réalité de sanctionner ceux qui abusent du droit de grève, qui le détournent, et qui ne respectent pas la Loi en n'appliquant pas dans les transports le service minimum dû aux usagers (les "camarades prolétaires" auxquels CGT, FO et compagnie font perdre de l'argent et du temps).