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mercredi 15 novembre 2017

Terroristes et chroniqueurs "déséquilibrés" ont la cote auprès des media

Jérémy Ferrari conseille à Christine Angot de se faire aider

Il prescrit un tranquillisant
 à la chroniqueuse de Ruquier sur France 2

Aux grands maux, les grands remèdes. 
Les terroristes s'exposent à l'enfermement en hôpital psychiatrique, mais l'humoriste y est allé doucement quand il s'est fait agresser par la chroniqueuse sur le plateau de l'émission de Laurent Ruquier.

La chroniqueuse était remontée comme un ressort et a vite poussé des cris stridents samedi 30 septembre 2017 sur le plateau d' "On n'est pas couché", émission de politique spectacle qui s'apparente au stand de tir des fêtes foraines. Invité de la chaîne de service public,  pour faire la promotion de son livre "Happy Hour à Mossoul", Jérémy Ferrari s'est fait écharper par Christine Angot, harpie connue pour ses désordres mentaux et son activité sexuelle très marginale. 
Bille en tête et sans préliminaires, la polémiste a prévenu le comédien qu'elle est a priori "complètement imperméable" à son humour, lui reprochant notamment de s'en prendre à des cibles faciles comme Bernard-Henri Lévy.

"Vous n'allez pas encore vous énerver, je n'ai rien fait !
Je ne fais que faire des vannes", explique Jérémy Ferrari, alors que Christine Angot le prend à parti, dans une tentative pour raisonner la locataire des lieux.
"Je ne suis pas énervée, je ne vous trouve pas drôle", lui répond alors la chroniqueuse. 
"Ça, on avait compris", réplique l'humoriste, devant un public hilare: il est venu pour s'éclater jusqu'à la mise à mort hebdomadaire. 

Voyant l'échange tourner en faveur de Jérémy Ferrari, Chris­tine Angot ne lâche pas sa proie, puisque le taulier laisse aller: "C'est pratique l'humour. Je ne suis pas sur votre terrain; vous voulez qu'on se mettent sur mon terrain ?", le défie l'hôtesse. Visiblement amusé, l'humo­riste se met une nouvelle fois le public de son côté : "Ben, on y est là, c'est chiant !".

"Prenez un Xanax !"

La maîtresse SM s'enferre et interroge Jérémy Ferrari sur les Unes de 'Charlie Hebdo" qui seraient sa "seule limite" en matière d'humour. "C'est bizarre que les Unes de "Charlie Hebdo" soit votre seule limite, comme cela par hasard", soupçonne ainsi l'écrivaine.
Mais l'humoriste, qui est décidément fort peu soumis, d'avouer en milieu pourtant hostile : "Charlie Hebdo, je n'ai jamais trouvé ça très drôle, ni avant les attaques, ni après".

VOIR et ENTENDRE un précédent affrontement de Christine Angot (30 septembre 2017- face à Sandrine Rousseau (EELV), victime d'agression sexuelle par son camarade Denis Baupin, époux d'Emmanuelle Cosse - sur la chaîne de service public  :

Le "politiquement incorrect" hérisse la mère Fouettarde
"Je ne trouve pas que toutes les Unes de "Charlie Hebdo" soient drôles", tacle l'humoriste, avant de souligner que "de toutes façons", Christine Angot "ne trouve rien drôle". 
"Rassurez-vous, ce n'est pas parce qu'on ne vous trouve pas drôle qu'on ne trouve rien drôle", riposte encore la diablesse, très agitée. 
"Ce n'est pas ce que j'ai dit ! Prenez un Xanax", conclut Jérémy Ferrari.


VOIR et ENTENDRE le parti-pris de Léa Salamé, prédécesseur d'Angot dans le fauteuil de chroniqueuse d'ONPC et représentante du système, faisant au passage la confidence du viol de la malheureuse par inceste du père, alors qu'elle ne l'évoque pas elle-même, se livrant, dans un souci de solidarité confraternelle (prix France Culture en 2005), à un amalgame avec l'agression sexuelle commise par l'élu écologiste Denis Baupin, époux d'Emmanuelle Cosse, sur Sandrine Rousseau, également EELV, entre adultes : "Christine Angot n'est que colère, indignation et souffrance:

VOIR et ENTENDRE une autre présentation de la confrontation Angot-Rousseau:



"Est-ce qu'une roman­cière parmi les plus médiocres de ces dernières années fera une bonne critique ?", avait interrogé Eric Naul­leau, suite à l'offi­cia­li­sa­tion de Chris­tine Angot, remplaçante de Vanessa Burg­graf chez Ruquier.

Le terrorisme, qu'il soit islamiste ou intellectuel, se traite en milieu psychiatrique fermé
 
Le pouvoir -et donc les media à sa solde- n'osent pas "nommer l'ennemi" intérieur : il est satirique, parlant des anarchistes du Canard enchaîné, ou radical, s'agissant du site trotskiste révolutionnaire Mediapart, et tous tentent ainsi d'anesthésier l'opinion face au risque de subversion en présentant les terroristes comme des "déséquilibrés" ordinaires. Certes, un meurtrier est a priori déstabilisé, au moins momentanément, mais est-il irresponsable?
Les accusations assassines vont bon train dans le milieu mediatico-politique. Mediapart a ainsi accusé Charlie Hebdo et une frange de la classe politique, une gauche égarée, "une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite, voire une extrême droite identitaire, trouvent n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie, pour en revenir à leur obsession, faire "la guerre aux musulmans" de France. En réponse, Valls souligne que Plenel utilise "les mêmes mots que Daech", dénonçant  sa "complaisance" et sa "complicité intellectuelle" avec le terrorisme et d'avoir lancé "un appel au meurtre". Invectives de déséquilibrés  qui ne font pas avancer le débat sur la menace djihadiste et l'islamo-fascisme en FranceDe quoi irriter l’ancien magistrat chargé de la lutte antiterroriste et ancien député LR Alain Marsaud qui, le vendredi 18 août à 20h25, a décidé de dire aux journalistes de BFM TV, qui l’avaient invité sur leur plateau pour parler des attentats de Catalogne, leurs quatre vérités :"Je peux vous assurer que si on a peur de nommer l’ennemi, on ne risque pas de gagner cette guerre. Et que ce soit les journalistes dans ce pays comme nos responsables politiques, pas un seul en deux jours n’a dit qu’on était en présence d’attentats islamistes. Mais on a peur de quoi, bon sang ?"Déni de l'islamo-fascisme; déni des agressions sexuelles. 
Le déni du terrorisme en France véhiculé par la presse alignée :

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