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vendredi 25 juillet 2014

Les médicaments soignent mieux les hommes que les femmes: complot machiste ?

A chaque matin, sa nouvelle inégalité sexiste présumée

Il se vend bien ce nouveau numéro du magazine Science et Vie
Couverture de Science et Vie, le numéro de juillet 2014
Les médicaments soigneraient mieux les hommes que les femmes, selon une enquête sortie en juillet, pour agrémenter l'oisiveté estivale. Cette nouvelle discrimination entre sexes bat-elle ou non en brèches la théorie du genre? Il semblerait que, n'y trouvant pas leur compte, les féministes en restent bouche bée. Par quel que bout qu'on prenne le sexe, les femmes seraient-elles au coeur d'un complot machiste?

Ne voilà-t-il pas que le sexe d'un malade peut changer l'efficacité du médicament?

Les cas sont nombreux de prescriptions inappropriées. Des scientifiques se sont aperçus que les traitements n'ont pas les mêmes effets chez les patients. Selon une étude allemande, les risques d'effets secondaires sont même 50% supérieurs chez les femmes.
Prenons le cas de l'aspirine. Depuis l'après guerre, ce médicament discrimine les sexes, protégeant davantage le cerveau des femmes de l'AVC, mais diminuant les risques d'infarctus chez les hommes. 
Quant aux somnifères, ils restent plus longtemps dans l'organisme chez la femme ce qui implique un ajustement dans les doses. À partir de ces constats, l'institut national de la santé américain a demandé aux laboratoires de réviser leurs études en fonction du sexe des individus (ou des animaux) sur lesquels ils effectuent leurs essais cliniques.
Réajuster les posologies selon les sexes 
Retour à la case départ
La "nouvelle guerre" des sexes remonte à dix ans. "Comprendre l'origine des différences sexuelles est important pour développer des nouveaux modes de prévention, de diagnostic et de traitement," assurait-on déjà dans les milieux intellos. "Si la recherche scientifique prend ce virage, les médecins devront sûrement réajuster les posologies des médicaments selon le sexe de leurs patients".

La théorie du genre dût-elle prendre un air, les laboratoires doivent reconsidérer les indications et posologies en fonction des sexes, indique l'enquête de Science et Vie. Mais déjà les idéologues de l'indifférenciation des sexes s'alarment de travers inverses. 

Rien n'est affaire de sexe, ni de genre: chaque individu est un être à part, insistent-ils. Deux patients réagiront différemment non plus seulement selon leur sexe, mais aussi bien selon leur héritage et leur histoire personnels. "Le comble serait d'imaginer que les hommes sont tous les mêmes, et les femmes aussi. Il ne faudrait pas que des stéréotypes guident la manière dont on soigne les patients", s'alarme Susan Phillips, médecin chercheuse à la Queen's University de Kingston au Canada et théoricienne du genre, dont les recherches se trouvent remises à plat.

La construction idéologique montée de toutes pièces par les féministes est menacée d'effondrement.
Alors que va donc maintenant inventer Najat Vallaud-Belkacem pour nier que nos différences sont tout bêtement individuelles et varient davantage d'un sujet que d'un  sexe à l'autre.

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