Pulvar s'efface derrière Montebourg !
La chaîne suspend la journaliste à l'antenne
Audrey Pulvar ne présentera plus la tranche de 19h à 20h sur iTélé, chaîne gratuite de Canal+ et concurrente de LCI du groupe TF1.
Alors que, malgré la proximité des élections régionales françaises, Canal+ décida de ne pas l'écarter de l'antenne d'i>télé, lorsque, début 2010, la presse révéla l'infidélité du député socialiste Arnaud Montebourg, avec lequel elle a une relation à la suite du chef cuisinier Alain Passard, la journaliste a été privée d'antenne ce lundi, lorsque son nouveau compagnon a annoncé samedi à Frangy-en-Bresse son intention de participer aux primaires du Parti socialiste.
Audrey Pulvar ne présentera plus la tranche de 19h à 20h sur iTélé, chaîne gratuite de Canal+ et concurrente de LCI du groupe TF1.
Alors que, malgré la proximité des élections régionales françaises, Canal+ décida de ne pas l'écarter de l'antenne d'i>télé, lorsque, début 2010, la presse révéla l'infidélité du député socialiste Arnaud Montebourg, avec lequel elle a une relation à la suite du chef cuisinier Alain Passard, la journaliste a été privée d'antenne ce lundi, lorsque son nouveau compagnon a annoncé samedi à Frangy-en-Bresse son intention de participer aux primaires du Parti socialiste.
Depuis septembre, Audrey Pulvar animait chaque soir une heure de débats et d'entretiens sur l'actualité du jour. Les sujets politiques occupant dans cette émission une place centrale, le risque de confusion des genres était trop important, admet la chaîne d'information.
La filiale du groupe Canal+ essaie de sauver les apparences
Aveu d'un risque de confusion naturelle des genres
L'engagement de la journaliste ne faisait pas de doute. Il n'était nul besoin d' en administrer la preuve.
"L'impartialité d'Audrey Pulvar ne peut être, naturellement, mise en cause, mais il était de notre responsabilité d'éviter une confusion des genres préjudiciable, tant pour l'intéressée que pour la chaîne", précise le patron d'iTélé, Pierre Fraidenraich, avec un naturel confondant. "Comment imaginer qu'elle puisse continuer à inviter des responsables politiques de premier plan sur notre antenne dans un tel contexte ? Nous aurions et elle aurait beaucoup à perdre", ajoute-t-il.
La filiale du groupe Canal+ essaie de sauver les apparences
Aveu d'un risque de confusion naturelle des genres
L'engagement de la journaliste ne faisait pas de doute. Il n'était nul besoin d' en administrer la preuve.
"L'impartialité d'Audrey Pulvar ne peut être, naturellement, mise en cause, mais il était de notre responsabilité d'éviter une confusion des genres préjudiciable, tant pour l'intéressée que pour la chaîne", précise le patron d'iTélé, Pierre Fraidenraich, avec un naturel confondant. "Comment imaginer qu'elle puisse continuer à inviter des responsables politiques de premier plan sur notre antenne dans un tel contexte ? Nous aurions et elle aurait beaucoup à perdre", ajoute-t-il.
"Aprés onze mois de réflexion et une élection, c'est une décision mûrement réfléchie", indique Albert Ripamonti, le très réactif directeur de la rédaction de la chaîne. Visiblement soucieux de la seule réputation de sa journaliste, il précise encore qu'il «il avait été décidé que par prudence et éthique, l'émission serait arrêtée dès lors qu'Arnaud Montebourg se présenterait aux primaires du PS. Cela aurait mis Audrey dans une situation inconfortable si elle avait dû continuer, tant vis à vis d'hommes politique de gauche que de droite», insiste le journaliste auprès du Figaro.
Témoignage subjectif de ...Nono
«Chacun jugera la justesse ou l'injustice de la décision», a réagi Arnaud Montebourg, justement sur Canal+ lundi soir.
Témoignage subjectif de ...Nono
«Chacun jugera la justesse ou l'injustice de la décision», a réagi Arnaud Montebourg, justement sur Canal+ lundi soir.
Bienvenu au club de Flamby 1er
« J'ai compris que j'étais le principal 'défaut' d'Audrey Pulvar », a-t-il glissé en allusion à son trait d'esprit largement commenté en 2007, lorsque, porte-parole de la campagne de Désirdavenir Royal, il avait décoché un trait en traitre à François Hollande, en soutien à sa femme humiliée: « Ségolène Royal n'a qu'un seul défaut, son compagnon», lequel vivait lui aussi avec une autre journaliste, Valérie Trierweiler. Nono Montebourg avait été suspendu pour un mois après cette saillie.
« J'ai compris que j'étais le principal 'défaut' d'Audrey Pulvar », a-t-il glissé en allusion à son trait d'esprit largement commenté en 2007, lorsque, porte-parole de la campagne de Désirdavenir Royal, il avait décoché un trait en traitre à François Hollande, en soutien à sa femme humiliée: « Ségolène Royal n'a qu'un seul défaut, son compagnon», lequel vivait lui aussi avec une autre journaliste, Valérie Trierweiler. Nono Montebourg avait été suspendu pour un mois après cette saillie.
Sortent-ils couverts ?
La proximité de la presse avec la politique va bien au-delà de ce que peut imaginer l'opinion: ils ne font pas que se passer les questions et les réponses aux entretiens, débats et 'décryptages'. Quand ils se mélangent, peut-on encore parler de promiscuité ?
I>télé n'a fait que se plier à la «jurisprudence»
Anne Sinclair avait donné l'exemple
En 1997, la présentatrice de Sept sur Sept avait volontairement abandonné son poste lorsque son mari, Dominique Strauss-Kahn, était devenu ministre de l'Economie et des finances du gouvernement Jospin.
L'exception peine à devenir la règle
En février 2007, à l'approche de l'élection présidentielle, la direction de France 2 avait fait pression sur Béatrice Schönberg, en raison de sa relation avec Jean-Louis Borloo, alors ministre de la Cohésion sociale. La présentatrice du 20 heures avait finalement démissionné à la mi-mai 2007 pour satisfaire le SNJ.
A. Pulvar faisait durer sa réflexion
Lorsque sa relation avec le député socialiste avait été dévoilée, en février dernier, Audrey Pulvar avait cherché à minimiser la situation en se distinguant du cas de Béatrice Schönberg. « Béatrice était mariée à Jean-Louis Borloo, l'un des principaux ministres du gouvernement. Moi je ne suis «que» la compagne, la petite amie d'Arnaud Montebourg, qui est député de Saône-et-Loire et qui n'est pas au gouvernement», avait-elle déclaré au Jdd.fr, soulignant que le candidat aux primaires n'a jamais été ministre, pas même secrétaire d'Etat !
I>télé n'a fait que se plier à la «jurisprudence»
Anne Sinclair avait donné l'exemple
En 1997, la présentatrice de Sept sur Sept avait volontairement abandonné son poste lorsque son mari, Dominique Strauss-Kahn, était devenu ministre de l'Economie et des finances du gouvernement Jospin.
L'exception peine à devenir la règle
En février 2007, à l'approche de l'élection présidentielle, la direction de France 2 avait fait pression sur Béatrice Schönberg, en raison de sa relation avec Jean-Louis Borloo, alors ministre de la Cohésion sociale. La présentatrice du 20 heures avait finalement démissionné à la mi-mai 2007 pour satisfaire le SNJ.
A. Pulvar faisait durer sa réflexion
Lorsque sa relation avec le député socialiste avait été dévoilée, en février dernier, Audrey Pulvar avait cherché à minimiser la situation en se distinguant du cas de Béatrice Schönberg. « Béatrice était mariée à Jean-Louis Borloo, l'un des principaux ministres du gouvernement. Moi je ne suis «que» la compagne, la petite amie d'Arnaud Montebourg, qui est député de Saône-et-Loire et qui n'est pas au gouvernement», avait-elle déclaré au Jdd.fr, soulignant que le candidat aux primaires n'a jamais été ministre, pas même secrétaire d'Etat !
Le Point avait alors soutenu que Bertrand Méheut, le patron de Canal+ et de i>Télé, n'appliquerait pas la «jurisprudence Schönberg» tant qu'Arnaud Montebourg n'exercerait pas de mandat gouvernemental.
Dans une entretien de fin octobre, la journaliste avouait «réfléchir» encore aux conséquences d'une éventuelle candidature de son compagnon sur sa carrière. «J'arrêterais au moins l'interview politique, mais quand ? Dès qu'il se présente ou au début des primaires ? Pour tout le reste, je suis en pleine réflexion. Je pourrais suspendre mes activités, mais j'ai encore plusieurs mois avant de me décider». Mais la chaîne d'info en a jugé autrement et l'animatrice sacrifiera donc sa carrière à un homme...
Dans une entretien de fin octobre, la journaliste avouait «réfléchir» encore aux conséquences d'une éventuelle candidature de son compagnon sur sa carrière. «J'arrêterais au moins l'interview politique, mais quand ? Dès qu'il se présente ou au début des primaires ? Pour tout le reste, je suis en pleine réflexion. Je pourrais suspendre mes activités, mais j'ai encore plusieurs mois avant de me décider». Mais la chaîne d'info en a jugé autrement et l'animatrice sacrifiera donc sa carrière à un homme...
Le vertueux PS ne s'appique pas la règle valable pour tous
Benoît Hamon bafoue la jurisprudence
«La décision de Canal+ est très rapide », estime le porte-parole de Martine Aubry, après dix mois.
Fort peu critique de ses propres camarades pour peu qu'ils ne soutiennent Valls, Collomb ou Rebsamen, l'élu socialiste de nulle part (il n'est qu'élu de liste) assure qu' « on ne peut pas soupçonner Audrey Pulvar d'avoir ménagé l'un ou l'autre d'entre nous parce qu'elle est la compagne de Montebourg. Arnaud est candidat aux primaires, il ne gouverne pas.» Encore fallait-il en effet le préciser !
La cumularde socialiste n'est pas forcée au repos
La présentatrice ne disparaîtra que temporairement des écrans
«C'est l'émission qui est suspendue mais pas Audrey Pulvar. Nous ne voulons pas nous priver de son talent et nous allons réfléchir à un nouveau format d'émission», explique Albert Ripamonti, un jésuite de la déontologie professionnelle. Il faut la cacher au regard, sans faire taire sa voix.
Petite cuisine interne au monde socialiste
Chaque matin, A. Pulvar continuera ses arpèges commencées chez le chef Alain Plassard.
Ainsi restera-t-elle aux fourneaux de la tranche horaire matinale, de 6h à 7h, sur France Inter. Interrogée par Europe 1, la gâte-sauce du journalisme télévisuel accommode avec aisance les devoirs que lui impose pourtant la morale professionnelle. « Rien ne change» sur ce point, lance-t-elle allègrement au terme de sa longue réflexion. « Déjà, je ne présente pas de politique dans le 6-7, et pour l'interview de 7h50, on s'est mis d'accord que s'il y avait impossibilité de recevoir un politique, et que ce soit un conflit d'intérêt, quelqu'un d'autre ferait l'interview», assure la sacrifiée qui poserait bientôt en martyre.
La compagne de François Hollande, la journaliste Valérie Trierweiler, qui a supplanté l'amère Royal et conduit des entretiens politiques sur Direct 8, pourrait elle aussi passer à la casserolle, tout en évitant le vide-ordures. Son patron serait également tombé d'accord avec le PS: il pourrait la retirer du service en salle, mais la garder en cuisine.
Un prix de vertu pour i-télé
Que pouvait-on attendre de la filiale de Canal+, la très socialiste chaîne démocratique à péage, qui a été condamnée en appel pour concurrence déloyale envers la chaîne BFM TV, en juin 2009 ?
Pulvar aurait-elle l'émotivité naturellement à fleur de peau, mais sélective ?
Première femme noire à présenter un journal télévisé sur une chaîne hertzienne, le journal du soir de France 3 en 2005, elle refusa d'abord d'être un symbole ou un alibi, mais n'a pas tardé à devenir un porte-drapeau.
Audrey Pulvar (1972) qui a vécu son enfance à Fort-de-France (Martinique), est née d'un père, Marc Pulvar, ancien professeur de mathématiques, co-fondateur et secrétaire général de la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM) et secrétaire national du Mouvement indépendantiste martiniquais. L'auteur de son éloge funèbre est d'ailleurs un proche du mouvement des Indigènes de la République. Lire PaSiDupes
Audrey Pulvar d'ailleurs a écrit une lettre ouverte à l’adresse de Jean-Paul Guerlain, intitulée «Nègre je suis, nègre je resterai».
La journaliste de la matinale de France Inter y réagissait à la phrase du parfumeur, prononcée vendredi 15 octobre sur le plateau du JT de 13 heures d'Elise Lucet - restée silencieuse - sur France2: « J’ai travaillé comme un nègre, je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin…»
La présentatrice s'y indigne aussi de la faiblesse des réactions des mondes médiatique et politique. « On a bien cherché, on a bien attendu pendant tout le week-end, dans la bouche de tous ces responsables politiques, un début de condamnation, d’émoi, d’indignation (…).».
Enfin, après avoir cité quelques vers d’Aimé Césaire, chantre de la négritude, elle rappella la façon dont le poète répondit un jour: «Eh bien le nègre, il t’emmerde !»
La presse a largement reproduit la déclaration polémique de Mme Pulvar sur les propos du parfumeur. La concubine d'Arnaud Montebourg affirme néanmoins qu' « en France, on peut donc prononcer des paroles racistes à une heure de grande écoute, sur un média national sans qu’aucune grande voix, politique, intellectuelle ou artistique ne s’en émeuve.»
Or, PaSiDupes n'a trouvé ni lettre ni déclaration condamnant les propos de Houria Bouteldja. (lien PaSiDupes)
A-t-elle, en revanche, adressé des lettres ouvertes à Georges Frèche ?
Les propos du potentat régional auraient pourtant justifié une correspondance suivie abondante. L'odieux socialiste dénonça en effet à la fois la forte concentration de Noirs dans l'équipe de France et insulta les Harkis. Lien PaSiDupes
La cumularde socialiste n'est pas forcée au repos
La présentatrice ne disparaîtra que temporairement des écrans
«C'est l'émission qui est suspendue mais pas Audrey Pulvar. Nous ne voulons pas nous priver de son talent et nous allons réfléchir à un nouveau format d'émission», explique Albert Ripamonti, un jésuite de la déontologie professionnelle. Il faut la cacher au regard, sans faire taire sa voix.
Petite cuisine interne au monde socialiste
Chaque matin, A. Pulvar continuera ses arpèges commencées chez le chef Alain Plassard.
Ainsi restera-t-elle aux fourneaux de la tranche horaire matinale, de 6h à 7h, sur France Inter. Interrogée par Europe 1, la gâte-sauce du journalisme télévisuel accommode avec aisance les devoirs que lui impose pourtant la morale professionnelle. « Rien ne change» sur ce point, lance-t-elle allègrement au terme de sa longue réflexion. « Déjà, je ne présente pas de politique dans le 6-7, et pour l'interview de 7h50, on s'est mis d'accord que s'il y avait impossibilité de recevoir un politique, et que ce soit un conflit d'intérêt, quelqu'un d'autre ferait l'interview», assure la sacrifiée qui poserait bientôt en martyre.
La compagne de François Hollande, la journaliste Valérie Trierweiler, qui a supplanté l'amère Royal et conduit des entretiens politiques sur Direct 8, pourrait elle aussi passer à la casserolle, tout en évitant le vide-ordures. Son patron serait également tombé d'accord avec le PS: il pourrait la retirer du service en salle, mais la garder en cuisine.
Un prix de vertu pour i-télé
Que pouvait-on attendre de la filiale de Canal+, la très socialiste chaîne démocratique à péage, qui a été condamnée en appel pour concurrence déloyale envers la chaîne BFM TV, en juin 2009 ?
Pulvar aurait-elle l'émotivité naturellement à fleur de peau, mais sélective ?
Première femme noire à présenter un journal télévisé sur une chaîne hertzienne, le journal du soir de France 3 en 2005, elle refusa d'abord d'être un symbole ou un alibi, mais n'a pas tardé à devenir un porte-drapeau.
Audrey Pulvar (1972) qui a vécu son enfance à Fort-de-France (Martinique), est née d'un père, Marc Pulvar, ancien professeur de mathématiques, co-fondateur et secrétaire général de la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM) et secrétaire national du Mouvement indépendantiste martiniquais. L'auteur de son éloge funèbre est d'ailleurs un proche du mouvement des Indigènes de la République. Lire PaSiDupes
Audrey Pulvar d'ailleurs a écrit une lettre ouverte à l’adresse de Jean-Paul Guerlain, intitulée «Nègre je suis, nègre je resterai».
La journaliste de la matinale de France Inter y réagissait à la phrase du parfumeur, prononcée vendredi 15 octobre sur le plateau du JT de 13 heures d'Elise Lucet - restée silencieuse - sur France2: « J’ai travaillé comme un nègre, je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin…»
La présentatrice s'y indigne aussi de la faiblesse des réactions des mondes médiatique et politique. « On a bien cherché, on a bien attendu pendant tout le week-end, dans la bouche de tous ces responsables politiques, un début de condamnation, d’émoi, d’indignation (…).».
Enfin, après avoir cité quelques vers d’Aimé Césaire, chantre de la négritude, elle rappella la façon dont le poète répondit un jour: «Eh bien le nègre, il t’emmerde !»
La presse a largement reproduit la déclaration polémique de Mme Pulvar sur les propos du parfumeur. La concubine d'Arnaud Montebourg affirme néanmoins qu' « en France, on peut donc prononcer des paroles racistes à une heure de grande écoute, sur un média national sans qu’aucune grande voix, politique, intellectuelle ou artistique ne s’en émeuve.»
Or, PaSiDupes n'a trouvé ni lettre ni déclaration condamnant les propos de Houria Bouteldja. (lien PaSiDupes)
A-t-elle, en revanche, adressé des lettres ouvertes à Georges Frèche ?
Les propos du potentat régional auraient pourtant justifié une correspondance suivie abondante. L'odieux socialiste dénonça en effet à la fois la forte concentration de Noirs dans l'équipe de France et insulta les Harkis. Lien PaSiDupes
Critique-t-elle les tergiversations du PS et l'éternité qu'il a mise à exclure feu le socialiste Frèche pour ses propos racistes ? Lien PaSiDupes
C'était, il est vrai, alors que la journaliste ne partageait pas encore la vie du député socialiste Nono Montebourg, lequel, pour tout savoir, est le fils de Leïla Mint Cadi, professeur d'espagnol et descendant de walis, des représentants algériens de l'Etat, nommés dans les wilayas par décret présidentiel, au temps de l'Algérie française.
Et le CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel), dans tout ça ?
C'est étrange, pas un mot sur Ockrent, nommée à la tête de France 24 alors que son compagnon était aux Affaires étrangères - dont France 24 dépend - ni de Marie Drucker que ça n'a pas gêné de continuer à officier sur le service public alors qu'elle était compagne de François Baroin ! Non, pas si dupes de votre manque d'objectivité : il n'y a que la gauche à dénoncer.
RépondreSupprimerQuelqu'un pourrait-il confirmer s'il a bien été l'avocat du "Canard Enchaîné".
RépondreSupprimerLe long combat de Montebourg contre TF1
"Au début des années 90, il est l'avocat de deux associations, "TV carton jaune", puis "Changez la Une". "
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/le-long-combat-de-montebourg-contre-tf1_924869.html
Objectivité............
à Olivier,
RépondreSupprimerCet ami fidèle de PaSiDupes n'a pas tort, de son point de vue étroit.
Il n'aura pourtant pas échappé à sa perspicacité sélective que la presse institutionnelle n'attend pas après PaSiDupes pour charger la droite. Il est donc équitable - n'est-ce pas - que ce blog se consacre à son opposition.
Cette prédilection autorise PaSiDupes à recentrer sur le couple Ockrent l'orientation du "journaliste engagé" et à combler une lacune vertueuse de sa critique: la fameuse auto-censure des "décrypteurs" de la presse qui trouve l'impertinence plus confortable que l'exigeante neutralité ! A la ville donc, et pourquoi le taire, Mme Ockrent est l'épouse d'un dénommé Bernard Kouchner, qui, Olivier ne contredira pas, est encore socialiste et restera à jamais ancien ministre de Tonton Mitterrand.
Olivier n'aime visiblement pas grand monde et son champ visuel est politiquement rétréci. Après avoir ostracisé un socialiste, réussira-t-il donc à pardonner (ou excuser !...) PaSiDupes d'isoler ce militant humanitaire de la masse des socialistes bornés ?
A bientôt le plaisir de vous retrouver sur PaSiDupes.