Les révolutionnaires de la CNT outragent les anciens combattants
Des anarchistes révolutionnaires s'invitent au Monument aux Morts
Une cinquantaine de militants révolutionnaires de la CNT (Confédération Nationale du Travail, confédération anarcho-syndicaliste) est venue troubler la cérémonie de commémoration du 11-Novembre à Toulouse. Les anciens combattants se disent « profondément choqués » par ces agissements.
La commémoration du 11-Novembre se déroulait normalement - musique militaire et discours patriotiques résonnaient au monument aux morts de Toulouse, sur les allées François-Verdier - quand des militants anarchistes sont venus troubler l'harmonie de cette cérémonie du souvenir avec des banderoles.
Les activistes, qui se dirigeaient vers la stèle, ont été stoppés par les forces de l'ordre au niveau de la place Dupuy, à 200 mètres de son objectif. « J'ai aperçu des manifestants qui brandissaient des pancartes au loin, raconte Guy Darmanin, président départemental de l'Ufac (Union française des anciens combattants), présent dans la tribune d'honneur. Mais je n'y ai pas prêté plus d'attention que ça… » La cérémonie s'est donc achevée dans la dignité vers 12 h 30.
Une provocation que supporte l'opposition
Après le départ des forces de l'ordre, les militants de la CNT se sont regroupés sur le parvis du monument aux morts. Le rassemblement a profondément choqué les derniers spectateurs présents. « C'est de la provocation, s'indigne un ancien combattant qui a servi en Algérie. Ces gens n'ont aucune morale. »
Des anarchistes révolutionnaires s'invitent au Monument aux Morts
Une cinquantaine de militants révolutionnaires de la CNT (Confédération Nationale du Travail, confédération anarcho-syndicaliste) est venue troubler la cérémonie de commémoration du 11-Novembre à Toulouse. Les anciens combattants se disent « profondément choqués » par ces agissements.
La commémoration du 11-Novembre se déroulait normalement - musique militaire et discours patriotiques résonnaient au monument aux morts de Toulouse, sur les allées François-Verdier - quand des militants anarchistes sont venus troubler l'harmonie de cette cérémonie du souvenir avec des banderoles.
Les activistes, qui se dirigeaient vers la stèle, ont été stoppés par les forces de l'ordre au niveau de la place Dupuy, à 200 mètres de son objectif. « J'ai aperçu des manifestants qui brandissaient des pancartes au loin, raconte Guy Darmanin, président départemental de l'Ufac (Union française des anciens combattants), présent dans la tribune d'honneur. Mais je n'y ai pas prêté plus d'attention que ça… » La cérémonie s'est donc achevée dans la dignité vers 12 h 30.
Une provocation que supporte l'opposition
Après le départ des forces de l'ordre, les militants de la CNT se sont regroupés sur le parvis du monument aux morts. Le rassemblement a profondément choqué les derniers spectateurs présents. « C'est de la provocation, s'indigne un ancien combattant qui a servi en Algérie. Ces gens n'ont aucune morale. »
Michel Pech, conseiller municipal délégué à la Mémoire et au Monde combattant, estime que « ce n'était ni le jour ni le lieu opportun pour organiser une telle manifestation ».
Mais Catherine Lemorton, élue de la 1re circonscription de Haute-Garonne, tient, elle, a dédramatisé la situation : « Je comprends que ces agissements aient pu heurter les anciens combattants. Mais les slogans que j'ai pu lire - « Des soldats, pas de la chair à canon » - ne me paraissent pas dénués de sens. » Puisque La Dépêche ne juge pas utile de l'indiquer, précisons que la dame est députée du PS.
«Le devoir de mémoire pour construire le monde de demain »
Qui, dans la presse et parmi les acteurs politiques, a dit son indignation, hormis les Jeunes Populaires de l'Aude dont le communiqué arrive à propos, en réponse involontaire aux anars qui, sans dieu, ni maître, auraient bel et bien connu l'asservissement, sans le sacrifice de nos anciens.
Le 9 et le 11 novembre sont deux dates importantes à retenir, rappelle le communiqué.
C'est en effet le 9 novembre 1970 que s'éteignait le Général De Gaulle, qui peut être regardé comme le plus grand des Français. Fidèles à ses idées, les Jeunes Populaires tiennent à faire mémoire de cet événement et à honorer l'héritage de cet homme illustre. Nous sommes fiers d'appartenir à cet héritage gaulliste.
Le 11 novembre marque la fin du premier conflit mondial, guerre sanglante s'il en fut, qui opposa diverses nations européennes.
Presque un siècle après cette période douloureuse, les Jeunes Populaires souhaitent réaffirmer leur engagement en faveur de la paix et de la coopération entre les divers États membres de l'Union européenne. [...]
"Faire de la politique, à notre sens, c'est d'apporter un autre projet, d'autres ambitions pour nos villes, surtout dans ce département, mais c'est aussi s'ouvrir sur le monde qui nous entoure. Loin de l'utopie socialiste et de la contestation stérile à laquelle la gauche est habituée, notre mouvement et les Jeunes UMP de l'Aude se proposent de construire une France et une Europe solidement ancrées dans des valeurs de libertés, de justice et de paix."
«Le devoir de mémoire pour construire le monde de demain »
Qui, dans la presse et parmi les acteurs politiques, a dit son indignation, hormis les Jeunes Populaires de l'Aude dont le communiqué arrive à propos, en réponse involontaire aux anars qui, sans dieu, ni maître, auraient bel et bien connu l'asservissement, sans le sacrifice de nos anciens.
Le 9 et le 11 novembre sont deux dates importantes à retenir, rappelle le communiqué.
C'est en effet le 9 novembre 1970 que s'éteignait le Général De Gaulle, qui peut être regardé comme le plus grand des Français. Fidèles à ses idées, les Jeunes Populaires tiennent à faire mémoire de cet événement et à honorer l'héritage de cet homme illustre. Nous sommes fiers d'appartenir à cet héritage gaulliste.
Le 11 novembre marque la fin du premier conflit mondial, guerre sanglante s'il en fut, qui opposa diverses nations européennes.
Presque un siècle après cette période douloureuse, les Jeunes Populaires souhaitent réaffirmer leur engagement en faveur de la paix et de la coopération entre les divers États membres de l'Union européenne. [...]
"Faire de la politique, à notre sens, c'est d'apporter un autre projet, d'autres ambitions pour nos villes, surtout dans ce département, mais c'est aussi s'ouvrir sur le monde qui nous entoure. Loin de l'utopie socialiste et de la contestation stérile à laquelle la gauche est habituée, notre mouvement et les Jeunes UMP de l'Aude se proposent de construire une France et une Europe solidement ancrées dans des valeurs de libertés, de justice et de paix."
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