Désirdavenir Royal n’en peut plus : il faut qu’elle prenne du repos
La candidate socialiste battue à la Présidence de la République n’a le respect ni de la fonction qu’elle a pourtant briguée ni de la personne que les Français et les Françaises lui ont préféré. Comment aurait-elle donc le respect des électeurs ? Et du systême démocratique?
L’amère Royal donne des signes de fatigue.
La candidate socialiste battue à la Présidence de la République n’a le respect ni de la fonction qu’elle a pourtant briguée ni de la personne que les Français et les Françaises lui ont préféré. Comment aurait-elle donc le respect des électeurs ? Et du systême démocratique?
L’amère Royal donne des signes de fatigue.
Voilà maintenant que pour elle le président de la République "ne se rend même plus compte de ce qu'il dit", a-t-elle lâché mardi. C'est à se demander si elle est elle-même consciente de son état. Elle sait même pourquoi ! "Il vit dans un autre monde". En effet, cet ‘autre monde’ n’est pas celui des mots, des invectives et des bourdes : Marie-sEGOlène croit encore que la terre est plate et tourne autour d’elle. Que peut-elle comprendre au nouveau monde, les terres vierges découvertes en 2007, la réailté bien concrète de Sarkozy et de l’avenir des Français, telle d’Ingrid Betancourt qui renaît à la vie, le cœur plein d’amour et d’espoir.
Après avoir occulté le rôle du Président dans la libération des guérilleros marxistes révolutionnaires, malgré l’hommage que leur victime lui a plusieurs fois rendu, voici qu’elle perd derechef ses nerfs et produit une nouvelle illustration de la ‘république du respect’ sur laquelle elle n’a pas réussi à convaincre.
Après avoir occulté le rôle du Président dans la libération des guérilleros marxistes révolutionnaires, malgré l’hommage que leur victime lui a plusieurs fois rendu, voici qu’elle perd derechef ses nerfs et produit une nouvelle illustration de la ‘république du respect’ sur laquelle elle n’a pas réussi à convaincre.
Probablement surmenée bien que constamment en voyages, l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle a encore manifesté son absence de maîtrise. La présidente aigrie de la région Poitou-Charentes s’est en effet emportée sur RTL contre Nicolas Sarkozy pour qui, selon elle, "l'argent n'a pas d'importance puisqu'il croule sous l'argent". Rappelons qu'elle n'a que 110 euros pour vivre et qu'elle se les fait régulièrement voler. Dans son délire, elle n’a pas craint non plus d’affirmer qu’il aurait "une méconnaissance de ce qui se passe aujourd'hui en France".
Comme à chaque fois qu’elle disjoncte, elle s’est montrée incapable de contenir ce qu’elle maquille en ‘colère saine’. Ainsi, inconscience de son ridicule, Madame Royal s’est enlisée un peu plus: "On se croirait revenu sous l'Ancien Régime où le Roi s'amuse, le Roi dilapide l'argent, le Roi soigne ses amis, le Roi enrichit ceux qui sont déjà riches et pendant ce temps là le peuple s'appauvrit". La FSU l’aurait-elle formatée ?
Elle prétend avoir cicatrisé depuis sa défaite mais a également mis en garde la majorité contre ce qu’elle qualifie d’excès de triomphalisme face à des grèves bien moins suivies qu'auparavant : "Il y a des colères muettes qui ne se manifestent pas forcément par des grèves ou des protestations parce que on [n’] a plus les moyens (...), parce que ça coûte cher", a-t-elle menacé. Elle s'époumone ainsi pour faire se lever le "vent de la révolte" de ses prévisions météorologiques personnelles ...
Elle ne cesse de prendre ses désirs pour des réalités: c'est son 'autre monde' intérieur tumultueux... "Les gens sont désespérés, c'est très difficile aujourd'hui pour les salariés, modestes en particulier, de perdre une journée de salaire pour une journée de grève", a estimé Sa Cynique Majesté Royal, pour qui "présider un pays, c'est d'abord respecter les Français et c'est répondre à leurs soucis et à leurs problèmes". Ce n’est donc pas réformer, mais conserver dans la naphtaline, aussi bien les privilèges catégoriels que les avantages acquis : le maintien en l’état des privilèges de l’aristocratie … syndicale !
Elle ne cesse de prendre ses désirs pour des réalités: c'est son 'autre monde' intérieur tumultueux... "Les gens sont désespérés, c'est très difficile aujourd'hui pour les salariés, modestes en particulier, de perdre une journée de salaire pour une journée de grève", a estimé Sa Cynique Majesté Royal, pour qui "présider un pays, c'est d'abord respecter les Français et c'est répondre à leurs soucis et à leurs problèmes". Ce n’est donc pas réformer, mais conserver dans la naphtaline, aussi bien les privilèges catégoriels que les avantages acquis : le maintien en l’état des privilèges de l’aristocratie … syndicale !
Le ministre du Travail l’a invitée, également sur RTL, à se ressaisir et ne pas se mettre dans tous ses états.
Il fallait la convaincre qu’elle n’avait pas de raison de faire bondir sa tension artérielle, puisque "la grève est un droit constitutionnel qui doit être respecté". Il a encore tenté de la sensibiliser à la … cohérence, concrète et pratique, en matière de ‘débat participatif’ : il lui a fait observer que "pendant trop longtemps en France on faisait grève et on discutait après".
Calmement, vu son état, le ministre lui a expliqué, comme un médecin à sa patiente : "Surtout il n'y avait pas de service minimum notamment dans les transports en cas de grève, aujourd'hui les choses ont radicalement changé" en améliorant les conditions de vie, spécialement celles des femmes. Xavier Bertrand a ménagé la surmenée en ne mentionnant pas que le service minimum d’accueil en milieu scolaire (SMA) facilite aussi la vie des familles. Il a pourtant risqué de provoquer une nouvelle crise en lui rappelant qu’ "on doit prendre en compte la volonté de ceux qui ont besoin des transports en commun pour aller travailler". Et préserver leur pouvoir d’achat.
Le secrétaire général adjoint de l'UMP, s'est félicité que le gouvernement soit parvenu "à faire en sorte notamment que le service minimum dans les transports en cas de grève soit devenu réalité".
"Ce qui est fait par le gouvernement vise plutôt à mettre de l'huile dans les rouages depuis maintenant un peu plus d'un an", a déclaré par ailleurs X. Bertrand.
Calmement, vu son état, le ministre lui a expliqué, comme un médecin à sa patiente : "Surtout il n'y avait pas de service minimum notamment dans les transports en cas de grève, aujourd'hui les choses ont radicalement changé" en améliorant les conditions de vie, spécialement celles des femmes. Xavier Bertrand a ménagé la surmenée en ne mentionnant pas que le service minimum d’accueil en milieu scolaire (SMA) facilite aussi la vie des familles. Il a pourtant risqué de provoquer une nouvelle crise en lui rappelant qu’ "on doit prendre en compte la volonté de ceux qui ont besoin des transports en commun pour aller travailler". Et préserver leur pouvoir d’achat.
Le secrétaire général adjoint de l'UMP, s'est félicité que le gouvernement soit parvenu "à faire en sorte notamment que le service minimum dans les transports en cas de grève soit devenu réalité".
"Ce qui est fait par le gouvernement vise plutôt à mettre de l'huile dans les rouages depuis maintenant un peu plus d'un an", a déclaré par ailleurs X. Bertrand.
N'ayez pas peur!
RépondreSupprimerSégolène Royal n'est ni Louise Michel,ni Rosa Luxembourg,ni la Passionaria, ni Alexandra Kollontaï.
Elle n'est simplement qu'une grande bourgeoise atteinte de mégalomanie.
Mme Royal a encore ajouté aux insultes et accusations graves.
RépondreSupprimerChaque jour, chaque heure, à chaque parole (un nombre considérable par jour-- elle enchaîne régulièrement une station de radio et deux chaînes de télévision en une heure), elle déshonore la classe politique (à commencer par son Parti) et le pays.
Je me demande si Ségolène Royale n'est pas en train de "décompenser" :
RépondreSupprimerelle croule sous la haine, la jalousie,l'échec,les perspectives d'avenir qui s'amenuisent chaque jour, elle sent l'étau se ressérer inexorablement,elle pète régulièrement les plombs car même son image lui échappe.
Elle s'est mis trop de pression sur les épaules et son état mental ne peut plus le supporter. ( de plus,elle commet des fautes de français qu'un gamin de 10 ans - correctement scolarisé -ne fait pas.)
'L'entrefilet" au journal de 20H serait-il pour bientôt ?
Elle n'est pas responsable de ce qu'elle est mais ele est²responsable d'un état état d'esprit déplorable parmi les citoyens. Elle a plus que jamais besoin de soins appropriés.Pour elle, pour sa famille ( ses enfants )et pour nous tous !