Au côté de Lang, le ‘french doctor’ au chevet du PS
Bernard Kouchner, le ministre socialiste des Affaires du gouvernement Fillon, estime, dans un entretien avec Sud Ouest publiée vendredi, que la "plus grande réforme dont le pays aurait besoin c'est peut-être la réforme du parti socialiste".
Indiquant qu'il avait téléphoné à Jack Lang "ausitôt pour le féliciter de son courage et de sa lucidité" lors du vote sur la réforme des institutions, Bernard Kouchner affirme être "fier de travailler avec (le président Sarkozy) parce qu'il réforme le pays".
Selon le ministre d’ouverture, "le parti socialiste pourrait se mettre au diapason des autres partis frères en Europe […] Cela ferait plaisir à tout le monde. On pousserait un ouf de soulagement et peut-être pourrait-il faire des propositions. Là on est dans la négation perpétuelle, un peu immature", a encore dit le ministre. Désirdavenir ne s’est probablement pas plus reconnue que le Bureau national, mais sinon, Kouchner ne va pas tarder à subir ses agressions…
Il a en outre témoigné de ce que "la moitié (des socialistes), sinon les trois quarts, ne pensent pas ce qu'ils disent".
Un scoop ?
Bernard Kouchner, le ministre socialiste des Affaires du gouvernement Fillon, estime, dans un entretien avec Sud Ouest publiée vendredi, que la "plus grande réforme dont le pays aurait besoin c'est peut-être la réforme du parti socialiste".
Indiquant qu'il avait téléphoné à Jack Lang "ausitôt pour le féliciter de son courage et de sa lucidité" lors du vote sur la réforme des institutions, Bernard Kouchner affirme être "fier de travailler avec (le président Sarkozy) parce qu'il réforme le pays".
Selon le ministre d’ouverture, "le parti socialiste pourrait se mettre au diapason des autres partis frères en Europe […] Cela ferait plaisir à tout le monde. On pousserait un ouf de soulagement et peut-être pourrait-il faire des propositions. Là on est dans la négation perpétuelle, un peu immature", a encore dit le ministre. Désirdavenir ne s’est probablement pas plus reconnue que le Bureau national, mais sinon, Kouchner ne va pas tarder à subir ses agressions…
Il a en outre témoigné de ce que "la moitié (des socialistes), sinon les trois quarts, ne pensent pas ce qu'ils disent".
Un scoop ?
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