Sur qui les soupçons portent-ils?
PaSiDupes n’avait pas pu concevoir que les incidents dans le nucléaire puissent s’arrêter comme ils avaient commencé, tant le nucléaire français est devenu la cible privilégiée des écologistes. Nous avions envisagé que Marcoule pourrait être le prochain site visé. Or, c’est à nouveau à Tricastin qu’un incident est intervenu à la Socatri, filiale de retraitement de déchets du groupe nucléaire français Areva.
C'était le 21 juillet, vers 23h00, mais il ne fut signalé à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) que vers 07h30 le lendemain matin. Ce qui ne signifie pas pour autant que, si les sources des journalistes ont dormi à poings fermés jusqu’au petit matin, rien n’a été aussitôt entrepris par les autorités.
Une fuite est survenue lors du nettoyage d'une cuve de rétention de l'usine, déclare la Socatri. Quelque 74 kilos d'uranium ont été rejetés dans deux ruisseaux, la Gaffière et le Lauzon.
Les communes concernées ont été prévenues mardi 22 aux alentours de midi, après divers contrôles. Des mesures de restriction concernant l'accès à l'eau, la baignade et l'irrigation ont été prises par la préfecture, puis rapidement levées dans les deux jours qui ont suivi, l'incident n'ayant eu aucune conséquence pour l'environnement selon les autorités. Fallait-il donc alarmer les populations ? Les écolos y sont favorables ; non pas pour des raisons sanitaires, mais politiques. Qui fait la différence entre des rejets hautement radioactifs et des déchets faiblement radioactifs? La politique des écologistes ne fait pas le distinguo et la psychose recherchée a eu le temps de s’installer.
Ce site était en travaux à la suite d'une première demande de l'ASN en 2007, qui avait adressé un avertissement à la société après avoir relevé des négligences. Ou des malveillances ?
PaSiDupes n’avait pas pu concevoir que les incidents dans le nucléaire puissent s’arrêter comme ils avaient commencé, tant le nucléaire français est devenu la cible privilégiée des écologistes. Nous avions envisagé que Marcoule pourrait être le prochain site visé. Or, c’est à nouveau à Tricastin qu’un incident est intervenu à la Socatri, filiale de retraitement de déchets du groupe nucléaire français Areva.
C'était le 21 juillet, vers 23h00, mais il ne fut signalé à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) que vers 07h30 le lendemain matin. Ce qui ne signifie pas pour autant que, si les sources des journalistes ont dormi à poings fermés jusqu’au petit matin, rien n’a été aussitôt entrepris par les autorités.
Une fuite est survenue lors du nettoyage d'une cuve de rétention de l'usine, déclare la Socatri. Quelque 74 kilos d'uranium ont été rejetés dans deux ruisseaux, la Gaffière et le Lauzon.
Les communes concernées ont été prévenues mardi 22 aux alentours de midi, après divers contrôles. Des mesures de restriction concernant l'accès à l'eau, la baignade et l'irrigation ont été prises par la préfecture, puis rapidement levées dans les deux jours qui ont suivi, l'incident n'ayant eu aucune conséquence pour l'environnement selon les autorités. Fallait-il donc alarmer les populations ? Les écolos y sont favorables ; non pas pour des raisons sanitaires, mais politiques. Qui fait la différence entre des rejets hautement radioactifs et des déchets faiblement radioactifs? La politique des écologistes ne fait pas le distinguo et la psychose recherchée a eu le temps de s’installer.
Ce site était en travaux à la suite d'une première demande de l'ASN en 2007, qui avait adressé un avertissement à la société après avoir relevé des négligences. Ou des malveillances ?
A Tricastin, la gendarmerie s’est livrée à deux perquisitions à la Socatri (Vaucluse), société du groupe Areva, où s'est produite une fuite d'uranium le 7 juillet dernier, selon une source proche de la gendarmerie.
«Une source proche de la gendarmerie », dixit une agence de presse. Le secret des sources ne permet pas d’en savoir davantage ! En bonne démocratie, la population n’a pas le droit de savoir si la presse dissimule l’inavouable ou fabrique de l’information. Aussi bien, le café du coin pourrait donc être à l’origine de l’information, mais la garantie de fiabilité serait-elle alors suffisante? Ou bien s’agit-il d’une fuite syndicale, une de plus, ce qui en la circonstance serait particulièrement mal venu…
Les perquisitions auraient été effectuées par les gendarmes dans le cadre d'une enquête ouverte par le parquet de Carpentras, qui a été saisi par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) après l'incident. Cette fois, la presse n’aurait plus eu besoin d’aucun intermédiaire bavard et la source serait directe : soit le parquet de Carpentras, soit l’ASN. Ces derniers compteraient-ils donc des militants écolos dans leurs rangs ? D’ailleurs, des associations écologistes ont aussi déposé plainte, ainsi qu'une habitante d'une commune proche de Bollène. La dame qualifiée de simple ‘habitante’ anonyme serait-elle particulièrement sensibilisée à la question, voire engagée ? N’a-t-on pas vu des passagers anonymes, par hasard sur le vol de Bamako, orchestrer dans l avion l’opposition au rapatriement de sans-papiers ? (Lire PaSiDupes) Un réalisateur, depuis récompensé par le Festival de Cannes, n’avait pas non plus trouvé d’autre vol que celui-là ! Le hasard ferait-il bien les choses, cette fois-là pour les militants du réseau ESF et cette fois-ci pour les activistes écologistes ?
Nous assistons ainsi à une vague subite d’incidents dans des sites nucléaires français, ce qui, selon la presse sympathisante, a amené les associations écologistes et les syndicats à demander la réouverture du débat sur la sécurité et la gestion de cette source d'énergie. Il est néanmoins permis de s’interroger sur la relation de cause à effets, selon cette presse engagée. A l’inverse en effet, la demande syndicale de réouverture du débat sur la sécurité et la gestion du nucléaire ne serait-elle pas plutôt à l’origine de cette multiplication d’incidents ?
A noter qu’en matière de malveillances, dans le même temps, de l’uranium a été l’objet de convoitises et a également été dérobé.
Les militants écologistes anti-nucléaires seraient-ils dans une phase d’hyperactivité, voire de surchauffe ?
«Une source proche de la gendarmerie », dixit une agence de presse. Le secret des sources ne permet pas d’en savoir davantage ! En bonne démocratie, la population n’a pas le droit de savoir si la presse dissimule l’inavouable ou fabrique de l’information. Aussi bien, le café du coin pourrait donc être à l’origine de l’information, mais la garantie de fiabilité serait-elle alors suffisante? Ou bien s’agit-il d’une fuite syndicale, une de plus, ce qui en la circonstance serait particulièrement mal venu…
Les perquisitions auraient été effectuées par les gendarmes dans le cadre d'une enquête ouverte par le parquet de Carpentras, qui a été saisi par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) après l'incident. Cette fois, la presse n’aurait plus eu besoin d’aucun intermédiaire bavard et la source serait directe : soit le parquet de Carpentras, soit l’ASN. Ces derniers compteraient-ils donc des militants écolos dans leurs rangs ? D’ailleurs, des associations écologistes ont aussi déposé plainte, ainsi qu'une habitante d'une commune proche de Bollène. La dame qualifiée de simple ‘habitante’ anonyme serait-elle particulièrement sensibilisée à la question, voire engagée ? N’a-t-on pas vu des passagers anonymes, par hasard sur le vol de Bamako, orchestrer dans l avion l’opposition au rapatriement de sans-papiers ? (Lire PaSiDupes) Un réalisateur, depuis récompensé par le Festival de Cannes, n’avait pas non plus trouvé d’autre vol que celui-là ! Le hasard ferait-il bien les choses, cette fois-là pour les militants du réseau ESF et cette fois-ci pour les activistes écologistes ?
Nous assistons ainsi à une vague subite d’incidents dans des sites nucléaires français, ce qui, selon la presse sympathisante, a amené les associations écologistes et les syndicats à demander la réouverture du débat sur la sécurité et la gestion de cette source d'énergie. Il est néanmoins permis de s’interroger sur la relation de cause à effets, selon cette presse engagée. A l’inverse en effet, la demande syndicale de réouverture du débat sur la sécurité et la gestion du nucléaire ne serait-elle pas plutôt à l’origine de cette multiplication d’incidents ?
A noter qu’en matière de malveillances, dans le même temps, de l’uranium a été l’objet de convoitises et a également été dérobé.
Les militants écologistes anti-nucléaires seraient-ils dans une phase d’hyperactivité, voire de surchauffe ?
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