Martine Aubry est de retour.
La Ch’tite Aubry s'impose comme une opposante de premier ordre dans l'opinion. Tandis que, sans le moindre début de preuve, la maire de Melle s’enlise dans les sondages et des accusations douteuses de cambriolages troublants et d’écoutes téléphoniques supposées, la maire de Lille trace sa route.
Royal, 4e, ne monte plus sur le podium
Royal, 4e, ne monte plus sur le podium
Alors que la réforme du temps de travail s’efforce de pallier les inconvénients des « 35 heures », sa responsable s’avance juste derrière Bertrand Delanoë et François Bayrou parmi les personnalités dont les Français souhaiteraient voir croître "l'influence", selon le baromètre BVA- L'Express de juillet paru ce jeudi.
Le maire de Paris est une nouvelle fois en tête pour l'ensemble des sondés (51 %, + 1), devant le président du MoDem (45 %, - 1), bien que ce dernier ait disparu du paysage, ou pour cette raison. Pendant que Sa Cynique Majesté Royal fait des bonds hystériques devant micros et caméras, la maire PS de Lille fait, elle, un bond de 5 points en 3e place (44 %) et devance la socialiste Royal (43 %, + 3).
L'amère Royal en veut donc à tout le monde.
Le porte-parole de la LCR, Olivier Besancenot, perd, lui, un point à 42 %, recule de la 3e à la 5e place, mais la marque toujours à la culotte. C’est la raison première des efforts de l’amère Royal pour se cramponner sur le devant de la scène médiatique, en essayant de faire figure de première opposante au régime, avant de bientôt verser à la rubrique ‘santé’.
Les sympathisants de gauche ?
Ils penchent vers Bertrand Delanoë, du côté où ils vont tomber. Le maire de Paris arrive également en tête à 71 % (+ 3) devant Martine Aubry qui gagne huit points à 64 %, ex aequo avec Olivier Besancenot (+ 2), alors que la maire de Melle décroche de ... 5 points à 59 % et recule de deux places. Celle qu'on surnommait la "madone des sondages" n’est plus en odeur de sainteté.
* Sondage réalisé en face à face du 2 au 5 juillet auprès d'un échantillon national représentatif (méthode des quotas).
La dame des 35 heures est donc de retour.
RépondreSupprimerCette mesure avait pourtant bien coûté la Présidentielle à la gauche en 2002 avec une bonne partie de l'électorat ouvrier qui avait voté extrême droite.
Oserait-elle les remettre en place, ces fumeuses 35 h ?
Les ouvriers la suivraient -ils alors que par sa faute ils ne pouvaient plus travailler plus pour gagner plus ?
Décidément, plus j'y réfléchis, plus tout ceci m'apparait comme des "promesses à élire" par défaut plus que par conviction.
Le paysage socialiste ne s'est toujours pas enrichi d'une personnalité de valeur, ouverte et progressiste.Sans doute parce que le socialisme s'est fait avaler tout cru par le gauchisme lequel est tout bonnement du communisme de base prônant un égalitarisme crétin qui ,niant les différences humaines,combat l'esprit d'entreprise, la créativité,le goût des défis ,non par idéologie simplette mais purement et simplement par jalousie atavique.