La cavalière pleine de haine et de reproches minimise le rôle de Sarkozy
Aveuglée par la haine et se posant en principale opposante du chef de l'Etat, la candidate socialiste malencontreuse à la présidence fait tache sur le tissu d'union nationale autour de la libération de la franco-colombienne, Ingrid Bétancourt. En déclarant depuis le Québec jeudi que Nicolas Sarkozy n'était «absolument pour rien» dans la libération d'Ingrid Betancourt, l’amère Royal a signé sa mise au ban du monde politique, d'abord à droite, mais également dans son propre camp.
A droite, le Premier Ministre François Fillon, a dénoncé le "manque de dignité totale" de ces déclarations, en les contrastant avec les propos équilibrés de François Hollande reconnaissant "qu'il y a des causes qui dépassent les clivages, les sensibilités".
Jean-Pierre Raffarin dénonçait également les "polémiques secondaires dignes de politiciens secondaires" de Sa Cynique Majesté Royal, arrivée seconde et qui s’en trouve mortifiée, traumatisée, déséquilibrée.
Roger Karoutchi, le secrétaire d'Etat (Relations avec le Parlement) s'est dit "consterné de voir que quelqu'un qui a été candidate à l'élection présidentielle rompe l'unité nationale".
DésirdavenirRoyal n'a "pas les qualités d'un homme ou d'une femme d'Etat", a tranché Frédéric Lefebvre, le porte-parole de l’UMP, parti majoritaire.
Jean-Pierre Raffarin dénonçait également les "polémiques secondaires dignes de politiciens secondaires" de Sa Cynique Majesté Royal, arrivée seconde et qui s’en trouve mortifiée, traumatisée, déséquilibrée.
Roger Karoutchi, le secrétaire d'Etat (Relations avec le Parlement) s'est dit "consterné de voir que quelqu'un qui a été candidate à l'élection présidentielle rompe l'unité nationale".
DésirdavenirRoyal n'a "pas les qualités d'un homme ou d'une femme d'Etat", a tranché Frédéric Lefebvre, le porte-parole de l’UMP, parti majoritaire.
Au PS et à quatre mois du congrès socialiste de Reims, les critiques visant la candidate à la succession de François Hollande n'ont pas manqué également.
Les fabiusiens sont également montés au créneau. Philippe Martin, président du Conseil Général du Gers, s'est également prononcé sévèrement, jugeant les propos de Royal «malvenus, déplacés et tristes». Pour ce député fabiusien, «on veut pouvoir avoir l'air d'être le premier opposant à Nicolas Sarkozy mais il y a d'autres sujets sur lesquels on peut s'exprimer avec plus de véracité». Pour Philippe Martin, la libération de l'ex-otage des Farc «est effectivement une victoire de la stratégie un peu forte des autorités colombiennes». «Mais on ne peut pas dénier au président de la République d'avoir maintenu la mobilisation publique sur ce sujet consensuel » , a-t-il souligné. «Peut-être qu'il [le président Sarkozy] va surjouer le rôle qu'il y était pour beaucoup. A ce moment-là cela deviendra peut-être désagréable, mais pour le moment ces critiques ne sont pas du bon niveau», a ajouté Philippe Martin.
Les fabiusiens sont également montés au créneau. Philippe Martin, président du Conseil Général du Gers, s'est également prononcé sévèrement, jugeant les propos de Royal «malvenus, déplacés et tristes». Pour ce député fabiusien, «on veut pouvoir avoir l'air d'être le premier opposant à Nicolas Sarkozy mais il y a d'autres sujets sur lesquels on peut s'exprimer avec plus de véracité». Pour Philippe Martin, la libération de l'ex-otage des Farc «est effectivement une victoire de la stratégie un peu forte des autorités colombiennes». «Mais on ne peut pas dénier au président de la République d'avoir maintenu la mobilisation publique sur ce sujet consensuel » , a-t-il souligné. «Peut-être qu'il [le président Sarkozy] va surjouer le rôle qu'il y était pour beaucoup. A ce moment-là cela deviendra peut-être désagréable, mais pour le moment ces critiques ne sont pas du bon niveau», a ajouté Philippe Martin.
Guillaume Bachelay, un autre fabiusien, a rappelé que la libération de Mme Betancourt était aussi à mettre au crédit "de la France, de sa diplomatie de ses associations engagées contre l'oubli, de ses citoyens mobilisés pour la liberté".
Dernier en date à réagir, et de manière féroce, Jack Lang (PS et ancien proche de Désirdavenir Royal dans la campagne présidentielle) a en effet estimé que «minimiser» le rôle du Président Nicolas Sarkozy dans la libération d'Ingrid Betancourt relevait d'une «rare mesquinerie et d'un manque d'élégance morale». L'ancien ministre, également membre des comités de soutien à l'ex-otage, a jugé dans un communiqué qu'«en cette heureuse journée de retour en France d'Ingrid Betancourt, un seul sentiment devrait unir les Français: le bonheur de l'accueillir».
Le député du Pas-de-Calais ajoute : «Pour avoir personnellement participé à l'Elysée, en décembre dernier, à une rencontre entre le président Sarkozy et le président Chavez, je peux témoigner que le président français n'a pas ménagé sa peine pour arracher Ingrid Betancourt à ses geôliers». Sous couvert de l'anonymat, un cadre socialiste a jugé sa déclaration "juste mais maladroite", parce "qu'une polémique sur une libération, c'est une c...".
Le député du Pas-de-Calais ajoute : «Pour avoir personnellement participé à l'Elysée, en décembre dernier, à une rencontre entre le président Sarkozy et le président Chavez, je peux témoigner que le président français n'a pas ménagé sa peine pour arracher Ingrid Betancourt à ses geôliers». Sous couvert de l'anonymat, un cadre socialiste a jugé sa déclaration "juste mais maladroite", parce "qu'une polémique sur une libération, c'est une c...".
A peine rentrée de Québec, Royal a encore fait plus de tintamarre en prenant la parole qu’en se taisant un peu. Jetant le trouble dans son petit cercle de proches sur son état mental, elle n’a pas craint de dénoncer une "polémique indécente soulevée par la droite" sur des "propos sortis de leur contexte". Elle n’a réussi qu’à s’enfoncer davantage dans sa fange. "Le moment n'est pas à la polémique politicienne", a-t-elle osé ! Un cadre anonyme (!) a jugé "dérisoires" les "querelles autour d'une prétendue récupération politique".
Avec intelligence, Sa Cynique Majesté Royal a insisté en affirmant qu'elle s'était bornée à «reprendre des faits admis par tous». Admis par tous, à force de matraquage calomnieux par la presse aigrie, qui ne lui tient décidemment pas rigueur de les avoir entraîné à l’échec. Ce ‘tous’ anonyme désigne peut-être les militants, comme à chaque fois qu’elle se déconsidère et leur fait partager son discrédit. Comme au Proche Orient, en Chine ou au Canada, avec ignominie, elle ajoute que «ces propos ont été sortis de leur contexte puisque lors de son intervention, elle a appelé au respect des retrouvailles familiales si longtemps attendues et à la nécessité de n'alimenter aucune polémique». L'opposition frontale revendiquée par Mme Royal, notamment depuis la présentation samedi de sa contribution au congrès de Reims, "risque de devenir obsessionnelle", ironise ce cadre.
Décalée, égarée. Pffuitt ! …
Si, pour le coup, l’hebdomadaire Marianne n’y voit pas de bonnes raisons de prendre peur …
Evidemment, ni le PCF, ni les marxistes révolutionnaires de la LCR, ne participent à la liesse populaire: trop de bonheur ou trop de déception? Et de solidarité avec les Farc?
Avez-vous vu les images de cette déclaration?
RépondreSupprimerMme Royal avait son air le plus mauvais, plein de haine pure-- et d'envie: elle estimait clairement que Nicolas Sarkozy lui avait volé la place qui lui revenait à l'aéroport pour accueillir Mme Betancourt.
C'est honteux, inadmissible, et d'un minable incommensurable.
Heureusement qu'elle n'a pas été élue! Chaque jour sa bêtise profonde, sa jalousie insondable, son ignorance totale et son mépris immense nous auraient causé de graves problèmes avec le monde entier, dont elle n'aurait cessé d'insulter les dirigeants et les représentants par son comportement inqualifiable.
Elle fit déjà bien assez de mal en tant que candidate.
En prétendant par exemple que "[s]on élection aura[it] une portée planétaire" parce qu'elle aurait été "la première femme à diriger un grand pays", elle avait insulté des dizaines de femmes dans l'Histoire Mondiale, sur des siècles et des siècles: Reines, Impératrices, Chancelière, Premier Ministres, Présidentes, ..., la liste est ssez longue et prestigieuse.
Tant qu'elle y est, pourquoi Mme Royal n'insulte-t-elle pas aussi le Président Uribe, en disant qu'il n'est strictement pour rien dans la libération des otages? Après tout, ce n'est pas lui qui était dans la jungle mais des militaires.
Compte-t-elle nous révéler demain que c'est en fait elle qui a libéré la quinzaine d'otages, toute seule, dans la jungle, tout comme elle avait tenté de faire croire que c'était en fait elle qui préparait tous les dossiers internationaux de Frnaçaois Mitterand, et non ses Ministres, se cabinets et lui-même?
Mme Royal peut se promener où elle veut sans escorte: jamais aucune organisation ne voudra la prendre en otage, sachant qu'il devraient supporter jour et nuit ses jérémiades, ses critiques et sa mythomanie, et qu'elle n'a strictement aucune valeur politique ni monétaire-- pas plus qu'elle n'a de morale, d'intelligence ou d'humanité.
BOB écrit:
RépondreSupprimer'Mme Royal peut se promener où elle veut sans escorte'
Elle court pourtant un risque car chacun se prend à penser qu'il y a des tartes qui se perdent ! Le passage à l'acte pourrait être irrépressible...
Mais rappelez-vous d'ailleurs qu'elle s'est faite entarter...
Cà n'a pas suffit: quoi ensuite ?