Le chef de l'Etat a reçu les représentants du Marché international de Rungis qui l'ont invité à leur rendre visite. Il a défendu les réformes engagées depuis un an pour "revaloriser le travail".
"En tant que président de la République, je serai très heureux de me rendre à Rungis pour y saluer la France qui travaille, qui m'est particulièrement chère", a-t-il déclaré devant ses visiteurs, dont plusieurs "Miss" de Rungis.
"Moi je souhaite une France qui récompense le travail, qui connaît le plein emploi, une France où on se dit le matin en se levant que si on se donne de la peine on en aura la récompense", a-t-il dit, comme en écho à l'un de ses principaux slogans de campagne présidentielle en faveur de "la France qui se lève tôt".
Une guitare couverte de muguet avait été disposée au centre du plateau. "Ça fera plaisir à Carla", a glissé le président.
Le président a vu dans le Marché de Rungis une "vitrine extraordinaire des produits et des terroirs" de France, le "coeur battant de l'économie francilienne et d'une certaine façon de l'économie française".
Arrivé presque au terme de sa première année de quinquennat, il a dit son admiration pour un endroit "où on se parle avec franchise, où les contacts sont francs, parfois rudes".
Les présidents potiches qui inauguraient les chrysanthèmes, c’est fini. Celui-ci est tellement dynamique que les Français ne savaient pas que c’était possible, que la gauche s’essouffle en critiques et que l’amère Royal en appelle à l’intercession du Ciel en sa faveur.
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