SDF- Quelques adresses utiles.
Des Collectifs et associations font leur show. Ce n’est pas de saison : leur action devrait faire chaud au cœur des sans-abri, mais la gauche anti-libérale n’est guère sensible au grand froid !
Il aura fallu que la ministre déléguée à la Cohésion sociale, Catherine Vautrin, mette les choses au clair. L'Etat dépense en effet "chaque nuit trois millions d'euros pour que personne ne soit contraint de dormir dehors", a-t-elle déclaré mardi, pour "remettre un peu les pendules à l'heure" en pleine polémique sur les tentes de sans-abri à Paris.

LCI rend compte de l’action du gouvernement et donne des adresses d’hébergement : utile et… positif !

Pour les femmes SDF :
Le Cœur des Haltes (lien)
Maison Coeur de Femmes
La Halte Femmes
La Péniche "Les jours Heureux"
La Maraude
La Halte Jeune (16-25)
La Halte Paris-Lyon
Et qui souligne implicitement le procès d’intention de ce misérable Collectif…

Elle a affirmé que dans la nuit de dimanche à lundi, "il y avait en Ile-de-France 450 places disponibles" en hébergement d'urgence. Sur France 2, à l’émission Les 4 Vérités, elle a précisé que certaines places restent inoccupées, car certains SDF considèrent que les hébergements libres sont trop éloignés de leur lieu habituel de vie. Ou que leurs animaux de compagnie ne peuvent les y accompagner. MDM et les collectifs qui font parler d’eux actuellement leur indiquent-ils cette péniche qui accueille les sans-abri avec chien ? Ce serait positif et salutaire…

Le Fleuron, péniche du Cœur (lien de l'article) accueille les SDF avec chien, à Paris.
Adresse (lien)

Visite surprise de Chirac en 2003 (lien)
Catherine Vautrin est revenue sur l'évacuation lundi d'une vingtaine de sans domicile fixe installés quai d'Austerlitz, affirmant que des travaux sur le quai mettaient en danger les SDF qui y dormaient, et que les autorités avaient donc préparé cette opération pendant deux mois avec des associations pour trouver des solutions. "Chacun a eu une proposition d'hébergement durable", a assuré Catherine Vautrin. "Je refuse qu'on instrumentalise les gens", a-t-elle ajouté, dénonçant "l'agitation de pré-campagne électorale avec l'affaire Don Quichotte".