Royal a des absences ; les agences de presse aussi.
Les agences de presse, Associated Press,mais raison de plus pour l’Reuters , sont passées à autre chose avant même de vraiment avoir couvert les absences mentales de la
reine de ‘l’écoute de tous’, des médias et des sondages.
Les agences de presse glissent pudiquement, mais résolument et avec complaisance, sur l’impassibilité et l’indulgence coupables de la reine de l’avertissement et de la condamnation hexagonaux .
Hors de nos frontières, la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue fait la sourde oreille aux propos du député libanais du hezbollah, Ali Ammar, qui, sans troubler notre Royal perruche (photo), établit une analogie douteuse entre le nazisme tel qu’il aurait été subi selon lui en France et au Liban et se garde bien de prononcer une ‘fatwa’ à son encontre.
Elle s’en prend dans la foulée aux Américains, avec la mesure qui sied aux meetings socialistes franco-français.
La sotte Royal qui est escortée, au Liban comme ailleurs, de sa suite personnelle de journalistes, affirme sans rosir de honte, ne rien avoir remarqué et explique sa pensée profonde (voire insondable) que ses imbéciles de reporters à gage n’ont pas réussi à sonder ! Les agences de presse ont pour mission de taire ou, au pire, de se limiter au service minimum, en se limitant à la simple mention de ses bourdes et absences.
Mais Le Parisien fait tache et informe complétement ses lecteurs.
Le Figaro n’occulte pas son anti-américanisme.

Elle n'a pas le courage de ses opinions ni de ses âneries. Royal réfute la polémique! Jean-Louis Bianco, son conseiller éclairé, ne se lasse pas. Le mot d’ordre sera : « Ni faux pas ni maladresse ». Elle nie tout en bloc ! Hier, Marie-sEGOlène Royal a décidé de faire front. Et, si possible, de couper court à la polémique naissante suite à sa participation au débat, la veille, à l'hôtel Mövenpick avec des députés de différentes tendances, dont ce député hezbollah: Dame Royal prétend écouter, mais n’entend pas! Lire PaSiDupes de samedi.
On m’en veut ! Il ne s’est rien passé, je n’ai rien dit de mal, c’est toujours moi qui prend !
Circulez, il n’y a rien à voir…