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dimanche 8 janvier 2017

Vanessa Burggraf maltraite le candidat Peillon qui s'irrite, sans que 'On n'est pas couché' fasse le buzz

Assez de ces journalistes frivoles qui se croient au-dessus des citoyens et  des candidats 

Vanessa Burggraf a cru que Vincent Peillon était à sa merci. 


Vincent Peillon à Vanessa Burggraf :
Débat télévisé, scène de ménage ou bagarre en zone de non droit?
Peut-être est-elle contre les souffrances faites aux animaux... 
Comme c'est le plus souvent le cas, notamment dans les émissions de politique-spectacle, les journalistes bombardé(e)s chroniqueurs du seul de leurs fiches (et de leurs équipes de grouillots) et de leur arrogance, celle qui habite les accidentés des cursus universitaires, prennent un malin plaisir à abaisser leur hôte, à trois contre un, voire quatre, si on inclut le public obéissant au doigt et à l'oeil du chauffeur de salle. Leurs privilèges intouchables ont fait de ces journalistes ce qu'ils sont devenu: 7.650 euros d'exemption fiscale les placent au-dessus de leurs supérieurs par l'esprit ou le coeur. Bac +5 Vanessa Burggraf ? Ca se verrait. Et bienfaitrice des causes désespérées ? Ca se saurait... Car s'ils sont solidaires de toutes les causes qui courent Paris, ils ne le sont pas des travailleurs laborieux soumis à l'impôt, singulièrement les fonctionnaires dont pas un euro n'échappe au fisc. 
Ne mange-t-elle à sa faim
qu'à la télévision?
Un DEA de lettres confère-t-il un droit à la maltraitance d'autrui ?
Quant à son DESS, un diplôme-maison de Paris 1 Panthéon-Sorbonne (qui n'a rien à voir avec l'Université Paris 2-Panthéon, dite d'Assas), de communication politique et sociale ciblant le RPR a-t-il séduit un professeur militant autant que sa blondeur ? En 1996 alors qu'en mai,  à Mitterrand,  avait succédé Jacques Chirac qu'il fallait combattre. Les diplômes accordés dans ces domaines prédisposaient-ils à la présentation des journaux télévisés de Bloomberg TV sur l'actualité économique, comme ce fut le lot de la dame ?

Vincent Peillon a pris le risque d'être maltraité

Invité de Laurent Ruquier sur le plateau d'On n'est pas couché le samedi 7 janvier, le candidat de l'Elysée s'est trouvé face à une harpie qui sait tout mieux que tout le monde: l'immunité attachée à la liberté de la presse et le secret des sources sont responsables de ce sentiment d'appartenance à l'élite. Nivellement par le bas oblige !

L'homme politique est un moins que rien que les journalistes tiennent par les roubignoles
Celui-ci, ex-ministre de l'Education, certes désastreux, était venu prendre des coups.  Par solidarité avec les enseignants. Il semblait ne pas craindre pour ses roupettes (ses "boules", pour les plus jeunes, là où Tapie a des "burnes"). Il a échappé de peu aux crachats mais n'a pas pu esquiver les postillons et la bave de la dame. On le plaindra moins qu'on ne condamnera l'amazone.

Il venait en service commandé présenter ses idées dans le cadre de la primaire socialiste en vue de la présidentielle.
"A chaque fois qu'on vous pose une question, vous ne répondez jamais, jamais concrètement de manière précise", s'est énervée Vanessa Burggraf dont on peine à penser qu'elle soit candide. Elle aurait aussi bien pu reprocher à Peillon de lui couper la parole ou de la traiter comme une blonde. 

"Je n'arrive même pas à croire que vous croyez à ce que vous dîtes", lui a répliqué Vincent Peillon. "Je ne sais pas si c'est un exercice professionnel ou si vous avez une intention de vérité ?" Les gens qui sont dans la posture ne m'intéressent pas. Elle ne l'a évidemment pas pris pour elle ! 

Et l'agressé de lui dire les yeux dans les yeux ce que la France entière reproche à ces chroniqueurs malveillants uniquement préoccupés de buzz au détriment de l'invit"(e). "Est-ce que vous cherchez à comprendre mon projet pour la France ou est-ce que vous voulez m'enquiquiner avec des choses qui n'y sont pas ?" 

Ne regardent plus cette émission que les frustrés qui en veulent à leur patron, leur maire ou leur compagne ou se consolent en écoutant Renaud, chanteur branlant et chevrotant qui fait les meilleurs ventes 2016 de CD, parmi la gauche anarchiste pour avoir embrassé un... flic: ne faut-il pas être désorienté?  Et prêt à voter FN ?

Le professeur de philosophie à Vanessa Burggraf : "vous êtes une mauvaise élève..." 
Le ton monte peu à peu entre le candidat à la primaire socialiste et la pensionnaire de France 2 et Laurent Ruquier, animateur d'ONPC depuis dix ans : "Vous ne comprenez pas les grandes lignes, vous n'avez pas de problématique et vous travaillez mal"
Et d'ajouter, désespéré par l'ampleur de la tâche: "j'arrête de vous embêter, je ne vous interromps pas". 
Ancienne stagiaire de la compagne du journaliste Claude Sérillon, journaliste de France 2 nommé conseiller communication du président Hollande, Catherine Ceylac (63 ans et un dépassement de la limite d'âge), qui l'a faite pleurer pendant trois ans (Thé ou Café, depuis bientôt 22 ans, avec l'agrément équitable -et durable?- de sa présidente, Delphine Ernotte qui a eu 50 ans en juillet dernier mais vira Nelson Monfort, Gérard Holtz, Daniel Bilalian et les autres hommes de plus de 50 ans, dont Julien Lepers, après 28 ans de succès), Burgraff cherche-t-elle à son tour à faire pleurer les invités ? 
Elle lui répond alors : "Vous êtes un mauvais professeur". On aura noté le ricanement de Laurent Ruquier, bac +2.

VOIR  et ENTENDRE
comment, dans un ricanement, Burggraf bat en retraite, abandonnant l'ennemi blessé (aller à 39' 19'', si on veut gagner du temps sur le sujet) :



On plaint le père des deux enfants... Pourvu que le mari soit un compagnon !


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