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mardi 24 janvier 2017

Loubna Méliane, activiste "incivile" et porte-parole de Valls, candidat de la "primaire... citoyenne"

L'ex-ministre de l'Intérieur, candidat à l'Elysée, s'entoure de para-militaires ?

Loubna Méliane (PS), une ex-Femen au Conseil régional 


Afficher l'image d'origineLoubna Méliane (PS), 37 ans, a accédé au Conseil régional alors que son camp était défait par la droite et qu'elle se situait en 6e position sur la liste départementale de l'union de la gauche. C'était son premier mandat d'élue et dans l'opposition, bien que l'Elysée et Matignon soient occupés par son parti, lequel est majoritaire à l'Assemblée."Je suis déçue, mais à la fois enthousiaste. Et surtout heureuse de représenter mon territoire, l'Essonne", écrit sur sa page Facebook celle qui réside à Saint-Michel-sur-Orge.  

Liée à SOS Racisme, au mouvement Ni Putes ni soumises, puis aux Femen 
parmi lesquelles elle a soutenu Amina, la première Femen tunisienne, son engagement lui a valu pendant la campagne d'être accusée par le FN d'être "chef de file de la profanation de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris en février 2013 par les Femen".
Sur les réseaux sociaux, elle fut ensuite victime de menaces de mort et d'appels au viol, la conduisant à porter plainte. "C'est une grosse déception pour une première campagne", confiait-elle à l'époque, estimant avoir affaire "au vrai visage de l'extrême droite". Qu'est devenue la plainte ? A-t-elle renoncé ou a-t-elle persévéré ? Le FN a-t-il été poursuivi et jugé ?

Cette élue socialiste est une militante féministe aux seins nus. 
Elle a fait ses premières armes au côté de Malek Boutih. C'est le député de l'Essonne, Malek Boutih (PS) qui, dans un esprit communautariste, a mis le pied de cette amazone à l'étrier de la politique. Il l'a embauchée comme assistante parlementaire et s'est opposée, au Conseil régional, à l'opposition de droite et singulièrement au FN. "Je suis fière de la gauche qui a battu le FN partout en France", s'était-elle réjouie sur les réseaux sociaux.
Beurette d’origine marocaine née à Dijon, Loubna Meliane n’est pas une inconnue en politique et encore moins au Parti socialiste. Elle s'y est faite connaître dès 1998, lors des mouvements lycéens contre la réforme Allègre, en tant que porte-parole de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), excroissance lycéenne du syndicat socialo-trotskyste UNEF-ID, où bon nombre des hiérarques du PS ont fait leurs classes. Elle devient une des deux porte-paroles autoproclamés des lycéens en grève, ce qui lui ouvre alors les plateaux télés. C’est le début de l’ascension pour Loubna Meliane qui devient élue au Conseil académique de la vie lycéenne (CAVL) et au Conseil National de la vie lycéenne (CNVL) ainsi qu’au Conseil supérieur de l’éducation (CSE).
La délicieuse enfant monte à Paris où
La délicieuse enfant monte à Paris où Malek Boutih, alors président de SOS Racisme, apprécie aussitôt cette 'maghrébine', une "fille du prolétariat immigré de province" et lui voit "la trempe des grandes femmes politiques, celle des leaders populaires". 
Afficher l'image d'origineLoubna Méliane est propulsée vice-présidente et porte-parole de SOS Racisme en 2003. Elle est ensuite poussée à fonder le mouvement Ni putes, ni soumises avec Fadela Amara et participe à la "Marche des femmes des quartiers, contre le ghetto et pour l’égalité" du mouvement féministe Les Insoumis-es, en février 2003. La même année, elle intègre le Conseil national du Parti socialiste, au congrès de Dijon, dont l'hôte est François Rebsamen. Et c’est tout naturellement qu’elle devient l’attachée parlementaire de son "grand frère", Malek Boutih, lorsque celui-ci est élu en juin 2012 député socialiste de l’Essonne, département de Manuel Valls, député-maire d'Evry. Dès 2004, Libération participe à sa promotion en dressant un portrait flatteur mais peu ressemblant de la recrue communautariste : "Un jour, elle sera élue. Sans doute et sans voile." La séparation des pouvoir politique et médiatique n'a jamais été à l'ordre du jour.Afficher l'image d'origine
En marge de cette activité pourtant officielle à vocation élective, Meliane participe sans voile mais seins nus à la création de la branche française des Femen. Afficher l'image d'origineLes Ukrainiennes sont alors hébergées gratuitement, au Lavoir Moderne, camp d'entraînement physique et d'endoctrinement, dans le quartier de la Goutte-d'Or, par la Mairie de Paris gérée par... Anne Hidalgo. Lien PaSiDupes
Mais, carrière personnelle oblige, "ces filles sont des kamikazes, elles veulent mourir ! Pour elles, on est des bourgeoises", lâcha, la trentaine venue, Loubna Meliane, du mouvement féministe des Insoumises. Car la jeune mère de famille a fini par prendre ses distances avec le groupuscule "sextrémiste" hyper-médiatisé Femen. Désormais, les activistes aux seins nus naviguent en marge, et même en rupture, du très institutionnalisé milieu féministe français. "On n'a pas vraiment de relation avec les autres associations", confirme l'Ukrainienne Inna Chevtchenko, 22 ans. En dépit du soutien de quelques figures du MLF.  C'est pourtant l'écolo-fourestienne Safia Lebdi, la présidente des Insoumises, qui a guidé les premiers pas d'Inna Chevtchenko, poursuivie pour blasphème à Kiev, mais dirigeante en France du groupe para-militaire des Femen, en 2012. Six membres cagoulés du SO (service d'ordre) de SOS Racisme feront irruption dans les locaux des Insoumises et menacèrent directement Safia Lebdi. Huit ans plus tard aura lieu un procès politique qui condamnera les agresseurs mais aucun commanditaire reconnu ne sera inquiété. En 2009, Cécile Duflot placera Safia Lebdi sur la liste d'Europe Écologie dont elle sera tête de liste en Île-de-France aux élections régionales. L'Insoumise qui refusait toute récupération politique sera tête de liste pour le Val-d'Oise...
Le Parti socialiste est-il complice des Femen à Notre-Dame de Paris ?

Le silence du premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, suite à la profanation de Notre-Dame de Paris par ce groupe d’extrémistes venues profaner des lieux saints pour fêter la renonciation du pape Benoît XVI, confirme la bienveillance du parti du président Hollande.

Aucune action d'exhibitionnistes hystériques, en revanche, pour ponctuer la renonciation du président socialiste à se représenter...

Trois surveillants de la cathédrale de Paris ont quant à eux été condamnés à des amendes de 300 euros, 500 euros et 1.000 euros avec sursis pour des violences commises sur trois militantes lors de leur expulsion du lieu saint et lieu d'asile. Mais aucun membre du service d'ordre du président ne sera poursuivi pour violences sur trois militantes Femen (ci-dessus), en octobre 2014.

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Loubna Méliane à Londres, le 2 août 2012
D'ordinaire, le gras apparatchik socialiste Cambadélis est pourtant plus réactif et sévère, lorsqu'il s'agit de condamner l'opposition, comme ces jeunes identitaires qui avaient occupé le toit du chantier de la future mosquée de Poitiers, dénonçant dans la minute un "acte de haine commis par des fanatiques violents" et demandant la dissolution de Génération identitaire, ce groupuscule fanatique dont les agissements violents sont une menace pour l’ordre public, la sécurité des personnes et pour la cohésion républicaine".
Alors que Manuel Valls et Bertrand Delanoë ont dénoncé l’action des Femen du bout des lèvres, le Parti socialiste, était ce jour-là indifférent, quand, prompt et véhément, il bondit, à juste titre, pour dénoncer le moindre graffiti sur une mosquée ou une synagogue. Certes, Harlem Désir est bien dans son rôle de laïc, mais le reste-t-il dès l'instant où le fondateur de SOS Racisme discrimine les Français selon leurs origines ou leurs appartenances religieuses, donnant ainsi libre cours à son idéologie anti-chrétienne, anti-tradition et anti-patriote. Il avait en fait une bonne raison puisque, parmi les harpies dépoitraillées qui ont profané la cathédrale de Paris, se trouvait Loubna Méliane.
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Meliane, candidate sur la liste PS dont le chef de file n'est autre que 
Carlos Da Silva, député du cru et lieutenant du Premier ministre.
Pour la gauche laïque et les media internationalistes, Loubna Meliane, incarne la déracinée, née par hasard, mais en France, au pays de la moutarde qui vous monte au nez, au sein d’une famille déstructurée : romanesque, sa mère quittera le foyer familial pour rejoindre un prince saoudien (pas exactement un 'sans-dents') et mourra au Caire dans des conditions mystérieuses). Si elle a rompu avec l’islam, c’est au profit d’une idéologie nihiliste et libertaire la conduisant à livrer l’essentiel de ses coups contre les valeurs et la culture traditionnelles du pays, à l’image de la profanation de Notre-Dame de Paris, société judéo-chrétienne qui l'a recueillie et a déployé pour elle son échelle sociale. Sous la protection du Parti socialiste de Harlem Désir, Cambadélis et Manuel Valls, cette "chance pour la France" s'en prend aux Français qu'ils n'aiment pas.

Une ex-Femen, du Conseil régionale à l'équipe de campagne de Valls
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Les soirées privées de l'Elysée promettraient d'être chaudes
Mais Ptit Zizi n'est pas assuré d'y faire la loi
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Qui vois-je, en 4e position, en partant de la gauche ?

Maintenant, le candidat Valls à la "primaire citoyenne" occulte Loubna Meliane lorsqu'il cite ses huit porte-parole.

"Parmi les autres porte-parole", Manuel Valls présente Elsa Di Méo, ancienne conseillère régionale en région PACA, Olivier Dussopt, "jeune" (de 39 ans) député-maire d’Annonay, Philippe Doucet, responsable des questions de laïcité au PS, Stéphanie Riocreux, sénatrice d’Indre-et- Loire, Marie Le Vern, députée de Seine-Maritime, Mathieu Klein, président du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle et homosexuel militant, et David Habib, député socialiste des Pyrénées- Atlantiques. Sur Facebook, Manuel Valls s’est félicité de son équipe qu’il estime "paritaire, jeune et expérimentée". Mais le compte n'y est pas: il en manque une !
VOIR et ENTENDRE l'"effacement" de la Femen lors de la photo:
  

Manuel Valls : une ex-Femen dans son équipe de... par non-stop-politique

La harpie est réapparue dans plusieurs media, lors de l'entre-deux tours
Tout le monde sur le pont... La panique est palpable dans le camp Valls depuis l'humiliation du premier tour. 

Ce fut d'abord au Grand Débat de la webradio communautariste Africa n°1, le 11/01/2017. 
Sur leur site on croit rêver à la lecture de: "En 2011, le Parti socialiste initiait, avec succès, la Primaire citoyenne ouverte. Cette fois, la campagne semble avoir moins d’éclat, marqué par un quinquennat chaotique, les querelles intestines du PS, et le renoncement de François Hollande à briguer un second mandat. Une question au cœur de cet événement : quelles seront les chances du vainqueur de parvenir au second tour de la présidentielle ?
Invités :
Roseline Sarkissian, conseillère régionale d’Ile de France, secrétaire fédérale du Parti socialiste de Seine-et-Marne en charge de l’égalité du territoire, de l’agriculture, de l’écologie et de la ruralité et aussi porte-parole du candidat Vincent Peillon, en charge du pôle agriculture et ruralité;
Loubna Méliane, conseillère régionale d’ïle-de-France, porte-parole du candidat Manuel Valls;
Daniel Goldberg, député de Seine-Saint-Denis, membre de l’équipe de campagne d’Arnaud Montebourg.
Ecouter l'émission: lien vers la source

Hier, France Info était dédié à Manuel Valls
Invité de RTL au lendemain du premier tour, Manuel Valls a rappelé qu'il s'est engagé à soutenir le candidat qui sortira vainqueur de la primaire. 
Mais ce mardi, il s'était invité sur franceinfo et l'ancien premier ministre a refusé de réitérer sa promesse. "Je ne répondrai pas à cette question car j'en vois tous les pièges, a-t-il répliqué. Je ne réponds pas aux questions avant qu'elles ne se posent. J'attends dimanche et je mène campagne pour gagner." Une posture inattendue de la part d'un candidat qui s'attribue une "stature de chef d'Etat" mais n'anticipe rien ! 


Après un entretien à une heure de grande écoute, il bénéficia encore d'un débat, dans lequel Loubna Meliane accapara la parole et interrompit les participants pour ensuite les rappeler à l'ordre si par hasard ils tentaient de reprendre la parole... Jean-Mathieu pernin lui laisse la bride sur le cou...
Cliquer pour accéder au podcast (tant qu'il est accessible): lien


L'agressivité de cette dame - qui abuse du temps de parole de chacun - est à l'unisson de la brutalité de son maître, Manuel Valls, servant les intérêts de Hamon.


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