Honte aux syndicats corporatistes hospitaliers, enseignants et médiatiques
La démocratie à deux vitesses
L'opposition de gauche s'indigne que le Chef de l'Etat, président de tous les Français, ne se mette pas en congé de la République à chaque échéance électorale. Il devrait se taire et disparaître sept semaines à chaque fois , pendant que la crise économique internationale sévit et que le reste du monde continue de tourner.
La démocratie à deux vitesses
L'opposition de gauche s'indigne que le Chef de l'Etat, président de tous les Français, ne se mette pas en congé de la République à chaque échéance électorale. Il devrait se taire et disparaître sept semaines à chaque fois , pendant que la crise économique internationale sévit et que le reste du monde continue de tourner.
Pendant ce temps, les syndicats lancent des préavis de grèves et leurs troupes déambulent dans les rues et bloquent les services et les entreprises.
La dictature de la gauche
L'intolérance et le totalitarisme de la gauche sont de graves menaces pour la démocratie.
L'opposition décrète de son point de vue partisan, ce qui est permis ou ne l'est pas. La presse en effet ne joue pas son rôle de mise en garde des dérives. Acquise sans esprit critique, voire prisonnière de certitudes idéologiques, populistes et démagogue, elle est dans l'absolue incapacité de jouer un quelconque tôle régulateur. Pire, elle lie son avenir au sort des partis et syndicats avec lesquels elle est en communion d'esprit.
La CGT orchestre des mouvements de blocage des outils du service public dont ils sont les bénéficiaires, avant que d'être les serviteurs de la collectivité.
Pour défendre leurs acquis obtenus par la force et le chantage au cours des siècles passés, les fédérations les plus privilégiées de la fonction publique osent prendre en otage les Français au moment où ils exercent leur droit d'expression avec leurs faibles moyens démocratiques. Cet acquis du droit de vote est noble et indéfectible. Les électeurs lui conservent sa valeur historique comme à un bien précieux hérité des luttes passées. Aussi nombreux que possible, ils feront bon usage de leur droit d'expression, modestement mais fidèlement, si les malfaisants ne mes privent pas de ce droit sacré.
Il aurait pourtant paru jusqu'ici inconcevable que des nantis salariaux et fiscaux, des acteurs puissants de l'opinion, des escrocs de l'idéologie, manipulateurs de conscience politique et fabricants de rumeurs, fasse au grand jour le catalogue de leurs rancoeurs et l'aveu que ce qu'il qualifie sournoisement d'insolence ou d'impertinence, n'a jamais été que l'alibi de leur volonté hégémonique de puissance, de maîtrise des élus de la nation, des créateurs de richesse et des pauvres salariés -clandestins ou non- en situation de faiblesse et précarité, éreintés de travail, exploités par les intolérants de la démocratie ou harcelés par leurs employeurs.
L'incroyable aplomb des prétendus défenseurs syndicalistes des masses laborieuses de plus en plus clandestines, illettrées, mais manipulables et revendicatrices, menace de frapper un grand coup en privant les classes moyennes et à faibles revenus des résultats de élections qui désigneront ceux et celles chargées les six prochaines années de la formation professionnelle dont ils ont cruellement besoin, des lycées ouverts à la violence sanglante et des transports régionaux qui leur compliquent la vie au quotidien.
Autre pays déboussolé, aux mains de la gauche socialiste, la Grèce est au bord du gouffre financier, mais ses fonctionnaires aveuglés par leur impudiques asquis sociaux arrachés au fil des luttes syndicales, manifestent dans la rue, malgré la crise mortelle dans laquelle ils sont plongés, pour défendre par la violence leurs acquis d'un autre âge, dont le 14e mois ! Les républiques bananières qui hantent Noël Mamère essaiment leurs régimes à l'hexagone sans qu'il en soit pourtant troublé.
La CGT casse l'outil de travail dont le peuple l'a faite simple dépositaire
Il aurait pourtant paru jusqu'ici inconcevable que des nantis salariaux et fiscaux, des acteurs puissants de l'opinion, des escrocs de l'idéologie, manipulateurs de conscience politique et fabricants de rumeurs, fasse au grand jour le catalogue de leurs rancoeurs et l'aveu que ce qu'il qualifie sournoisement d'insolence ou d'impertinence, n'a jamais été que l'alibi de leur volonté hégémonique de puissance, de maîtrise des élus de la nation, des créateurs de richesse et des pauvres salariés -clandestins ou non- en situation de faiblesse et précarité, éreintés de travail, exploités par les intolérants de la démocratie ou harcelés par leurs employeurs.
L'incroyable aplomb des prétendus défenseurs syndicalistes des masses laborieuses de plus en plus clandestines, illettrées, mais manipulables et revendicatrices, menace de frapper un grand coup en privant les classes moyennes et à faibles revenus des résultats de élections qui désigneront ceux et celles chargées les six prochaines années de la formation professionnelle dont ils ont cruellement besoin, des lycées ouverts à la violence sanglante et des transports régionaux qui leur compliquent la vie au quotidien.
Autre pays déboussolé, aux mains de la gauche socialiste, la Grèce est au bord du gouffre financier, mais ses fonctionnaires aveuglés par leur impudiques asquis sociaux arrachés au fil des luttes syndicales, manifestent dans la rue, malgré la crise mortelle dans laquelle ils sont plongés, pour défendre par la violence leurs acquis d'un autre âge, dont le 14e mois ! Les républiques bananières qui hantent Noël Mamère essaiment leurs régimes à l'hexagone sans qu'il en soit pourtant troublé.
La CGT casse l'outil de travail dont le peuple l'a faite simple dépositaire
Passons provisoirement sur le coût pour la collectivité qu'induisent les désordres dans les programmes prémédités par les extrémistes du service public et prévoyons des dégâts d'installations quand elles seront mises à l'arrêt. Pour plus d'hypocrisie triomphante, les trotskistes invoqueront probablement le "droit de retrait" dont ils sont si fiers du détournement... A moins que les arrêts de travail soient effectués par tournante de 59mn, sans retenue de salaires, histoire de perturber bravement, sans risques de retenues de salaires, les électeurs qui ne se seront pas abstenus et qui n'auront pas droit aux services afférents à la redevance radio-télévision qui frappe les redevables. La CGT est favorable à la double peine. L'idéologie ne lui interdit pas d'appliquer à la fonction publique l'adage oriental qui préconise: "Bats ta femme tous les soirs, si tu sais pas pourquoi, elle le sait".
Mais force est de regretter la régression sociale que la CGT, pourtant largement minoritaire, et encore imprégnée d'idéologie marxiste et de méthodes extrémiste, ne se remet pas en cause et sombre dans l'extrémisme, avec le largage des masses laborieuses. Les interruptions de programmes par des groupes d'excités pourtant largement subventionnés par l'Etat et la multiplication des coupures intempestives s'apparentent à la casse de l'outil de travail. Il nous tournent Germinal de Zola revisité.
La casse des usines ou des entreprises, de service publique ou non, est récente: réapparu en 1991 à la Réunion, puis à Sartrouville, car en mai 68, elle n'était le fait que d'une poignée de trublions », soutenus par la pègre et des « katangais », des « éléments troubles et provocateurs », selon Georges Séguy.
La CGT pousse à la grève à partir de dimanche à France Télévisions
La faculté de nuisance de CGT reste intacte lorsque la campagne officielle est pourtant suspendue. La réglementation électorale ne s'applique pas à la gauche vertueuse qui la bafoue dans l'intérêt du peuple opprimé de France, sans que soit saisi le Conseil Constitutionnel.
Mais force est de regretter la régression sociale que la CGT, pourtant largement minoritaire, et encore imprégnée d'idéologie marxiste et de méthodes extrémiste, ne se remet pas en cause et sombre dans l'extrémisme, avec le largage des masses laborieuses. Les interruptions de programmes par des groupes d'excités pourtant largement subventionnés par l'Etat et la multiplication des coupures intempestives s'apparentent à la casse de l'outil de travail. Il nous tournent Germinal de Zola revisité.
La casse des usines ou des entreprises, de service publique ou non, est récente: réapparu en 1991 à la Réunion, puis à Sartrouville, car en mai 68, elle n'était le fait que d'une poignée de trublions », soutenus par la pègre et des « katangais », des « éléments troubles et provocateurs », selon Georges Séguy.
La CGT pousse à la grève à partir de dimanche à France Télévisions
La faculté de nuisance de CGT reste intacte lorsque la campagne officielle est pourtant suspendue. La réglementation électorale ne s'applique pas à la gauche vertueuse qui la bafoue dans l'intérêt du peuple opprimé de France, sans que soit saisi le Conseil Constitutionnel.
Vendredi 12 mars, à deux jours du 1er tour, la CGT a en effet déposé un préavis de grève illimitée à France Télévisions à partir de dimanche, au moment des résultats des élections. La réponse au chantage est de transférer les débats sur les chaînes privées, quand elles elles ne sont pas solidaires: Dans ce rôle insolent on verrait bien M6 et Canal+. Mais la TNT peut amplement compenser et les radios suffire à notre bonheur, puisqu'aussi bien les interventions sont d'avance convenues.
L'intention est de pratiquer un ignoble chantage que la CGT justifie par le désespoir, en faisant peser une menace d'annulation de la soirée des élections après minuit, qui n'émeut personne, puisque le risque de perturbation de la soirée électorale des régionales est minime et ne fait qu'inviter à prendre de nouvelles habitudes auprès de LCI et RTL Europe1.
Dans un communiqué, la CGT "appelle l'ensemble des personnels quelle que soit leur sensibilité, leur métier ou leur affectation à prendre part à ce mouvement pour défendre leur avenir, leurs métiers, leurs conditions de travail". C'est vague, sans propositions, mais largement mobilisateur et perturbateur. Or, les temps ont changé et les réquisitions à répétition des moyens de communication du service public sont très fortement incitatrices à aller voir ailleurs, et découvrir des commentaires moins partisans et plus respectueux des sensibilités politiques. Qui ne se remettrait pas facilement d'un retour en différé de ce feu follet du Marais poitevin, dents re-blanchies et brushing rafraîchi, ou de Huchon-ronron dans le douillet fauteuil de ses siestes post-prandiales prolongées au CR ?
La force et le chantage sont les moyens démocratiques de la totalitaire CGT. Avec la Ch'tite Aubry, elle tente de réduire au silence le président élu du suffrage universel, mais s'emploie à museler le service public et à fausser le scrutin des régionales, au mépris des règles de la démocratie. L'intention cachée est en effet d'impressionner les tièdes par des mouvements de foule manimulée et de faire monter l'inquiétude sociale à la veille du 1er tour.
Le service publique sclérosé mais hégémonique n'a pas intégré que les chaînes privées sont désormais parfaitement aptes depuis longtemps à pallier les insuffisances du service public, sur lequel il n'est plus possible de compter. La solution serait leur privatisation, puisque leur spécificité n'est plus qu'un handicap dans le paysage audio-visuel.
Il faut donc être terriblement infatué de sa personne sociale pour se croire à ce point indispensable au temps d'une offre audio-visuelle grandissante, de la concurrence privée et de la TNT.
La nostalgie embrume les esprits torturés du service public.
Combien d'entre nous passerons la soirée des élections avec TF1 et feront de brèves incursions sur i>télé et LCI, qui -à notre plus grande satisfaction- éviteront de provoquer notre objectivité. Les radios nationales, telle RTL, respecteront nos sensibilités politiques, plus surement que France Inter ou France Info.
Une concentration anti-républicaine d'actions interférant avec la période pré-électorale
Le tir groupé des syndicats n'a pas interpellé le Conseil Constitutionnel, malgré une salve organisée dans les jours précédents le scrutin. Des mouvements syndicaux suspects relaient pourtant les partis dans l'intimidation de l'électeur, alors que le vote entre dans la dernière ligne droite.
Le mercredi 3 mars , le trafic des trains était perturbé sur le réseau SNCF, mais conforme aux prévisions établies à la suite d'un préavis de grève des quatre syndicats (CGT, Unsa, CFDT/Fgaac et Sud Rail). Le nouveau régime
Le samedi 6 mars, Justice et Libertés appelait à manifester à Strasbourg : rien d'autre qu'un « appel politique à la résistance au « sarkozysme » sous couvert de mobilisation pour le maintien des acquis sociaux corporatistes qui entravent la modernisation de l'institution;
Le mercredi 10 mars, c'était le tour pour une centaine de crèches de se mettre en grève à l’appel du collectif inconnu « Pas de bébés à la consigne », regroupant toujours les mêmes syndicats et associatifs pour protester contre le projet de décret du gouvernement modifiant l’accueil de la petite enfance.
Le 12 mars, la FSU, syndicat enseignant radical proche de la CGT, a envoyé manifester dans la rue ses cadres et retraités.
Intox des chiffres
12,9% en moyenne étaient en grève, mais 50% de participants, selon les organisateurs mégalos !
Une intersyndicale de huit syndicats enseignants mobilisait, selon la presse, qui croit toujours impressionner le badaud par la puissance de l'écrit. Or, les media n'arrivent pas à identifier les huit en question et ne nomment que le SNES et le SNUipp, ce qui est du pareil au même: la FSU. Les huit annoncés -qui n'ont pas tous également mobilisé- étaient d'abord CGT (CGT-Éduc’action, SNES-FSU, SNUipp-FSU et SNEP/-FSU), trotskistes (SUD Éducation), et le SNFOLC, d'ex-SNES passés à FO), le SNALC-CSEN (Fédération générale autonome des fonctionnaires -FGAF, en bisbille avec l'UNSA), et les apolitiques de SNCL-FAEN. Le compte des huit n'y est donc pas et peut être réduit de moitié.
Pour l'unité, on repassera aussi, car les organisateurs du 12 mars, ne sont pas exactement ceux de la deuxième grève, le 23 mars, qui rassemblera
la CFDT, Solidaires et l'UNSA. Constat: la CGT et la FSU constituent le fil rouge...
Du côté des lycéens, le nouveau projet de réforme ne semble plus susciter de franche opposition. Cette fois-ci, l’UNL, première organisation lycéenne, se contenta d’appeler à participer à des « réunions-débats » et à rejoindre les manifestations contre les suppressions de postes pour « les lycéens qui le veulent »...
Intox psychologique
"J’en suis à mon 26e CDD dans l’éducation nationale" explique Carine, qui se garde de préciser qu'elle bénéficie du statut de TZR (remplaçante intermittente qui ne l'emploie pas en continu, mais seulement en fonction des besoins, pour le même traitement! ) par choix de rester dans sa région d'origine (plutôt que de prendre un poste pour plusieurs années dans les Ardennes...) Pourtant, selon celle qui ne mérite ni confiance ni respect, « la situation actuelle est pourtant « écœurante », et selon une journaliste ignorante ou complice de désinformation qui l'écoute avec complaisance. « Le rectorat supprime des postes de TZR à la pelle, et après, on se plaint que les profs ne sont pas remplacés. On fait appel à des vacataires sans expérience (nouvelle désignation des « maîtres auxiliaires ») qui abandonnent devant la difficulté de la tâche », mais tout aussi sûrement que des profs jusqu'ici mal formés en IUFM théoriques et coupés des réalités du terrain) : « j’ai ainsi été le septième professeur de français d’une classe de quatrième difficile ». La population scolaire et les entourages hiérarchique, familial, municipal et sociétal sont à vrai dire davantage en cause que les professeurs. Les enseignants actuels mettent en oeuvre les théories de la prévention, auxquelles ils ont été formés, en pure perte et aux dépens de tous.
Des parents de Pantin portent plainte...
« Nous n’avons pas assez de parents agriculteurs pour déverser du lisier sur le ministère, ni assez de chauffeurs routiers pour bloquer les routes. Alors nous déposons plainte. » Hier, Daniel Garrault, président des parents d’élèves de l’école Joliot-Curie, à Pantin (Seine-Saint-Denis), est allé poster cinquante recours contre le ministre de l’Education nationale, Luc Chatel. Sa requête : « Un enseignant devant chaque élève, chaque jour, partout sur le territoire. »
(source 20minutes)
Le jeudi 11 mars, les médecins libéraux étaient “en grève” pour protester contre la dégradation de leur conditions de travail, bien que chacun ait pu observer que les consultations sont réduits à des passages-éclairs limités à 10 minutes sans que ni Brice Hortefeux ni Roselyne Bachelot ne les oblige à faire du chiffre... Leurs déplacements sont limités aux vieillards et aux impotents. Quant ç la multiplication des centres médicaux, ils libèrent du temps aux praticiens sans renforcer les liens de proximité avec les patients: ceux-ci pourraient songer à boycotter leurs généralistes qui confondent service de santé et fonction publique. Leur état d'esprit individualiste s'exprime dans un sondage-maison sur mesure, publié le 4 mars par Le quotidien des médecins, qui met en garde contre l'intention de 50% d’entre eux de voter à gauche, ce qui constitue, outre un chantage, une première pour une profession libérale qui soutient traditionnellement la droite, mais aussi les 35 heures...
Depuis le 11 mars, des manifestants de l'’intersyndicale CGT-CFDT-FO-Sud santé-CFTC occupaient le siège de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) pour dénoncer un plan de réorganisation. Ils ont quitté les lieux vendredi 13 au soir, selon la direction de l'AP-HP.
France Télévisions
Seule, la CGT appelle à la grève à France Télévisions à partir de dimanche. La centrale d'extrême gauche a déposé -à deux jours du scrutin- vendredi 12 mars, un préavis de grève illimitée à France Télévisions à partir de dimanche à minuit, risquant de perturber la soirée électorale des régionales. Dans un communiqué, la CGT "appelle l'ensemble des personnels à prendre part à ce mouvement, quels que soient leur sensibilité, leur métier ou leur affectation, quels que soient donc leurs intérêts catégoriels disparates.
Un mouvement politique intolérable à France Télévisions
"Ce sont tous les programmes de France Télévisions (France-2, France-3, France-4, France-5, RFO) qui vont être affectés", a expliqué Jean-François Tealdi, porte-parole de la CGT France Télévisions et secrétaire général du SNJ-CGT France Télévisions.
Chantage politique en période électorale
Les mâitres-chanteurs de la CGT se sont donné le beau rôle en se déclarant prêts à reprendre samedi les discussions avec le PDG de France Télévisions Patrick de Carolis, tout en soulignat avoir essuyé un "refus de son directeur général" peu enclin à subir les mauvaises manières syndicales. "Il n'y aura pas de négociations demain. Ça veut dire qu'ils choisissent le rapport de force", a accusé l'agresseur CGT.
Patrick de Carolis, dont le mandat prend fin en août 2010, a affirmé vendredi sur le site du Figaro qu'il devrait proposer dans la première quinzaine d'avril une réorganisation du groupe en entreprise unique, marquée par la mise en place d'un "dispositif de départs anticipés à la retraite fondés sur le volontariat". Il a assuré qu'"il n'y aura pas de plan social". Mais la CGT a saisi avec élégance la campagne des régionales comme moyen de chantage.
Un chantage qui invite au boycottage du service publique
En guise de désaveu et de leçon de dignité aux malpropres de la CGT, les électeurs sont invités à se tourner vers la concurrence et à boycotter le service public de télévisions, et aussi de radios qui n'ont pas exprimé leur désapprobation de la prise d'otage des redevables de la taxe.
Il faut que les Français expriment leur claire et massive réprobation des procédés de la CGT et de la FSU.
L'intention est de pratiquer un ignoble chantage que la CGT justifie par le désespoir, en faisant peser une menace d'annulation de la soirée des élections après minuit, qui n'émeut personne, puisque le risque de perturbation de la soirée électorale des régionales est minime et ne fait qu'inviter à prendre de nouvelles habitudes auprès de LCI et RTL Europe1.
Dans un communiqué, la CGT "appelle l'ensemble des personnels quelle que soit leur sensibilité, leur métier ou leur affectation à prendre part à ce mouvement pour défendre leur avenir, leurs métiers, leurs conditions de travail". C'est vague, sans propositions, mais largement mobilisateur et perturbateur. Or, les temps ont changé et les réquisitions à répétition des moyens de communication du service public sont très fortement incitatrices à aller voir ailleurs, et découvrir des commentaires moins partisans et plus respectueux des sensibilités politiques. Qui ne se remettrait pas facilement d'un retour en différé de ce feu follet du Marais poitevin, dents re-blanchies et brushing rafraîchi, ou de Huchon-ronron dans le douillet fauteuil de ses siestes post-prandiales prolongées au CR ?
La force et le chantage sont les moyens démocratiques de la totalitaire CGT. Avec la Ch'tite Aubry, elle tente de réduire au silence le président élu du suffrage universel, mais s'emploie à museler le service public et à fausser le scrutin des régionales, au mépris des règles de la démocratie. L'intention cachée est en effet d'impressionner les tièdes par des mouvements de foule manimulée et de faire monter l'inquiétude sociale à la veille du 1er tour.
Le service publique sclérosé mais hégémonique n'a pas intégré que les chaînes privées sont désormais parfaitement aptes depuis longtemps à pallier les insuffisances du service public, sur lequel il n'est plus possible de compter. La solution serait leur privatisation, puisque leur spécificité n'est plus qu'un handicap dans le paysage audio-visuel.
Il faut donc être terriblement infatué de sa personne sociale pour se croire à ce point indispensable au temps d'une offre audio-visuelle grandissante, de la concurrence privée et de la TNT.
La nostalgie embrume les esprits torturés du service public.
Combien d'entre nous passerons la soirée des élections avec TF1 et feront de brèves incursions sur i>télé et LCI, qui -à notre plus grande satisfaction- éviteront de provoquer notre objectivité. Les radios nationales, telle RTL, respecteront nos sensibilités politiques, plus surement que France Inter ou France Info.
Une concentration anti-républicaine d'actions interférant avec la période pré-électorale
Le tir groupé des syndicats n'a pas interpellé le Conseil Constitutionnel, malgré une salve organisée dans les jours précédents le scrutin. Des mouvements syndicaux suspects relaient pourtant les partis dans l'intimidation de l'électeur, alors que le vote entre dans la dernière ligne droite.
Le mercredi 3 mars , le trafic des trains était perturbé sur le réseau SNCF, mais conforme aux prévisions établies à la suite d'un préavis de grève des quatre syndicats (CGT, Unsa, CFDT/Fgaac et Sud Rail). Le nouveau régime
Le samedi 6 mars, Justice et Libertés appelait à manifester à Strasbourg : rien d'autre qu'un « appel politique à la résistance au « sarkozysme » sous couvert de mobilisation pour le maintien des acquis sociaux corporatistes qui entravent la modernisation de l'institution;
Le mercredi 10 mars, c'était le tour pour une centaine de crèches de se mettre en grève à l’appel du collectif inconnu « Pas de bébés à la consigne », regroupant toujours les mêmes syndicats et associatifs pour protester contre le projet de décret du gouvernement modifiant l’accueil de la petite enfance.
Intox des chiffres
12,9% en moyenne étaient en grève, mais 50% de participants, selon les organisateurs mégalos !
Une intersyndicale de huit syndicats enseignants mobilisait, selon la presse, qui croit toujours impressionner le badaud par la puissance de l'écrit. Or, les media n'arrivent pas à identifier les huit en question et ne nomment que le SNES et le SNUipp, ce qui est du pareil au même: la FSU. Les huit annoncés -qui n'ont pas tous également mobilisé- étaient d'abord CGT (CGT-Éduc’action, SNES-FSU, SNUipp-FSU et SNEP/-FSU), trotskistes (SUD Éducation), et le SNFOLC, d'ex-SNES passés à FO), le SNALC-CSEN (Fédération générale autonome des fonctionnaires -FGAF, en bisbille avec l'UNSA), et les apolitiques de SNCL-FAEN. Le compte des huit n'y est donc pas et peut être réduit de moitié.
Pour l'unité, on repassera aussi, car les organisateurs du 12 mars, ne sont pas exactement ceux de la deuxième grève, le 23 mars, qui rassemblera
la CFDT, Solidaires et l'UNSA. Constat: la CGT et la FSU constituent le fil rouge...
Du côté des lycéens, le nouveau projet de réforme ne semble plus susciter de franche opposition. Cette fois-ci, l’UNL, première organisation lycéenne, se contenta d’appeler à participer à des « réunions-débats » et à rejoindre les manifestations contre les suppressions de postes pour « les lycéens qui le veulent »...
Intox psychologique
"J’en suis à mon 26e CDD dans l’éducation nationale" explique Carine, qui se garde de préciser qu'elle bénéficie du statut de TZR (remplaçante intermittente qui ne l'emploie pas en continu, mais seulement en fonction des besoins, pour le même traitement! ) par choix de rester dans sa région d'origine (plutôt que de prendre un poste pour plusieurs années dans les Ardennes...) Pourtant, selon celle qui ne mérite ni confiance ni respect, « la situation actuelle est pourtant « écœurante », et selon une journaliste ignorante ou complice de désinformation qui l'écoute avec complaisance. « Le rectorat supprime des postes de TZR à la pelle, et après, on se plaint que les profs ne sont pas remplacés. On fait appel à des vacataires sans expérience (nouvelle désignation des « maîtres auxiliaires ») qui abandonnent devant la difficulté de la tâche », mais tout aussi sûrement que des profs jusqu'ici mal formés en IUFM théoriques et coupés des réalités du terrain) : « j’ai ainsi été le septième professeur de français d’une classe de quatrième difficile ». La population scolaire et les entourages hiérarchique, familial, municipal et sociétal sont à vrai dire davantage en cause que les professeurs. Les enseignants actuels mettent en oeuvre les théories de la prévention, auxquelles ils ont été formés, en pure perte et aux dépens de tous.
Des parents de Pantin portent plainte...
« Nous n’avons pas assez de parents agriculteurs pour déverser du lisier sur le ministère, ni assez de chauffeurs routiers pour bloquer les routes. Alors nous déposons plainte. » Hier, Daniel Garrault, président des parents d’élèves de l’école Joliot-Curie, à Pantin (Seine-Saint-Denis), est allé poster cinquante recours contre le ministre de l’Education nationale, Luc Chatel. Sa requête : « Un enseignant devant chaque élève, chaque jour, partout sur le territoire. »
(source 20minutes)
Le jeudi 11 mars, les médecins libéraux étaient “en grève” pour protester contre la dégradation de leur conditions de travail, bien que chacun ait pu observer que les consultations sont réduits à des passages-éclairs limités à 10 minutes sans que ni Brice Hortefeux ni Roselyne Bachelot ne les oblige à faire du chiffre... Leurs déplacements sont limités aux vieillards et aux impotents. Quant ç la multiplication des centres médicaux, ils libèrent du temps aux praticiens sans renforcer les liens de proximité avec les patients: ceux-ci pourraient songer à boycotter leurs généralistes qui confondent service de santé et fonction publique. Leur état d'esprit individualiste s'exprime dans un sondage-maison sur mesure, publié le 4 mars par Le quotidien des médecins, qui met en garde contre l'intention de 50% d’entre eux de voter à gauche, ce qui constitue, outre un chantage, une première pour une profession libérale qui soutient traditionnellement la droite, mais aussi les 35 heures...
Depuis le 11 mars, des manifestants de l'’intersyndicale CGT-CFDT-FO-Sud santé-CFTC occupaient le siège de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) pour dénoncer un plan de réorganisation. Ils ont quitté les lieux vendredi 13 au soir, selon la direction de l'AP-HP.
France Télévisions
Seule, la CGT appelle à la grève à France Télévisions à partir de dimanche. La centrale d'extrême gauche a déposé -à deux jours du scrutin- vendredi 12 mars, un préavis de grève illimitée à France Télévisions à partir de dimanche à minuit, risquant de perturber la soirée électorale des régionales. Dans un communiqué, la CGT "appelle l'ensemble des personnels à prendre part à ce mouvement, quels que soient leur sensibilité, leur métier ou leur affectation, quels que soient donc leurs intérêts catégoriels disparates.
Un mouvement politique intolérable à France Télévisions
"Ce sont tous les programmes de France Télévisions (France-2, France-3, France-4, France-5, RFO) qui vont être affectés", a expliqué Jean-François Tealdi, porte-parole de la CGT France Télévisions et secrétaire général du SNJ-CGT France Télévisions.
Chantage politique en période électorale
Les mâitres-chanteurs de la CGT se sont donné le beau rôle en se déclarant prêts à reprendre samedi les discussions avec le PDG de France Télévisions Patrick de Carolis, tout en soulignat avoir essuyé un "refus de son directeur général" peu enclin à subir les mauvaises manières syndicales. "Il n'y aura pas de négociations demain. Ça veut dire qu'ils choisissent le rapport de force", a accusé l'agresseur CGT.
Patrick de Carolis, dont le mandat prend fin en août 2010, a affirmé vendredi sur le site du Figaro qu'il devrait proposer dans la première quinzaine d'avril une réorganisation du groupe en entreprise unique, marquée par la mise en place d'un "dispositif de départs anticipés à la retraite fondés sur le volontariat". Il a assuré qu'"il n'y aura pas de plan social". Mais la CGT a saisi avec élégance la campagne des régionales comme moyen de chantage.
Un chantage qui invite au boycottage du service publique
En guise de désaveu et de leçon de dignité aux malpropres de la CGT, les électeurs sont invités à se tourner vers la concurrence et à boycotter le service public de télévisions, et aussi de radios qui n'ont pas exprimé leur désapprobation de la prise d'otage des redevables de la taxe.
Il faut que les Français expriment leur claire et massive réprobation des procédés de la CGT et de la FSU.
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