Les couples présidentiels français n'ont pas toujours fasciné
Charles et Yvonne de Gaulle n'étaient pas sollicités par la presse alors respectueuse. Les Pompidou n'ont en revanche pas été épargnés par la rumeur odieuse. Les Giscard laissaient de marbre et les Mitterrand dissimulaient. Les Chirac découvrirent l'insolence des media qui s'auto-censuraient pourtant au temps du secret sur la double vie du président Mitterrand. L'usage qui fut fait de la liberté de la presse discrédita les journalistes.
Aujourd'hui, le couple présidentiel a trouvé son équilibre médiatique
Mariés depuis le 2 février 2008, le président Sarkozy et la Première Dame de France ont été soumis aux bassesses les plus viles.
Ils n'ont jamais été épargnés par les rumeurs et le Nouvel Observateur n'a pas renié Airy Routier, auteur d'un infâme vrai-faux SMS destiné à nuire à la vie privée.
Il aurait plu aussi à la gauche que le président joue la modestie à la façon d'un socialiste nanti. Il n'a trompé personne et a été qualifié de 'bling-bling'. Qui aurait apprécié que sa rivale malheureuse, Sa Cynique Majesté Royal, qui pourtant "déteste les riches", eût fait honte, en plus de ses bourdes, pour son négligé ?
Dernièrement, le duo présidentiel est donc apparu amoureux, proche et serein lors de la visite du président Medvedev à l'Elysée au début du mois de mars (voir photo ci-contre).
La campagne des Régionales et les plus folles rumeurs
Tous les coups bas sont permis aux vertueux. L'Internet bruisse de bruits sur des relations extra-conjugales au sein du couple et la presse caniveau outre-Manche alimente la presse internationale dite sérieuse mais hypocrite s'interroge sur de supposées liaisons que Nicolas et Carla auraient chacun de son côté. Il vaut mieux éviter de s'étendre sur ces propos qui sont, sans fondement.
Toutefois, vendredi 5 mars, Carla Bruni était l'invitée d'une émission de la chaîne britannique privée Sky News. Le but officiel était l'analyser du parcours artistique de l'ancien mannequin de 42 ans, chanteuse et auteur-compositeur à succès. La journaliste avait-elle déjà entendu des bruits car ses questions qui portent sur l'intimité de Carla semblent motivées par un but : en savoir plus sur le couple.
"Vous avez une vie si fascinante, mais pensiez-vous un jour finir première dame de France ? Carla Bruni ne se départit pas de son calme : "Le véritable conte de fées est ma rencontre avec Nicolas Sarkozy il y a deux ans, l'incroyable chance d'avoir pu tomber amoureuse à 40 ans en rencontrant quelqu'un avec qui j'ai pu me marier."
"Vous avez dit un jour vous ennuyer avec l'idée de la monogamie", lance la journaliste. "Je n'avais jamais goûté la monogamie avant d'être mariée. [...] Pour moi, la monogamie est en relation avec le mariage."
A la subtile question : "Est-ce qu'avec Nicolas Sarkozy, c'est pour toujours ?", elle répond : "Le mariage devrait durer pour toujours, mais qui sait ce qui peut arriver ? J'espère que que cela sera pour toujours, je le souhaite, mais nous pourrions mourir demain."
Les interrogations se font de plus en plus élégantes et intrusives : "Vous lui faites confiance ?" "Oh oui, énormément", dit-elle sans hésitation. La journaliste d'investigation sonde les coeurs et renifle les culottes: "Il y a des rumeurs comme quoi il a eu beaucoup de relations par le passé, mais vous lui faites confiance?" Carla, le regard droit, déclare : "Oui, beaucoup. Il ne ferait jamais ça. Avez-vous déjà vu une photo de lui avec une liaison ? Donc voilà ! " Les media vertueux trouveront là matière à décryptage deouis le caniveau...
Au cours de l'entretien, la Première Dame ajoute que 99% des choses que l'on dit à son propos sont fausses, avec une voix légèrement exaspérée.
Dans le même temps, aujourd'hui un journaliste de la chaîne France 24 s'est apesanti sur les rumeurs Nicolas/Carla dans la revue de presse et évoque la soi-disant mésentente du couple qui fait le bonheur de la presse anglaise, suisse et internationale. Beaucoup de bruit mais des informations qui n'ont pas besoin d'être vérifiées pour l'usage qu'on veut en faire.
Petit diaporama:
source purepeople
La Journée de la femme
Ce n'est pas pour les femmes heureuses: existent-elles seulement ?
C'est pour
- les intellectuelles grises au cheveu gras, aigries et aggressives, vigilantes et mondialistes (lire PaSiDupes);
- les nouvelles femmes battues et mal logées, mariées contre leur volonté à des polygames multirécidivistes, seules avec quatre enfants, abandonnées à la solidarité des ...beaufs de cette terre d'accueil où on se presse mais qui n'en fait pourtant pas assez.
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