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mardi 9 mars 2010

Touche pas au drapeau algérien: tu as le français à brûler

Les pro-arabes raniment la flamme de l'identité nationale
Affiche de campagne du Front National


Deux traitements, l'un citoyen, l'autre archaïque


Deux traitements égalitaires et républicains: l'un révolun dépassé et l'autre, républicaine et citoyen !

Deux poids de mesures qui interpellent certains, étrangers au microcosme parisien sous la coupe de la pensée dominante. Les bien-pensants donneurs de leçons fustigent en revanche le débat sur l'identité nationale en France, mais s'indignent de l'usage réservé par le FN au drapeau algérien.

Devoir de mémoire

Les symboles nationaux conservent toute leur valeur à l'extérieur, mais sont bafoué dans l'hexagone. Mieux, ce sont certains de ceux qui sifflent La Marseillaise qui poussent des cris d'orfraie lorsque le FN déploie le drapeau algérien. Il n'est pourtant ni brûlé, ni foulé aux pieds.

Il en faut donc moins aux internationalistes altermondialistes pour se sentir outragés, alors même qu'ils restent impavides quand La Marseillaise est sifflée, à plusieurs reprises dans des lieux publics.


En octobre 2008, des sifflets ont accueilli la Marseillaise au début du match -amical- France-Tunisie au Stade de France. Cet outrage à l'hymne national avait déclenché une vive indignation, mais avait faiblement ému la gauche.

Fin mars 2005 au stade de Ramat-Gan de Tel Aviv ,
La Marseillaise était sifflée lors du match France-Israël.


La Fédération israélienne de football avait appelé son public au calme, craignant que «La Marseillaise» ne soit sifflée avant le match Israël-France des éliminatoires de la Coupe du monde 2006, en raison des récentes déclarations du gardien des Bleus, Fabien Barthez, qui s'était déclaré «très inquiet» à l'idée d'aller jouer en Israël, en raison de la sécurité. « Il y a un ressentiment au sein du public envers le gardien », avait expliqué M. Aizenberg.

Lors du match Bastia-Lorient, en finale de la coupe de France 2002, des beurs ont joints leurs huées de l'hymne national par des Corses qui attendent beaucoup des métropolitains mais ne sont pas disposés à leur rendre justice. Le Président Chirac a eu la réaction pédagogique qui s'impose à des éléments qui n'ont rien appris de leurs devoirs envers la Nation, dans les écoles de la République.
VOIR et ENTENDRE


Le 6 octobre 2001 au Stade de France, La Marseillaise avait déjà été sifflée au début de la tristement fameuse rencontre, France-Algérie , tout aussi amicale.

=> L'inénarrable Malek Boutih, bille en tête, avait alors fustigé les politiques qui s'étaient insurgés. Ils avaient fait beaucoup de bruit, mais aucune mesure concrète n'avait été prise, selon lui. Le responsable socialiste ne s'était pas privé de faire de la récupération politicienne sur ce sujet sensible et de juger pire encore la manipulation par les politiques des symboles nationaux. Et de citer « La France, aimez-la ou quittez-la » qui est devenu un reproche à la droite.
Or, en 2001 et 2002, bien qu'il n'y paraisse pas dans les propos fumeux de Boutih, Lionel Jospin était encore chef du gouvernement... De là à y voir un rapport de cause à effet devant lequel Boutih lâcha un rideau de fumigènes, il n'y a pas loin...


Rien à voir avec le 12 février 2005
Alors que l'OM, et lui étaient les invités du Wydad de Casablanca au Complexe Mohammed V, le "divin chauve", portier français inculte, primaire et proche de l'extrême gauche, s'était attaqué à l'arbitre marocain, Achiri, et lui aurait« craché dessus » ! Le rustre nie « avoir craché au visage » du juge.

Ensuite, ce fut le coups de boule par Zinedine Zidane, aussitôt promu par Danone !

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