C’est dire qu’il doit poursuivre ses réformes de modernisation
Et que les harceleurs de l’opposition sont déconnectés de la réalité : la population approuve la politique du gouvernement et désavoue la gauche.
Et c’est pourtant un sondage CSA qui est peu suspect de sympathies pour le pouvoir. Il y voit sans doute des raisons d’espérer une embellie dans la presse en perte de confiance. La castagne fait vendre et le quotidien Le Parisien/Aujourd'hui en France qui publie ce sondage dimanche devrait faire du chiffre sur le dos du gouvernement et de ses réformes qu’il ne ménage pas.
Les sympathisants de gauche sont en effet à 59% favorables au maintien de François Fillon, les proches du Modem sont à 74% du même avis. Les 88%.à droite ne sont pas autant symptomatiques, malgré le débat interne à l’UMP.
Si M. Fillon était remplacé, c'est Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, qui aurait la préférence des Français, 39% souhaitant son arrivée à Matignon contre 53%, devant …François Bayrou, président d’opposition du Modem (37% contre 58%) et Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur (34% contre 58%).
L'ancien Premier ministre Alain Juppé, maire de Bordeaux, ministre de l'Ecologie du gouvernement Fillon, arrive ensuite (29% contre 66%), précédant le ministre du Travail Xavier Bertrand (27% contre 61%).
Parmi les sympathisants de droite, Mme Alliot-Marie arrive en tête, 43% souhaitant qu'elle devienne Premier ministre, devant M. Juppé (41%) et M. Borloo (40%). A gauche, M. Bayrou arrive significativement en tête (43%), devant M. Borloo (41%).
Ce sondage fut réalisé par téléphone les 11 et 12 juin .
L'ancien Premier ministre Alain Juppé, maire de Bordeaux, ministre de l'Ecologie du gouvernement Fillon, arrive ensuite (29% contre 66%), précédant le ministre du Travail Xavier Bertrand (27% contre 61%).
Parmi les sympathisants de droite, Mme Alliot-Marie arrive en tête, 43% souhaitant qu'elle devienne Premier ministre, devant M. Juppé (41%) et M. Borloo (40%). A gauche, M. Bayrou arrive significativement en tête (43%), devant M. Borloo (41%).
Ce sondage fut réalisé par téléphone les 11 et 12 juin .
Fillon, c’est tout bon à Matignon, pour deux tiers des Français ou des sondés?
RépondreSupprimerTiens, c'est curieux, jamais la Gauche ne pose ce genre de question lorsqu'il s'agit de sondages négatifs pour la Droite ou positifs pour la Gauche.
RépondreSupprimerDès l'instant que quelqu'un dit du bien du Gouvernement, la Gauche crie toujours à la manipulation.
Evidemment, elle ne peut pas concevoir les choses autrement, puisque ses militants sont habitués à réciter par coeur (plus ou moins bien) ce que le Parti dit de répéter, et ses media (tous à Gauche à plus de 96,5% d'après le sondage publié l'an dernier par Marianne-- au moment où ces mêmes media effectuaient une purge visant à écarter quelques uns des malheureux 3,5% de Droite dans le personnel) ont pour pratique de fabriquer de faux documents et de fausses informations, diffusés à des millions d'exemplaires et répétés jour et nuit dans les media électroniques, uniquement pour nuire à la Droite (faux "SMS", faux compte-rendu de réunion dans Le Nouvel Observateur, et faux témoignages payés par Karl Zéro pour accuser de complicité de viol, torture et assassinat un homme politique de Droite, alors président du CSA, qui alors revoir les conditions de diffusion du porno... par Canal Plus).
C'est la conception qu'a la Gauche de la Démocratie: elle ne vaut que si l'on vote pour elle, et la liberté d'expression ne vaut que pour dire du bien d'elle-- sinon, les gangs des banlieues sont envoyés pour brûler les voitures le soir de l'élection, afin de punir les "mauvais français" de leur "mauvais vote" qui n'a pas élu la candidate du PS, qui eppela encore par la suite à "un vent de violence".
un sondage chasse le precedent
RépondreSupprimer.
Sarkozy perd 2 points, Fillon un (Ipsos)
Source : le figaro
La cote de Nicolas Sarkozy recule de deux points en juin avec 38% de Français portant un jugement positif sur son action contre 40% en mai, tandis que François Fillon perd un point avec 49% d'avis favorables, selon le baromètre mensuel Ipsos-Le Point, à paraître jeudi.
Au palmarès des personnalités politiques, le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner (ex-PS) reprend la première place avec 66% (+4) d'opinions favorables sur son action. Il devance le maire de Paris, Bertrand Delanoë (PS), qui reste stable avec 65% de jugements positifs.
Viennent ensuite le socialiste Dominique Strauss-Kahn (59%, +4), la secrétaire d'Etat à la politique de la Ville Fadela Amara, qui gagne 8 points à 57%, et le ministre de l'Ecologie (UMP) Jean-Louis Borloo (57%, =).