Après avoir nié la crise et castagné Sarkozy, Hollande face aux réalités
Des personnes mécontentes de sa politique interpellé Hollande
Le président des pauvres en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été malmené dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles.
La mise en scène vantée par l'Elysée devait rappeler "l'homme normal" de la campagne présidentielle mais n'était pas à la hauteur du mécontement populaire. Le "président des bisous" a vite pris la mesure de son impopularité, bien que tout ait été pourtant calculé par ses conseillers: arrivée en train, déambulation parmi la population, dispositif de sécurité léger.
Les trois quarts des présents étaient en réalité des militants socialistes venus créer l'illusion de la sympathie populaire, mais l'ensemble sonna faux aussitôt. Réclamer de la patience et de l'indulgence pour le gouvernement qui bataille avec la crise, c'est bon pour Laurent Mouchard-Joffrin du Nouvel Obs ce matin sur France Info.
VOIR et ENTENDRE Laurent-le-cireur-de-pompes généraliser l'impopularité de Hollande à toute l'Europe et mettre en cause la crise dont "pâtit" Hollande et Etienne Gernelle dénoncer la fiscalisation à outrance et faire le point sur l'illusion de la baisse des dépenses publiques:
Les 60.000 emplois pour l'Education, "c'est pas énorme", clame Joffrin qui béat, assure en outre que Hollande ne peut casser la croissance...
"Il n'y a pas rejet de la personne", soutient le même, perspicace, comme le démontrent les faits à Dijon.
A l'arrivée sur place du président de la République, la tension monte d'un cran. Le Monde a reconnu des syndicalistes trotskistes de Solidaires - notamment - infiltrés parmi les ravis du PS, "pour lui rappeler qu'il est socialiste". Il faut toutefois souligner que l'équipe du président n'a pas fait passer Hollande par la Lorraine et Florange, ni par la Picardie de Goodyear à Amiens et que leur nouveau mode de communication ne fonctionne pas mieux à Dijon où, tout socialiste qu'il soit, le sénateur-maire François Rebsamen a aussi quelques sujets de friction, tel le non-cumul des mandats, avec le locataire de l'Elysée.
Plusieurs "personnes" l'accusent de "faire la politique du patronat", et de se soucier davantage de sociétal, avec le "mariage" pour tous, ou de son image personnelle, avec la guerre au Mali et la tournée en Algérie, que de social avec les problèmes quotidiens des Français. L'un d'entre eux crie : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"
Les forces de l'ordre font taire la contestation
L'insolent est immédiatement évacué, manu militari, par les services de la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Les media qui avaient l'habitude de s'offrir en porte-voix des contestateurs jusqu'en 2012 ont viré de bord et ne dénoncent plus la brutalité du service d'ordre: ils en vantent la délicatesse...
Mais les rares images qui circulent contredisent les tweets partisans.
La censure gouvernementale
et l'auto-censure des media complices
fonctionnen à merveille:
les Français ne doivent pas savoir
Des images agressives assez éloignées du but recherché par Hollande.
Les services de l'Elysée se dédouanent de toute responsabilité. Alors que dans la maison de l'emploi et de la formation, le président en campagne qui tente de redorer sa cote en Côte d'Or, est occupé à signer quatre emplois d'avenir pour tout le bassin dijonnais, ses services s'activent pour calmer le jeu. Devant les journalistes présents, les conseillers de l'Elysée accusent de faute les forces de sécurité de la préfecture, plaidant l'excès de zèle.
Interrogé sur la scène qui vient de se dérouler, le président Hollande, placide, répond "ah bon ?", avant de reprendre sa visite à travers les rues.
Si Delanoë avait un peu de compassion pour les Français plutôt que de confiance en Hollande, malgré dix moix d'impuissance, ça apporterait un peu de réconfort aux victimes de la fiscalité et du chômage.
On savait le président coupé des réalités; on sait désormais qu'il est coupé de ses électeurs. Sauf Le Nouvel Observateur où Laurent Joffrin titrait: "
A Dijon, Hollande sera-t-il le père de la Nation ou petit "pèpère" du peuple ?"
Il tient sa réponse, ou toujours pas ?
Décidément Patapouf fait de mieux en mieux :
RépondreSupprimer-il nous dit " nous sommes sur le bon chemin "
Mais quel chemin ?
-le chemin du mariage entre homos, du reniement de nos valeurs, de la destruction de nos idéaux ?
-le chemin des avantages distribués allègrement en dépit d'une dette qui plonge, plonge.
-le chemin d'une guerre bien couteuse, sans concertation, sans allié, mais pas sans danger
-le chemin des mots creux, avec RIEN derrière
-le chemin de " la constance, l'endurance, l'espérance " :
la constance du n'importe quoi
l'endurance en faisant plaisir à n'importe qui, en cédant aux modes ( mariage homo, etc )
l'espérance : en quoi !?!? de vivre du chômage, de retraite de m....
Patapouf fait le tour de France, va dormir dans des lits prestigieux, pour :
ranimer les forces vives.....
Et fichtre les petites communes doivent se contenter de tapis ordinaire pour leur " dojo "
JE CROIS QUE JE FAIS UN CAUCHEMAR, RIEN NE VA PLUS, ET LES REMÈDES SONT DES MOTS, DES MOTS ENCORE DES MOTS.
Qui mange avec des mots, se loge avec des mots, s'habille avec des mots, se chauffe et s'éclaire avec des mots !?!?
C'est un cauchemar
La presse qui fait semblant de ne rien voir ,la presse qui ne dénonce pas ces brutalités :est ce en rapport avec l'abattement de 7650 euros sur leur revenu imposable que leur a octroyé Hollande (rappelons le la signataire de la petition était Mme Triewieler en 1er lieu).Oui que pensez de ce 4eme pouvoir qui a juré obédience à Hollande et qui ne fait plus son travail de contre pouvoir .
RépondreSupprimerQue penser de cette presse racoleuse ces gauchos qui n'ont eu pendant les 5 ans de Sarko que les droits de l'homme à la bouche matin midi et soir......................La liberte d'expression ou de pensée ne sont pas du côté ou l'on pense les trouver.
RépondreSupprimerLa gauche est sectaire, elle ne respecte pas ses adversaires les traitent avec mépris et suffisance............et la presse aux ordres comme l'ump se taisent .................et le pauvre type qui manifeste son désaccord est arrêté comme un gangster.............et en parallèle une loi d amnistie sur les casseurs de la cgt est en cours d'examen..........gauche pourrie qui supprime la parole et rêve de mettre ses opposants devant un mur ou au fin fond de la foret amazonienne..........
C'est en partie pour ces raisons que jamais je ne voterai pour la gauche et que je n'achète plus aucun journal ni aucune publication..............la presse est perfusée avec l'argent des contribuables chose inadmissible, comment pensez qu'elle ne soit pas aux ordres de la gauche ...........c'est elle qui a cassé sarkozy..............pour que la gauche ait tous les pouvoirs a tous les niveaux de l'état.
Cela avait été dit timidement pendant la dernière campagne présidentielle, mais bon nombre de gens avec le cerveau lavé ne pensait qu'à tss.
Aujourd'hui la France est à genoux, en 2017 elle sera au fond du trou.
Lisa
BELLE ARTICLE FABIEN BAUDUIN DIJON LE SYNDICALISTE OLIBRIUS
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