La cri d'alarme et la colère 'saine' d'Isabelle Levy

“Des hôpitaux acceptent que des personnels féminins portent le voile islamique dans leur activité professionnelle”
En décembre 2003 déjà, les experts de la commission Stasi sur la laïcité découvraient, ébahis, les dérapages religieux dont l'hôpital public est devenu le théâtre: couloirs transformés en lieux de prière, femmes accouchant en burqa ou refusant d'être examinées par un homme en urgence, internes voilées ici ou là, psychiatre étranger recevant, dans le sud de la France, avec le Coran sur la table...

“Des hôpitaux acceptent que des personnels féminins portent le voile islamique dans leur activité professionnelle”
En décembre 2003 déjà, les experts de la commission Stasi sur la laïcité découvraient, ébahis, les dérapages religieux dont l'hôpital public est devenu le théâtre: couloirs transformés en lieux de prière, femmes accouchant en burqa ou refusant d'être examinées par un homme en urgence, internes voilées ici ou là, psychiatre étranger recevant, dans le sud de la France, avec le Coran sur la table...

Jean-Pierre Raffarin avait chargé le ministère de la Santé de se pencher sur le dossier. Depuis, plus rien.
Evincée par le feuilleton du voile à l'école, la question de la religion à l'hôpital se pose pourtant bien, même si les conflits et les éruptions de violence restent très minoritaires, comme tiennent à le préciser tous les soignants.

Et Isabelle Lévy ne lâche rien.
Souhaitons une robuste santé à cette professionnelle de santé
Mais qu'elle ménage son coeur et encore longtemps !
VOIR et ENTENDRE son indignation qui mériterait d'être relayée dans l'opinion et entendue par les pouvoirs publics (RFI, émission Le monde des religions, 9/01/2011):
Souhaitons une robuste santé à cette professionnelle de santé
Mais qu'elle ménage son coeur et encore longtemps !
VOIR et ENTENDRE son indignation qui mériterait d'être relayée dans l'opinion et entendue par les pouvoirs publics (RFI, émission Le monde des religions, 9/01/2011):
Craignons aussi pour la qualité des soins qui, en cas de nécessité, lui seraient consentis. Comme à quiconque ?
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