On attendrait de la presse qu'elle jouât son rôle.
Sa fonction fondamentale consiste à rechercher et apporter les éléments d'information qui permettent la réflexion individuelle et éclaire le jugement. Mais la presse s'est arrogée le droit de faire de l'éducation de masse. Qu'elle analyse ou 'décrypte', elle ne présente que les faits qui servent sa démonstration.
Le phénomène et général: pareillement, les juges n'acceptent plus de respecter la loi en l'appliquant. Ils revendiquent le droit de contester les textes législatifs pourtant discutés et votés à la majorité des deux Chambres du Parlement. Avec le soutien d'une pléthore d'associations, souvent en doublon, la séparation des pouvoirs, pour le législatif, consiste désormais à ignorer celui du législatif, fût-il constitué de représentants du peuple dont les magistrats sont supposés servir les intérêts, respectueusement, scrupuleusement. S'attribuant un pouvoir qui n'est pas le leur, les juges interprétent la loi, d'une part, et les journalistes les faits, d'autre part, à leur guise, impunément.
Il ne manquait plus que les entreprises de sondage. Elles se qualifient d'instituts pour conférer à leurs 'analyses' et commentaires un caractère scientifique parfaitement injustifié. Ainsi, l'opinion est-elle mystifiée et manipulée.
La vérité factuelle est devenue relative, partielle et partiale.
En parlant à l'unison, la presse d'opposition ajoute du crédit à la réalité tronquée, faussée, voire caricaturée. Par son unanimisme, elle apporte une valeur ajoutée à l'illusion de vérité. Or, la droite, qui n'a pas la culture de la facilité et de la démagogie, lui oppose non seulement les notions mais aussi les contraintes de l'effort. Elle craint donc de jouer les rabat-joie et de s'aliéner le Français de la rue au grand coeur.
Les points de vue adverses ne sont pas équitablement représentés
Les media se complaisent dans la facilité. Sur le fond, les partis dictent leur ligne éditoriale aux organes de presse et, dans la forme, les agences de presse leur mâchent le travail. L'opinion souffre en conséquence de la paresse des journalistes et de la pensée unique qu'ils véhiculent. Tous 'décrypteurs' qu'ils prétendent être, ils transmettent les certitudes du mileu, sans grand souci de respect et de représentation de l'opinion.
Les media se complaisent dans la facilité. Sur le fond, les partis dictent leur ligne éditoriale aux organes de presse et, dans la forme, les agences de presse leur mâchent le travail. L'opinion souffre en conséquence de la paresse des journalistes et de la pensée unique qu'ils véhiculent. Tous 'décrypteurs' qu'ils prétendent être, ils transmettent les certitudes du mileu, sans grand souci de respect et de représentation de l'opinion.
La France profonde a donc peu de chance d'entendre et de lire autre chose que l'opinion dominant le microcosme. Toutes les opinions ne sont donc pas équitablement représentées: le critère d'objectivité est exigeant !
La rhétorique systématiquement enseignée, puis grossièrement dupliquée, consiste à produire un document sonore ou filmé en appui de la thèse adverse, pour ensuite sortir des témoignages militants, voire anonymes, qui laissent le lecteur, l'auditeur ou le téléspectateur sur l'impression souhaitée.
Les options politiques se font de plus en plus claires et les accusations directes, quand ne surgit pas l'attaque frontale. Les journalistes s'élèvent au rang d'interlocuteurs et de débatteurs à part entière. Au devoir d'objectivité, ils substituent le droit à l'insolence, à la déstabilisation et à l'agression. Les acteurs politiques vont devant les caméras comme le veau à l'abattoir et, sur les plateaux de radio et de télévision, les malandrins de la presse leur présentent le merlin à la tempe. Le spectacle médiatique n'est pas complet tant que l'animateur-chef de meute n'a pas lâché les invités et donné le signal de la mise à mort. Il n'atteint donc son paroxysme qu'avec la curée aux chiens.
Le salarié peut passer du canapé au lit, vengé des augmentations de prix et lavé des humiliations du chef de service !
Le pistolet à impulsion électrique, ou taser, est moins radical que le pistolet à balle au poing du policier, mais le micro est-il moins efficace et cruel aux mains des journalistes ?
Les abus de pouvoir de la presse
Le monde à l'envers...
Le journaliste croit indispensable de communiquer ses impressions à chaud, de transmettre son message et de partager des convictions. Mais elles ne sont souvent que celles imposées en conférence de rédaction. Et quand elles sont personnelles, le militantisme ne justifie en rien. Imposée aux Français dans la presse comme au tribunal, la pensée unique, sournoisement parée du politiquement correct vertueux, est abus de pouvoir.
Contre la tyrannie du politiquement correct des associations partisanes
Ami d'Eric Zemmour, le préfet de l'Allier a témoigné en faveur du chroniqueur devant la 17e chambre correctionelle. Pour La Semaine de l'Allier, il revient sur ce débat.
Pierre Monzani dénonce "l'omerta" qui règne sur le problème de la délinquance. Selon lui, "c'est un fait : parmi les délinquants il y a une surreprésentation des populations d’immigrés d’origine récente."
VOIR et ENTENDRE ce qui est censuré par la presse engagée:
VOIR et ENTENDRE ce qui est censuré par la presse engagée:
Le préfet de l'Allier décrypte le procès Zemmour envoyé par semaineallier.
Ce que Libération ou Mediapart, France Info ou i>télé ne disent pas doit-il être tu ?
étaient ce jour à 18h2O à la télé:
RépondreSupprimer-bfm tv: cecile Duflot ,les verts
-Itélé : Moscovici, ps
- tv5 : A. Montebourg, ps
-France 5: Malek Boutih ps
nous ommes vraiment très bien encadrés , eric Zemmour a du travail pour faire passer la liberté de penser