Patients dans l’angoisse, médecins machiavéliques
Pas de souci; ils sont en bonne santé!
Pas de souci; ils sont en bonne santé!
Tom Pelloux, au centre,
avec Bové, à gauche
Tom Pelloux, à droite
avec Hollande
Si vous avez des parents ou amis en souffrance physique et morale, vous savez dans quelle angoisse les plongent l’attente et le chantage des urgentistes et réanimateurs qui, tels des FARC, annoncent un durcissement de leur grève.
Nos ‘guérilleros’ veulent le bien du peuple qui n’a d’autre choix que de se faire soigner à l’hôpital public. Ils veulent aussi le bien de ce système hospitalier avant le leur. Et portant, les syndicats d'urgentistes d'anesthésistes et de réanimateurs des hôpitaux publics s’activent à une extension de leur grève à l'ensemble des personnels. Ils ont annoncé vendredi une réunion avec les différentes fédérations syndicales dans le courant du mois de janvier, et appellent à participer à la journée de mobilisation prévue le 24 janvier dans la Fonction publique. Les malades du service public sont pris en otage mais ces précaires-là sont trop faibles pour être pris en compte. On ne peut les faire descendre dans la rue, voilà leur erreur.
Les grévistes réclament le paiement des heures supplémentaires et l'ouverture de négociations sur les comptes épargne temps (CET). Le ministère de la Santé faisait état vendredi de 7,35% de grévistes pour la nuit précédente au niveau national. Ce chiffre est contesté par les syndicats qui parlent de 50% à 90% de praticiens déclarés grévistes en fonction des départements, sachant qu'ils sont assignés par les directions des établissements pour assurer la continuité des soins. Pourquoi les syndicats battraient-ils le rappel au risque de faire monter la température des malades si une plus forte mobilisation n'est pas possible, d'après leurs chiffres?
Les patients sont de la menue monnaie d’échange dans le bras de faire avec les autorités. "Il va y avoir une intersyndicale avec les syndicats de médecins et les fédérations des personnels", d'ici la fin janvier, a déclaré vendredi le président de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF) Patrick Pelloux lors d'une conférence de presse à Paris. Si le furoncle Pelloux ne s’amusait pas à titiller les malades, il parlerait en clair : ‘d'ici la fin janvier’ signifie le ‘24 janvier’, point d’abcès de l’infection purulente du Dr Mabuse (lien Wikipedia), responsable mais pas coupable.
Nos ‘guérilleros’ veulent le bien du peuple qui n’a d’autre choix que de se faire soigner à l’hôpital public. Ils veulent aussi le bien de ce système hospitalier avant le leur. Et portant, les syndicats d'urgentistes d'anesthésistes et de réanimateurs des hôpitaux publics s’activent à une extension de leur grève à l'ensemble des personnels. Ils ont annoncé vendredi une réunion avec les différentes fédérations syndicales dans le courant du mois de janvier, et appellent à participer à la journée de mobilisation prévue le 24 janvier dans la Fonction publique. Les malades du service public sont pris en otage mais ces précaires-là sont trop faibles pour être pris en compte. On ne peut les faire descendre dans la rue, voilà leur erreur.
Les grévistes réclament le paiement des heures supplémentaires et l'ouverture de négociations sur les comptes épargne temps (CET). Le ministère de la Santé faisait état vendredi de 7,35% de grévistes pour la nuit précédente au niveau national. Ce chiffre est contesté par les syndicats qui parlent de 50% à 90% de praticiens déclarés grévistes en fonction des départements, sachant qu'ils sont assignés par les directions des établissements pour assurer la continuité des soins. Pourquoi les syndicats battraient-ils le rappel au risque de faire monter la température des malades si une plus forte mobilisation n'est pas possible, d'après leurs chiffres?
Les patients sont de la menue monnaie d’échange dans le bras de faire avec les autorités. "Il va y avoir une intersyndicale avec les syndicats de médecins et les fédérations des personnels", d'ici la fin janvier, a déclaré vendredi le président de l'Association des médecins urgentistes de France (AMUF) Patrick Pelloux lors d'une conférence de presse à Paris. Si le furoncle Pelloux ne s’amusait pas à titiller les malades, il parlerait en clair : ‘d'ici la fin janvier’ signifie le ‘24 janvier’, point d’abcès de l’infection purulente du Dr Mabuse (lien Wikipedia), responsable mais pas coupable.
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