Sarkozy réussit là où les militants socialistes ont échoué…
Le PS en ordre de bataille ? Voyons ça!
Incolore et sans saveur dès avant la défaite de Désirdavenir Royal à l'élection présidentielle, le PS n’est pas inodore mais il est bruyant. Ses rumeurs fétides ont donné la nausée, sa campagne tonitruante axée sur la diabolisation et la peur l’a disqualifié et son marquage du gouvernement à la culotte l’a ridiculisé. Aujourd’hui mardi, dans un sursaut pathétique, il a lancé une riposte qualifiée de ‘coordonnée’ face à la première conférence de presse de Nicolas Sarkozy de l'année.
Les rivalités internes divisent le PS depuis des mois mais il se rassemble, ponctuellement, tous courants confondus, lorsqu’il s’agit de détruire, dans une opération commando auprès des médias. Les élus du Parti socialiste ont en effet diffusé une quinzaine de communiqués (en signe d’unité) et certains avant même que le chef de l'Etat ait fini de parler à l'Elysée ! Les critiques étaient prêtes d’avance et ne tenaient donc guère compte des propos tenus par le chef de l’Etat. On savait déjà ce qu’il fallait penser du débat participatif socialiste et les socialistes nous indiquent maintenant ce qu’est sa capacité d’écoute et de dialogue. Ils sont intervenus à chaud et à plus d’une douzaine dans les médias.
De François Hollande à Aurélie Filippetti, nouvellement élue à l'Assemblée nationale, en passant par le député européen Benoît Hamon, tous ont décliné le même message et sur le même ton: le président de la République a parlé pour rien. S’ils ne l’ont pas écouté, comment pouvaient-ils l’entendre ? Les socialistes sont vraiment des comiques.
Le PS en ordre de bataille ? Voyons ça!
Incolore et sans saveur dès avant la défaite de Désirdavenir Royal à l'élection présidentielle, le PS n’est pas inodore mais il est bruyant. Ses rumeurs fétides ont donné la nausée, sa campagne tonitruante axée sur la diabolisation et la peur l’a disqualifié et son marquage du gouvernement à la culotte l’a ridiculisé. Aujourd’hui mardi, dans un sursaut pathétique, il a lancé une riposte qualifiée de ‘coordonnée’ face à la première conférence de presse de Nicolas Sarkozy de l'année.
Les rivalités internes divisent le PS depuis des mois mais il se rassemble, ponctuellement, tous courants confondus, lorsqu’il s’agit de détruire, dans une opération commando auprès des médias. Les élus du Parti socialiste ont en effet diffusé une quinzaine de communiqués (en signe d’unité) et certains avant même que le chef de l'Etat ait fini de parler à l'Elysée ! Les critiques étaient prêtes d’avance et ne tenaient donc guère compte des propos tenus par le chef de l’Etat. On savait déjà ce qu’il fallait penser du débat participatif socialiste et les socialistes nous indiquent maintenant ce qu’est sa capacité d’écoute et de dialogue. Ils sont intervenus à chaud et à plus d’une douzaine dans les médias.
De François Hollande à Aurélie Filippetti, nouvellement élue à l'Assemblée nationale, en passant par le député européen Benoît Hamon, tous ont décliné le même message et sur le même ton: le président de la République a parlé pour rien. S’ils ne l’ont pas écouté, comment pouvaient-ils l’entendre ? Les socialistes sont vraiment des comiques.
Reservant froid le plat que sa malencontreuse candidate et ex-concubine présentait pendant la campagne aux Français qui l’ont retourné aux cuisines, le futur ex-premier secrétaire du PS, François Hollande, a retourné à la droite au pouvoir la critique qu’ à l’époque elle adressait à Désirdavenir Royal : "Quand un responsable public n'a pas de chiffres à présenter, il produit des mots", a-t-il ainsi estimé, en visant Nicolas Sarkozy mais en atteignant Désirdavenir. Selon lui, le Président a "évité de répondre aux questions essentielles" sur les salaires, l'emploi ou le pouvoir d'achat. En près de deux heures, c’est un tour de force…
Le député de Corrèze a du mal à se renouveler et a donc encore prédit un "plan de rigueur" aux Français, que la majorité garderait caché jusqu'aux municipales de mars. En bref, Flamby 1er ‘a parlé pour rien’…
Pour Julien Dray, porte-parole du PS, le chef de l'Etat s'est livré à "un constat d'impuissance" , un "long discours creux" selon les mots de Razzy Hammadi, récemment promu "secrétaire national chargé de la riposte" (on a de l'imagination et on voit ce que ça produit!) et auteur de trois communiqués en trois heures, pas un de moins. On sent qu’ils ont été attentifs : de tels arguments massus ne pouvaient pas être prêts à l'emploi….
Arnaud Montebourg, inspiré, a fait un copié-collé : "Un moulin à paroles" sans aucune mesure concrète, a-t-il répété dans sa déclaration bâclée pour France Info.
Comme elle en a pris l'habitude depuis cet automne, Désirdavenir Royal a choisi quant à elle pour réagir de convoquer la presse dans ses bureaux parisiens personnels, acceptant pour une fois de répondre aux questions après une brève déclaration.
Raillant le président, elle l'a sommé de "passer du discours aux actes", notamment sur la revalorisation du minimum vieillesse et des petites retraites. Rien en revanche sur les débats en cours, tels le projet de loi sur la rétention de sécurité et le mouvement de certains urgentistes.
Au risque de submersion médiatique, cette levée massive d’effectifs socialistes avait fait l'objet –l’air de rien- de plusieurs réunions de coordination dédaignées par les proches de Désirdavenir Royal. Une riposte ‘coordonnée’, ma non troppo ! La stratégie avait été brièvement et sans succès expérimentée pendant la campagne présidentielle où une équipe de "voltigeurs" était chargée de relayer les propositions de la candidate.
Lundi, quelques dirigeants s’étaient retrouvés autour du meneur d’hommes qu’est le premier secrétaire pour "donner le la" de la riposte, des "messages" sont ensuite partis vers les attachés parlementaires et les entourages des "éléphants".
A l'heure où les velléités se multiplient pour prendre la tête du PS, l'initiative avait avant tout pour objectif de recentrer le débat sur François Hollande, qui quittera son poste lors du prochain congrès. "L'idée ce n'était pas de contraindre quiconque mais de lancer la machine. Libre à tout le monde ensuite de se raccrocher. Et on voit que ça marche quand il y a la volonté de quelques uns d'accepter d'être un peu derrière", se félicite un secrétaire national qui a atteint depuis longtemps le seuil d’incompétence.
Une grande partie des attaques socialistes s'est concentrée sur les propos présidentiels contre les 35 heures, mesure emblématique de la "gauche plurielle". Pour le PS, il s'agit d'une "régression sans précédent depuis un siècle". Quiconque voudrait savoir pourquoi ne recevra aucune justification.
"Après avoir défendu la valeur travail, Nicolas Sarkozy s'en prend aux travailleurs et à leurs droits", souligne encore un communiqué commun. Ah ! Et quoi encore ?
Alors que des négociations sont en cours avec les syndicats, "c'est faire preuve d'un cynisme absolu que d'afficher la volonté de revenir de manière délibérée et unilatérale sur la durée légale du travail", a assuré de son côté le président du groupe PS au Sénat, Jean-Pierre Bel. Dommage que pour démontrer le bien-fondé de la mesure socialiste, il ne puisse citer un seul gouvernement socialiste européen, séduit par les 35 heures, qui s’y serait rallié…
Pour Désirdavenir, qui avait pourtant émis des réserves sur les 35 heures pendant la campagne présidentielle, "cela préfigure la fin de la durée légale du travail et met par terre une des principales propositions" de Nicolas Sarkozy, à savoir la défiscalisation des heures supplémentaires. Cette affirmation nécessiterait une petite explication de texte pour ceux que les affirmations d’autorité ne satisfont pas.
‘Si on ne mesure plus le temps de travail, on ne peut plus payer plus les heures sup', affirma l’économiste phare du PS. Depuis certains essaient de savoir où elle a pris que le temps de travail ne serait pas mesurer. Les autres haussent les épaules… Péremptoire, elle prédit : "il va falloir qu'il revoit sa copie sur ce sujet-là". Désespérant! Même les faits ne lui ouvriront pas les yeux.
Le député de Corrèze a du mal à se renouveler et a donc encore prédit un "plan de rigueur" aux Français, que la majorité garderait caché jusqu'aux municipales de mars. En bref, Flamby 1er ‘a parlé pour rien’…
Pour Julien Dray, porte-parole du PS, le chef de l'Etat s'est livré à "un constat d'impuissance" , un "long discours creux" selon les mots de Razzy Hammadi, récemment promu "secrétaire national chargé de la riposte" (on a de l'imagination et on voit ce que ça produit!) et auteur de trois communiqués en trois heures, pas un de moins. On sent qu’ils ont été attentifs : de tels arguments massus ne pouvaient pas être prêts à l'emploi….
Arnaud Montebourg, inspiré, a fait un copié-collé : "Un moulin à paroles" sans aucune mesure concrète, a-t-il répété dans sa déclaration bâclée pour France Info.
Comme elle en a pris l'habitude depuis cet automne, Désirdavenir Royal a choisi quant à elle pour réagir de convoquer la presse dans ses bureaux parisiens personnels, acceptant pour une fois de répondre aux questions après une brève déclaration.
Raillant le président, elle l'a sommé de "passer du discours aux actes", notamment sur la revalorisation du minimum vieillesse et des petites retraites. Rien en revanche sur les débats en cours, tels le projet de loi sur la rétention de sécurité et le mouvement de certains urgentistes.
Au risque de submersion médiatique, cette levée massive d’effectifs socialistes avait fait l'objet –l’air de rien- de plusieurs réunions de coordination dédaignées par les proches de Désirdavenir Royal. Une riposte ‘coordonnée’, ma non troppo ! La stratégie avait été brièvement et sans succès expérimentée pendant la campagne présidentielle où une équipe de "voltigeurs" était chargée de relayer les propositions de la candidate.
Lundi, quelques dirigeants s’étaient retrouvés autour du meneur d’hommes qu’est le premier secrétaire pour "donner le la" de la riposte, des "messages" sont ensuite partis vers les attachés parlementaires et les entourages des "éléphants".
A l'heure où les velléités se multiplient pour prendre la tête du PS, l'initiative avait avant tout pour objectif de recentrer le débat sur François Hollande, qui quittera son poste lors du prochain congrès. "L'idée ce n'était pas de contraindre quiconque mais de lancer la machine. Libre à tout le monde ensuite de se raccrocher. Et on voit que ça marche quand il y a la volonté de quelques uns d'accepter d'être un peu derrière", se félicite un secrétaire national qui a atteint depuis longtemps le seuil d’incompétence.
Une grande partie des attaques socialistes s'est concentrée sur les propos présidentiels contre les 35 heures, mesure emblématique de la "gauche plurielle". Pour le PS, il s'agit d'une "régression sans précédent depuis un siècle". Quiconque voudrait savoir pourquoi ne recevra aucune justification.
"Après avoir défendu la valeur travail, Nicolas Sarkozy s'en prend aux travailleurs et à leurs droits", souligne encore un communiqué commun. Ah ! Et quoi encore ?
Alors que des négociations sont en cours avec les syndicats, "c'est faire preuve d'un cynisme absolu que d'afficher la volonté de revenir de manière délibérée et unilatérale sur la durée légale du travail", a assuré de son côté le président du groupe PS au Sénat, Jean-Pierre Bel. Dommage que pour démontrer le bien-fondé de la mesure socialiste, il ne puisse citer un seul gouvernement socialiste européen, séduit par les 35 heures, qui s’y serait rallié…
Pour Désirdavenir, qui avait pourtant émis des réserves sur les 35 heures pendant la campagne présidentielle, "cela préfigure la fin de la durée légale du travail et met par terre une des principales propositions" de Nicolas Sarkozy, à savoir la défiscalisation des heures supplémentaires. Cette affirmation nécessiterait une petite explication de texte pour ceux que les affirmations d’autorité ne satisfont pas.
‘Si on ne mesure plus le temps de travail, on ne peut plus payer plus les heures sup', affirma l’économiste phare du PS. Depuis certains essaient de savoir où elle a pris que le temps de travail ne serait pas mesurer. Les autres haussent les épaules… Péremptoire, elle prédit : "il va falloir qu'il revoit sa copie sur ce sujet-là". Désespérant! Même les faits ne lui ouvriront pas les yeux.
Pourvu que vous ne vous soyez pas ennuyés à lire cet article autant que moi à l'écrire... N'en finiront-ils donc jamais d'atteindre le fond? Nous avons besoin d'air.
Ils ne méritent pas le Président que nous avons. Ce sont des nuls qui resteront des nuls. Ils sont incapables de la moindre hauteur de vue...le ras des paquerettes c'est leur domaine. Faute de comprendre, ils cherchent à détruire...Que feront-ils si ils sont un jour aux commandes????
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