Assez des entraves !
Trois jours après les propos de Nicolas Sarkozy laissant entendre que 2008 serait l'année de la fin des 35 heures, Xavier Bertrand explique que le gouvernement souhaite "conserver les 35 heures pour le déclenchement des heures supplémentaires".
Cependant, le gouvernement veut "débloquer le carcan" des 35 heures imposées" en supprimant "le caractère contraignant et excessif des lois Aubry", déclare Xavier Bertrand dans un entretien à La Tribune. "Il faut sortir du statu quo actuel", explique le ministre du Travail dans cette interview à paraître vendredi dans le quotidien économique.
La réforme devra aussi envisager "sans aucun tabou la question des contingents et des forfaits qui freinent, dans nombre d'entreprises, le climat économique et le pouvoir d'achat des salariés".
"Nous voulons débloquer, par exemple, les limites fixées aujourd'hui dans les branches aux contingents d'heures supplémentaires ainsi qu'aux forfaits", explique le ministre.
Xavier Bertrand ajoute qu'il n'est "pas question" à ses yeux "d'aller contre l'intérêt des salariés" et "qu'un accord majoritaire ne pourra intervenir que s'il est plus favorable" à ces derniers.
Trois jours après les propos de Nicolas Sarkozy laissant entendre que 2008 serait l'année de la fin des 35 heures, Xavier Bertrand explique que le gouvernement souhaite "conserver les 35 heures pour le déclenchement des heures supplémentaires".
Cependant, le gouvernement veut "débloquer le carcan" des 35 heures imposées" en supprimant "le caractère contraignant et excessif des lois Aubry", déclare Xavier Bertrand dans un entretien à La Tribune. "Il faut sortir du statu quo actuel", explique le ministre du Travail dans cette interview à paraître vendredi dans le quotidien économique.
La réforme devra aussi envisager "sans aucun tabou la question des contingents et des forfaits qui freinent, dans nombre d'entreprises, le climat économique et le pouvoir d'achat des salariés".
"Nous voulons débloquer, par exemple, les limites fixées aujourd'hui dans les branches aux contingents d'heures supplémentaires ainsi qu'aux forfaits", explique le ministre.
Xavier Bertrand ajoute qu'il n'est "pas question" à ses yeux "d'aller contre l'intérêt des salariés" et "qu'un accord majoritaire ne pourra intervenir que s'il est plus favorable" à ces derniers.
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