L' ego d'Hamon ne souffre pas les egos socialistes
C'est bien triste, mais le dirigeant socialiste Benoît Hamon déplore que le PS soit « devenu une addition de ‘je’» et que la gauche "balbutie" face à une politique gouvernementale, dans un entretien paru lundi dans France Soir. "C'est assez paradoxal. Le gouvernement met en oeuvre une politique qui est résolument de droite (...) Et face à cela, on voit une gauche qui balbutie son discours", estime le secrétaire national et député européen. Il ne mentionne pas que cette politique convient aux bénéficiaires socialistes de l’ouverture…
Selon Hamon, observateur acerbe, mais dirigeant impuissant, "le PS traverse une crise identitaire et morale très forte depuis la défaite de mai. Et nous ne sommes très clairement pas sortis de cette période-là".
Le petit dirigeant fait l’aveu de son incapacité à organiser le rassemblement. "Des voix s'élèvent ici ou là pour réagir ou offrir des alternatives, mais de façon totalement désordonnée, ajoute-t-il. Le Parti socialiste ne sait plus dire 'nous'. C'est devenu une addition de ‘je’. Comment pouvons-nous être pris au sérieux lorsque Ségolène Royal, François Hollande ou Bertrand Delanoë disent des choses différentes ? (...)" Plus aucun courant n’est autorisé?
P’tit Benoît (ombre de l’immense Riri Emmanuelli) se livre au énième constat inchangé, copié-collé du précédent : "Le PS est perdu quant à la stratégie qu'il doit suivre. Pour certains, nous avons perdu car nous étions trop à gauche, mais pour d'autres, nous ne l'étions pas assez. Ce débat n'est pas tranché. Tant que cela ne sera pas le cas, les deux mouvances s'exprimeront publiquement. Et le PS continuera à afficher une ligne peu claire, grise".
Le secrétaire national au projet européen juge d'autre part que "c'est une erreur, une faute politique" du PS de ne plus exiger de référendum sur le nouveau traité institutionnel européen, notamment parce que, rêve-t-il, "l'opinion nous soutient totalement sur cette position" qui était jusque-là celle des socialistes. De quelques-uns pour dire vrai ! Ses amis et les Fabiusiens…
"Je regrette que pour certains d'entre nous, la stature présidentielle passe par une stature européenne, et donc l'abandon de nos principes", ajoute Tom Pouce Benoît, dont la stature, avec cette prestation, n’a pas grandi d’un pouce.
Selon Hamon, observateur acerbe, mais dirigeant impuissant, "le PS traverse une crise identitaire et morale très forte depuis la défaite de mai. Et nous ne sommes très clairement pas sortis de cette période-là".
Le petit dirigeant fait l’aveu de son incapacité à organiser le rassemblement. "Des voix s'élèvent ici ou là pour réagir ou offrir des alternatives, mais de façon totalement désordonnée, ajoute-t-il. Le Parti socialiste ne sait plus dire 'nous'. C'est devenu une addition de ‘je’. Comment pouvons-nous être pris au sérieux lorsque Ségolène Royal, François Hollande ou Bertrand Delanoë disent des choses différentes ? (...)" Plus aucun courant n’est autorisé?
P’tit Benoît (ombre de l’immense Riri Emmanuelli) se livre au énième constat inchangé, copié-collé du précédent : "Le PS est perdu quant à la stratégie qu'il doit suivre. Pour certains, nous avons perdu car nous étions trop à gauche, mais pour d'autres, nous ne l'étions pas assez. Ce débat n'est pas tranché. Tant que cela ne sera pas le cas, les deux mouvances s'exprimeront publiquement. Et le PS continuera à afficher une ligne peu claire, grise".
Le secrétaire national au projet européen juge d'autre part que "c'est une erreur, une faute politique" du PS de ne plus exiger de référendum sur le nouveau traité institutionnel européen, notamment parce que, rêve-t-il, "l'opinion nous soutient totalement sur cette position" qui était jusque-là celle des socialistes. De quelques-uns pour dire vrai ! Ses amis et les Fabiusiens…
"Je regrette que pour certains d'entre nous, la stature présidentielle passe par une stature européenne, et donc l'abandon de nos principes", ajoute Tom Pouce Benoît, dont la stature, avec cette prestation, n’a pas grandi d’un pouce.
Moi si j'étais Sarkozy, je ferais un référendum histoire d'achever le PS
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