Allez voir sur le lien indiqué ICI
en temps réel, autant que faire se peut...
Ce qui suit n'a en revanche de valeur que ponctuelle, au moment de 'parution' et ne sera pas actualisé.
Université Lille III
Les étudiants de l'université de lettres et de sciences humaines ont voté mardi 6 novembre le blocage sélectif de l'établissement lors d'une assemblée générale qui a rassemblé jusqu'à 1 200 personnes, d'après un membre du syndicat Sud étudiant. Ils ont également décidé de manifester jeudi. La prochaine assemblée générale aura lieu le lundi 12 novembre. Les anti-blocage pourront-ils s’exprimer ?
Universite Paris 1 Pantheon- Sorbonne - site Pierre Mendès France
La police a évacué mercredi 7 novembre, après 22 heures environ 75 étudiants qui occupaient les locaux de Paris I situés rue de Tolbiac, dans le XIIIème arrondissement, a-t-on appris auprès de la police et des syndicats étudiants. Les grévistes s'étaient installés après un vote en ce sens d'une assemblée générale réunissant plus de 1 000 étudiants dans l'après-midi. Les étudiants ont adopté le principe de leur participation à la manifestation parisienne, jeudi à 15 heures, à la Bastille.
Le centre Tolbiac rouvrira vendredi 9 novembre, date d'une nouvelle assemblée générale.Les anti-blocage ont-ils pu s’exprimer ?
Université Paris IV Sorbonne
Le centre Clignancourt de l'université Paris 4 est actuellement bloqué après un vote mercredi 7 novembre, selon le syndicat Unef. La prochaine assemblée générale aura lieu lundi 12 novembre.Les anti-blocage pourront-ils s’exprimer ?
Université de lettres et sciences humaines de Nantes
Une assemblée houleuse de 1 300 étudiants ont voté la reconduction jusqu'à mardi 13 novembre du blocus entamé mercredi de la faculté de Lettres et Sciences humaines de l'université de Nantes, a annoncé l'Unef à la presse. Les journalistes ont été exclus de la réunion.De nombreux étudiants ont quitté l'AG une heure plus tard, après un déclenchement de l'alarme incendie. "C'est une mascarade, ils font durer les débats, ceux qui restent ne sont pas représentatifs des étudiants", a affirmé une étudiante du Centre international des langues (CIL) qui a préféré quitter la salle avec deux camarades.Ils ont également décidé de manifester à partir de 15 heures devant la présidence de l'université pour réclamer le droit de maintenir leur blocus durant la nuit, selon la même source.Quelque 200 étudiants, qui avaient tenté de rester dans les bâtiments mercredi soir, ont été délogés par la police à la demande du président de l'université de Nantes Yves Lecointe, qui s'oppose à toute occupation de nuit des locaux.Le président a aussi décidé la suspension de la plupart des cours de jeudi et vendredi dans les bâtiments bloqués par les étudiants.
Université Aix-Marseille 1
Les étudiants de l'UFR de lettres et sciences humaines de l'université Aix-Marseille I ont voté le blocage des locaux mercredi 7 novembre. De source syndicale, le mouvement doit durer au moins jusqu'à la prochaine assemblée générale, prévue vendredi 9 novembre à 12H30. Les anti-blocage ont-ils pu s’exprimer ? Une manifestation était en outre prévue jeudi en début d'après-midi au départ de la faculté de lettres.
Université François Rabelais-Tours
A l'université des Tanneurs de Tours, le blocage a été voté mardi 6 novembre par l'UFR de Lettres jusqu'à lundi 12 novembre, date d'une nouvelle assemblée générale. Entre 400 et 450 étudiants ont manifesté mercredi 7 dans les rues de la ville contre la loi dite Pécresse. ECOUTER le président d'université: LIRE PaSiDupes (libellé 'Lussault M.').
Université de Haute-Bretagne - Rennes II
Les étudiants ont voté à mains levées mercredi 7 novembre la poursuite pendant une semaine du blocage des cours. En revanche, le vote à bulletin secret, prévu jeudi 8 novembre, a été reporté à lundi 12 novembre, a indiqué la présidence de l'univercité. Jusqu'à cette date, les locaux resteront fermés. Près de 1 500 étudiants des deux universités de Rennes selon la police, 3 000 selon les syndicats (!) ont manifesté jeudi après-midi.
Plusieurs centaines ont bloqué la gare SNCF, obligeant une suspension du trafic ferroviaire. La circulation des trains devrait être perturbée toute la soirée, a indiqué la SNCF.Une coordination nationale étudiante, réunissant des représentants élus en AG, doit définir ce week-end à Rennes les suites à donner au mouvement: appel à la participation des journées du 14 novembre (cheminots) et du 20 novembre (fonctionnaires), avec probablement une journée de manifestations spécifiques étudiantes.
Université de Perpignan
Commencée discrètement il y a une semaine, l'occupation des locaux de la faculté a été reconduite pour sept jours lors d'une assemblée générale, mercredi 7 novembre. A la suite du vote (à main levée?), le président de l'université a décidé la suspension des cours et travaux pratiques, tout en précisant qu'il ne s'agissait "en aucun cas d'une fermeture administrative de l'université". Le campus reste donc ouvert mais la situation évoluera en fonction des événements, sur le plan local comme national. Un millier de grévistes selon les organisateurs, cinq cents selon la police, manifestaient dans le centre de la ville jeudi après-midi.
Université Rennes I
Les étudiants de l'université rennaise de droit et de sciences ont voté l'organisation, mercredi 7 et jeudi 8 novembre, de "barrages filtrants", ralentissant l'accès des étudiants aux cours pour leur distribuer des tracts, a indiqué l'Unef. Une manifestation était prévue jeudi en collaboration avec la faculté de lettres de Rennes II.
Université de Rouen
Le blocage de la faculté de lettres, psychologie et sociologie, débutée le 30 octobre, a été reconduite et étendue à celle de sciences, mercredi 7 novembre, d'après l'Unef. De 500 personnes selon la police, à 700 selon les organisateurs, ont manifesté jeudi après-midi dans les rues de Rouen à l'appel de l'Unef, et aussi -mais à quel titre?- de Sud, de la FSU et de la CGT.
Université des Sciences et Technologies - Lille I
Des étudiants de Lille I (Sciences et technologies) ont voté mercredi 7 novembre le blocage de cette université comme d'autres l'avaient fait mardi pour celle de Lille III (Lettres et sciences humaines). Les étudiants des deux universités ont également décidé de manifester jeudi 8 novembre.
Université Toulouse-Le Mirail - Toulouse II
Débuté mardi 6 novembre, la poursuite du blocage de l'université de Toulouse-II a été votée à une large majorité lors d'une assemblée générale de plus de 1 500 personnes, jeudi 8 novembre. Pour assurer la jonction..., la grêve est reconduite jusqu'à ...mardi 13 novembre, date de la prochaine assemblée générale. Les anti-blocage pourront-ils s’exprimer ? Les personnels enseignants et non enseignants de l'université du Mirail, réunis également en assemblée générale ont affirmé "leur convergence avec la lutte et les revendications des étudiants contre la loi Pécresse et la régression sociale". On comprend tout. Les petites facs (?) craignent pour leur avenir...
En revanche, de nombreux étudiants opposés à ce mouvement ont lancé une pétition par mail et appelé à "un grand sitting pacifique" (sit-in?) pour protester contre le blocage de la faculté.De son côté, le président de cette faculté, Daniel Filtre, s'est dit opposé à ce blocage et indiqué qu'il pourrait décider une fermeture administrative provisoire. Quelque 1 500 manifestants selon les organisateurs (1 200 selon la police) ont défilé jeudi après-midi dans les rues de Toulouse.Les étudiants ont également décidé de participer aux manifestations organisées par les syndicats en novembre.
Université de Nanterre
Des barrages filtrants ont été mis en place jeudi 8 novembre pour distribuer des tracts aux étudiants. Une assemblée générale de 1 000 étudiants ont voté le blocage de l'université Paris X à partir de vendredi. Tous les étudiants ont-ils pu s’exprimer librement?
Université de Caen
Le bâtiment des lettres est bloqué depuis mardi 6 novembre soir par des étudiants, empêchant la tenue des cours mercredi, selon la direction. La faculté des sciences est également inaccessible depuis jeudi, après un vote en assemblée générale, en l'absence de journalistes, interdits d'AG. Une manifestation en ville l'après-midi a rassemblé 480 personnes, selon la police, 600 selon les étudiants.
Sorbonne
Le trafic des grandes lignes (Eurostar, Thalys, TGV) et de deux lignes transiliennes a été interrompu le soir du jeudi 8 novembre pendant plus d'une heure entre 19 H 30 et 20 H30, après l'occupation de voies de la gare du Nord à Paris par près de deux cents étudiants grévistes, a-t-on appris auprès de la SNCF. Les manifestants avaient quitté la Sorbonne vers 18 heures.Site des universités de Paris I, III, IV, V, la Sorbonne avait été évacuée par les forces de l'ordre dans la nuit de mardi 7 et mercredi 8 novembre, d'après la préfecture de police. Le bâtiment historique était occupé depuis la fin d'après-midi par des étudiants en grêve.
Université Paul Sabatier - Toulouse III
Faute d'une participation suffisante aux assemblées générales, quelque 150 étudiants ont décidé de se donner une semaine pour convaincre les autres étudiants de suivre le mouvement de blocage, d'après l'Unef. Une nouvelle assemblée générale sera organisée, mardi 13 novembre, où le blocage de la faculté sera soumis au vote. De tous?
Université de Bretagne Sud
Une assemblée générale d'étudiants de l'université de Lorient a voté l'organisation de barrages filtrants jeudi 8 novembre, ce qui signifie que les étudiants ne pourront rentrer qu'au compte-goutte, après la distribution de tracts. L'AG a réuni 200 personnes, selon l'Unef.
Université Montpellier II
Des étudiants de l'université de sciences et techniques ont voté jeudi 8 novembre lors d'une assemblée générale qui a réuni plusieurs centaines de personnes, le blocage du site à partir de vendredi, a-t-on appris auprès d'un membre du comité de mobilisation. Une nouvelle AG devrait avoir lieu vendredi, afin de continuer à informer (objectivement et complètement?) les étudiants sur la loi sur l'autonomie des universités, selon la même source.
Université Lumière - Lyon II
Des étudiants de l'université Lyon 2 ont voté jeudi 8 novembre lors d'une assemblée générale qui a réuni 500 personnes (voyez la sérénité...) , le blocage de l'établissement jusqu'au lundi 12 novembre, date d'une nouvelle AG. Les anti-blocage pourront-ils s’exprimer ? Ce vote a eu lieu au terme d'une assemblée générale assez confuse, les étudiants présents (500 sur les 28 000 que compte l'université Lyon 2), étant partagés sur la décision de bloquer les locaux dès lundi, ou d'attendre une autre assemblée générale la semaine prochaine pour réunir davantage d'étudiants.Les étudiants ont également voté la participation aux manifestations du 14 et du 20 novembre. Politique, ce blocage? Allons donc? Pourquoi dites-vous ça?...
Université Marc Bloch Sciences Humaines Strasbourg 2
Une assemblée générale est prévue le jeudi 8 novembre à 12 H 30 pour décider d'un blocage ou non de l'université de sciences humaines.
Université Pierre et Marie Curie
Une assemblée générale était organisée à l'université Paris VI, jeudi 8 novembre, pour préparer une première journée de manifestations.
Université de Bourgogne
L'université de Dijon organisait une assemblée générale, jeudi 8 novembre, pour décider de la conduite du mouvement sur le campus et organiser une éventuelle première journée de manifestations.
Université Bordeaux I
Faute de participation suffisante à l'assemblée générale de l'université de sciences et technologies, mercredi 7 novembre, de nouvelles AG seront organisées la semaine prochaine.
Université Paul Valéry Montpellier 3 Arts Lettres Langues Sciences Humaines et Sociales
Les étudiants de la faculté de lettres se sont réunis jeudi en assemblée générale unitaire, avec des représentants du personnel administratif notamment, a-t-on appris de source syndicale étudiante.Outre la loi sur l'autonomie, ont été notamment évoqués le désengagement de l'Etat dans l'enseignement supérieur et la précarité étudiante. Le principe d'une participation à la journée d'action du 20 novembre des fonctionnaires a été voté, selon la même source. Qui parle de blocage politique?
Université de Grenoble
Environ 500 étudiants de sciences sociales deGrenoble/Saint-Martin d'Hères, réunis en assemblée générale jeudi 8 novembre ont voté à main levée la grève immédiate. Elle sera assortie de la mise en place de barrages filtrants devant les bâtiments, mais il n'est pas question, pour l'instant, d'un blocage total, ont décidé les étudiants au cours de cette AG. Ce qui suit ne nous rassure pas sur l'aspect apolitique prétendu. "L'université sera uniquement bloquée les 14 novembre, 20 et 29 novembre, journées prévues pour des manifestations nationales dans les transports et à EDF-GDF, puis dans le cadre des grèves dans la fonction publique et dans la magistrature", a précisé l'un des participants qui a désiré garder l'anonymat. Une nouvelle assemblée générale doit avoir lieu mardi 13 novembre sur le campus. Le magistrat PS et président du CG, un certain André Vallini, est-il au courant? Imaginez qu'il ne le soit pas...
Université de Pau
Plus d'un millier d'étudiants du campus de Pau ont voté jeudi 8 novembre en assemblée générale la grève et le blocage de l'université, qui accueille les UFR de Droit, Sciences et Lettres, jusqu'à la prochaine assemblée générale qui se tiendra lundi 12 novembre, a-t-on appris de source syndicale étudiante. Les anti-blocage pourront-ils s’exprimer ?
Université Paris 8 Vincennes - Saint Denis
Mardi 6 novembre, une assemblée générale, réunissant près de cinq cents étudiants ont voté le blocage de Paris 8. Les anti-blocage ont-ils pu s’exprimer ?L'université était toujours bloquée jeudi 8 novembre, d'après l'Unef, qui peine à suivre.
Pour avoir connaissance des facs libres ou libérés, nous insistons pour que vous consultiez les liens fournis.
Bon courage...
Bon courage...
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