
"Les raisons de sa présence n'ont aucune signification particulière. Elle intervient, comme l'an passé, en qualité d'hôte au titre de présidente de la Région Poitou-Charentes", a expliqué Bernard Cassen, jeudi.
Bernard Cassen est un cumulard de bientôt 70 ans, né en 1937, journaliste et directeur

Pourquoi le président d’honneur ? Parce que Attac est menacée de paralysie, voire d'"éclatement", par le porte-parole de Solidaires, Pierre Khalfa, et l'économiste Susan George, selon certains de ses membres, après la fronde d'opposants à l'actuelle direction (de Jacques Nikonoff) qui ont dénoncé, en juin 2006 à Rennes, des "anomalies" lors de l'élection du conseil d'administration…
Jacques Nikonoff, homme lige du PCF, a été directeur -apolitique!- de séminaire à l’ENA

Cassen est donc le bouche-trou, le cache misère de service. ‘Raisons de sa présence sans aucune signification’, dit-il ? Encore de l’intox, sauf s’il veut dire que la présence de Royal n’a aucun sens !
Le substitut Cassen du président contesté Nikonoff, comme la Maréchale…, a essayé de justifier ce choix de Poitiers. "Nous allons dans les villes où nos membres sont suffisamment nombreux pour assurer la logistique. Ensuite nous sollicitons une aide financière auprès de la région qui nous reçoit. Ce qui n'a jamais posé de problème jusqu'à maintenant". Ainsi, les électeurs de Madame Royal –mais aussi et surtout les autres– subventionnent Attac. Bernard Cassen sait parfaitement où le bât blesse et que les contribuables locaux sont bien loin

Royal fait beaucoup de mécontents que les médias ne rencontre jamais…
La Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue a donc préféré ATTAC au MJS (Mouvement des Jeunes Socialistes) qu’elle méprise royalement : elle a réussi à tomber d’accord avec ATTAC, mais ne s’est pas entendue avec les jeunes socialistes…
Par quel hasard les universités d’été du PS et d’ATTAC ont-elles lieu chez Royal? Quelle est la part des énormes frais payée par les contribuables pour la seule gloire de la potiche socialiste ?
Madame Royale parviendra-t-elle à convaincre les contribuables de Poitou-Charentes que l’augmentation de leurs impôts régionaux est imputable au gouvernement ?
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