PS- Rififi communautariste dans les fédérations.
La totalitarisme est en marche au parti socialiste !
Les fabiusiens, qui estiment être mal traités par la direction du PS, critiquent l'organisation du scrutin destiné à départager les candidats à l'investiture socialiste. La direction du Parti socialiste ne veut pas de la candidature locale aux législatives dans la 4e circonscription des Pyrénées-Orientales. Pierre Aylagas, maire d'Argelès-sur-Mer, qui fêtait ses 64 ans le 24 juillet, déclare:«Je suis un militant vexé.» Pour succéder à Henri Sicre, qui ne se représente pas, au nom du renouvellement générationnel, François Hollande souhaite y investir Olivier Ferrand, 36 ans, jusqu'ici élu à Paris et proche de Dominique Strauss-Kahn, qui accompagnait Flamby 1er au Maroc en juillet. Aylagas n'a pas de mots assez durs pour «l'usurpateur», désigné «arbitrairement par nos amis parisiens» qui «cherchent à nous punir parce que nous avons dit non à la Constitution européenne et que nous soutenons massivement Laurent Fabius»; ils «nous envoient un parachuté pour nous rééduquer». On croirait entendre PaSiDupes !
Et la tension fait également rage à Paris. Claude Bartolone, le lieutenant de Fabius, a écrit au premier secrétaire François Hollande. Objet du litige : l'inscription sur les listes électorales des nouveaux militants qui ont adhéré sur Internet pour la somme modique de 20 euros. En clair, les fabiusiens redoutent que cette opération ne soit une machine de guerre pour faire entrer au PS des partisans de la Maréchale Marie-sEGOène Royal, dont on reconnaît bien là les méthodes. Les fabiusiens soupçonnent la direction de vouloir ainsi les faire échapper au dernier contrôle possible par les appareils locaux : la présentation obligatoire en section. Les démocrates de la direction démentent ! Au final, les fabiusiens font savoir que si le scrutin n'était pas loyal, ils pourraient alors reprendre leur liberté.
Exemple d’hostilités ouvertes à Paris.
Dans l'est parisien, Sophia Chikirou (27 ans, d'origine kabyle, gauche) n’a pas la liberté de se présenter aux législatives dans le XXe arrondissement (21e circonscription) de la capitale face à la candidate imposée par la direction démocrate du PS, parce que cette jeune femme est une proche de Laurent Fabius. On est toujours un proche de quelqu’un au PS où le mandarinat est la règle. Encore faut-il être proche du bon mandarin dominant…
Or, après deux mois d'un feuilleton émaillé de rebondissements, le BN (Bureau national) du PS a décidé d’imposer la candidature de George Pau-Langevin (gauche), ex-présidente du MRAP, proche du maire de Paris, Bertrand Delanoë. Cette avocate de 58 ans sera en métropole la seule candidate PS originaire de l'outre-mer, et la seule candidate noire de ce parti, avec Safia Otokoré (photo de droite) dans les Yvelines, mais (ex-) vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne: parachutage promotionnel pour cette bourguignonne originaire de Somalie. Telle est sa principale qualité !
Notons le prénom masculin (George -sans -s, à l'anglo-saxonne) de cette militante sexiste qui représente le lobby et le communautarisme antillais à Paris.
Député sortant, maire du XXe, Michel Charzat (courant Fabius) avait accepté, au nom de la parité, de céder la place à une femme, en échange d'un engagement de F. Hollande d'organiser un vote militant sur le choix de la candidate. Il soutenait la candidature de son assistante parlementaire (une proche, très proche?), Sophia Chikirou, l'une des "équipières" de Laurent Fabius en campagne pour l'investiture présidentielle.
Critères de désignation :
1- être un(e) -très*- proche d’un cacique
2- être une femme
3-être de couleur
4- pratiquer la religion en pointe
Remarque politiquement incorrecte, au passage : la discrimination contre les hommes –par ailleurs, mais qui en parle?– s’installe doucement, subrepticement, dans ce pays, avec la participation active de la gauche idéologue à tout prix. Elle est vraiment impayable !
"Une consultation" par vote des adhérents du PS dans la 21e sera certes organisée. Mais "son statut n'est pas clairement fixé", selon le soupçonneux premier secrétaire fédéral Patrick Bloche, de sorte qu'on ignore ce qui se passerait si la candidature de Mme Pau-Langevin n'était pas avalisée.
Etude d’un cas de forcing démocratique au programme des établissements scolaires contrôlés par la FSU…
Le problème, c’est que ce conflit entre sensibilités a dégénéré en polémique sur la position "communautariste", selon les fabiusiens, de G. Pau-Langevin. "Il faut aussi des Noirs vivant en métropole à l'Assemblée", avait-elle déclaré à la presse, heurtant les tenants d'une laïcité sans concession, pour qui compte "ce qui rassemble et non ce qui différencie les citoyens en fonction de leur origine ou couleur de peau".
On n’est pas à la télé, où TF1 n’a pas ce type de préoccupation philosophique. Quelles seront les conséquences ? Le charmant Harry Roselmack incarne-t-il précisément ce qui rassemble, ou ce qui différencie les citoyens en fonction de leur origine ou couleur de peau ?
Que ne fait-on actuellement au nom de la diversité et de la discrimination positive ?
Quoiqu’on l’appelle -à dessein- ‘positive’, toute discrimination EST négative. Une discrimination est négative par essence. Il faut la gauche et les médias pour détourner la valeur des mots, donc des notions, et fausser le jugement des Français. Qu’ils prennent bien garde que les électeurs Français ne soient pas plus perspicaces que les idéologues fous de gauche ne croient. Se laisseront-ils berner?
Nous verrons à l’usage si le présentateur télé est seulement noir et si les électeurs du XX° arrondissement votent en fonction de l’origine et de la couleur de peau de la candidate. En un mot, si Flamby 1er et sa candidate et favorite, la Maréchale-Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue, pour les législatives, sont en train de ré-éditer adroitement, le scénario des dernières présidentielles qui a privé les socialistes de 2° tour, un certain 21 avril…
Le QI du tandem Royal-Hollande nous épatera toujours ! Quant à la presse qui pense, comme eux et avec eux, faire évoluer les mentalités, elle joue un jeu dangereux qui stimule les extrêmes, et pas toujours les extrêmistes que, par son militantisme borgne, elle appelle de ses vœux. L’histoire se renouvelle, grâce à ceux-là !
*Réponse à un commentaire concernant le côté 'crapoteux' de ce 'très proche', ci-dessus: nous admettons que votre réaction puisse être légitime et pourtant, il s'agissait simplement pour nous, dans ce cas, et dans d'autres possiblement, de pointer cette nécessité absolue d'être connu(e), de travailler pour, etc... (pareillement, 'etc...' ne doit pas être chargé de plus de sens qu'il n'en a...) un éléphant de la politique (ou de l'entreprise...) pour pouvoir accéder à des responsabilités et des candidatures . Approcher et graviter autour d'un(e) de ces dinosaures permet souvent d'obtenir plus sûrement la préférence sur un(e) autre qui posséderait des qualités au moins égales. A notre connaissance, Sophia Chikirou ne s'exhibe pas partout, habillée ou en bikini, avec et sans enfants (cf. Match 2988) et ne provoque ni clin d'oeil complice, ni commentaire graveleux. Malgré une fréquente indignation ou irritation, PaSiDupes évite, autant que faire se peut, le grossier ou le licencieux.
Merci de la modération de votre témoignage, qui est publié pour effacer toute ambiguité éventuelle.
Bien vue la synthèse.
RépondreSupprimerJuste une remarque... Pourquoi, dès lors qu'un homme (Charzat en l'occurrence) soutient une jeune femme (Chikirou), on sous-entend qu'ils coucheraient ensemble ?!
Sur le principe, ça me trouble, mais en l'espèce, ça me fait marrer. Il se trouve que Sophia Chikirou et moi avons des amis communs et que le hasard m'a par ailleurs fait dîner avec un employé de la mairie du XX°. J'ai donc, pas très fier de moi, essayé d'en savoir plus sur cette rumeur crapoteuse. Ben nada, nitchevo, nichts, que dalle ! Les rumeurs sont bien connues à la Mairie où elles ont été initiées par une élue qui se voyait bien succéder à Charzat. Jalousie donc. Côté Chikirou, ses potes se marrent bien : elle a un mec et suffisamment de confidentes pour que le soupçon fasse chou blanc. Il paraît en tout cas que cette histoire l'a gavée et que nombre de commentateurs aiment bien ce (proche très proche, même ?!) dont la ponctuation sent un peu fort.
En fan de ton blog dont je partage souvent les points de vue, je souhaiterais que tu sois une fois de plus en marge et zappe ce genre de sous-entendus bas du slip (je ne te cache pas mon honte quand j'ai mené cette sordide enquête et entendu ce que je relate, donc je compatis !)
Pour le reste, lâche pas l'affaire !
Bernard