Ils maîtrisent… mais le sort s’acharne !
A les entendre, ils ont toutes les excuses. Cependant, si le rôle des dirigeants consistait en France à prévoir une organisation et un calendrier adaptés aux échéances et à recruter des préparateurs physiques compétents, que le sort aurait sans doute moins de prise sur l’équipe de France.
Franck Chevallier, le Directeur Technique National de la Fédération française d'athlétisme déclare : "Mais nous avons été poursuivis par une telle poisse, tout au long de la semaine, qu'il est finalement très méritoire d'avoir réussi à monter huit fois sur le podium. Les circonstances nous ont été, objectivement, très défavorables. Malgré cela, nous ramenons une médaille de plus qu'en 2002 à Munich."
De quelles circonstances s’agit-il ? Pourquoi ne dispose-t-il pas d’un marabout personnel ?
Bernard Amsalem, président de la Fédération française d'athlétisme, a livré ses impressions sur le parcours des Bleus: "Il y a eu de nombreuses blessures", a-t-il expliqué. "C'est quelque chose qui nous interroge (après coup…) et il va falloir regarder ça avec le corps médical pour voir ce qui se passe réellement."
Les deux font la paire. Et toujours aucune auto-critique ! Ni responsables, ni coupables…
Ils ont pourtant des athlètes que la poisse a épargnés...
Marc Raquil (ci-dessus)
Relais 4x400 (à gauche)
Ils ont réussi malgré leurs dirigeants...
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