Carole Bouquet, Guy Bedos s’affichent dans leurs meilleurs rôles rue de la Banque
Plusieurs personnalités ont apporté un peu de rêve aux mal-logés de Jean-Baptiste Eyrault. Les femmes africaines se sont-elles reconnues en Carole Bouquet, se sont-elles identifiées à Guy Bedos, c’est une autre histoire. L'actrice Carole Bouquet, l'humoriste Guy Bedos ou encore l'écrivain Dan Franck sont venus faire un passage dimanche 20 octobre, rue de la Banque, et ont apporté leur soutien aux familles ‘sans logis’ selon une agence française bien informée, alors qu’ils s’agit de 'mal-logés', qui campent depuis le 3 octobre rue de la Banque à Paris (IIe).
Le maître de cérémonie, porte-parole de Droit au logement (DAL), Jean-Baptiste Eyrault, qui appelait à ce rassemblement de soutien, a expliqué que "malgré le froid, cette nuit il y avait 180 mères de famille qui dormaient" dans cette rue proche de la Bourse, rappelant qu'elles comptaient y rester "tant qu'elles n'auraient pas de solution de relogement". D’autres témoignages en ont constaté une cinquantaine…
"Ces mères ont des papiers, un travail et font tourner l'économie", a affirmé JB. Eyrault.
L'une des ces 'mamans' a expliqué en avoir "marre d'être logée dans des chambres de 8 m2 dans des hôtels". Confirmation que cette ‘maman’ n’est pas sans-logis, mais n’est pas logée à sa convenance.
Carole Bouquet –marchande de vins notoire– a exprimé son soutien à ces "victimes de ‘marchands de sommeil’" et mis en cause l'attitude de la ministre du Logement Christine Boutin : "Je sais bien qu'on ne peut pas trouver de solution en claquant des doigts mais au moins on se déplace". Madame Boutin, ne vous en faites pas, ‘Vous la valez bien’!
"L'humain est bafoué ici aujourd'hui", a renchéri le dessinateur Enki Bilal alors que l'ancien évêque d'Evreux, Mgr Jacques Gaillot, confiait sa "honte" devant une telle situation.
Dan Franck a réclamé "une réponse politique pour ceux qui attendent l'hiver avec crainte" alors que résonnaient autour de lui des cris en faveur d'une "application de la loi sur les réquisitions" de logements. Carole Bouquet ne s'est pas attardée...
Le gaulliste et toujours ambassadeur de 90 ans, Stéphane Hessel, s'est dit "choqué" par "l'aspect raciste" (sic) de cette situation car la majorité des personnes qui campent sont noires! Avec le respect qui vous est dû, Mr l’Ambassadeur, n’avez-vous pas remarqué que d’une part les campeuses ont par ailleurs un logis, que d’autre part les campeuses noires ont choisi de manifester dans la rue tandis que les femmes d’autres origines font face dignement et s’occupent de leur enfants, et qu’enfin les autres sans-logis ne revendiquent aucune priorité. N’avez-vous pas remarqué cela, en passant dans le quartier ou bien le faites-vous exprès, vous qui avez été membre de la Commission nationale consultative des droits de l'homme, ainsi que du Haut Conseil de la coopération internationale? C'est impensable, mais l'émotion et l'effet d'entraînement, n'est-ce pas...
Plusieurs personnalités ont apporté un peu de rêve aux mal-logés de Jean-Baptiste Eyrault. Les femmes africaines se sont-elles reconnues en Carole Bouquet, se sont-elles identifiées à Guy Bedos, c’est une autre histoire. L'actrice Carole Bouquet, l'humoriste Guy Bedos ou encore l'écrivain Dan Franck sont venus faire un passage dimanche 20 octobre, rue de la Banque, et ont apporté leur soutien aux familles ‘sans logis’ selon une agence française bien informée, alors qu’ils s’agit de 'mal-logés', qui campent depuis le 3 octobre rue de la Banque à Paris (IIe).
Le maître de cérémonie, porte-parole de Droit au logement (DAL), Jean-Baptiste Eyrault, qui appelait à ce rassemblement de soutien, a expliqué que "malgré le froid, cette nuit il y avait 180 mères de famille qui dormaient" dans cette rue proche de la Bourse, rappelant qu'elles comptaient y rester "tant qu'elles n'auraient pas de solution de relogement". D’autres témoignages en ont constaté une cinquantaine…
"Ces mères ont des papiers, un travail et font tourner l'économie", a affirmé JB. Eyrault.
L'une des ces 'mamans' a expliqué en avoir "marre d'être logée dans des chambres de 8 m2 dans des hôtels". Confirmation que cette ‘maman’ n’est pas sans-logis, mais n’est pas logée à sa convenance.
Carole Bouquet –marchande de vins notoire– a exprimé son soutien à ces "victimes de ‘marchands de sommeil’" et mis en cause l'attitude de la ministre du Logement Christine Boutin : "Je sais bien qu'on ne peut pas trouver de solution en claquant des doigts mais au moins on se déplace". Madame Boutin, ne vous en faites pas, ‘Vous la valez bien’!
"L'humain est bafoué ici aujourd'hui", a renchéri le dessinateur Enki Bilal alors que l'ancien évêque d'Evreux, Mgr Jacques Gaillot, confiait sa "honte" devant une telle situation.
Dan Franck a réclamé "une réponse politique pour ceux qui attendent l'hiver avec crainte" alors que résonnaient autour de lui des cris en faveur d'une "application de la loi sur les réquisitions" de logements. Carole Bouquet ne s'est pas attardée...
Le gaulliste et toujours ambassadeur de 90 ans, Stéphane Hessel, s'est dit "choqué" par "l'aspect raciste" (sic) de cette situation car la majorité des personnes qui campent sont noires! Avec le respect qui vous est dû, Mr l’Ambassadeur, n’avez-vous pas remarqué que d’une part les campeuses ont par ailleurs un logis, que d’autre part les campeuses noires ont choisi de manifester dans la rue tandis que les femmes d’autres origines font face dignement et s’occupent de leur enfants, et qu’enfin les autres sans-logis ne revendiquent aucune priorité. N’avez-vous pas remarqué cela, en passant dans le quartier ou bien le faites-vous exprès, vous qui avez été membre de la Commission nationale consultative des droits de l'homme, ainsi que du Haut Conseil de la coopération internationale? C'est impensable, mais l'émotion et l'effet d'entraînement, n'est-ce pas...
DAL avait prévu d'organiser mardi soir 30 octobre une "nuit de la solidarité" –spontanée-, appelant les citoyens à venir dormir auprès des mal-logés de la rue de la Banque. Festif, DAL ? Carole Bouquet, sicilienne née à Neuilly-sur-Seine d’un père centralien envoyée, adolescente, chez les Dominicaines, icône de la mode et égérie Chanel, a des excuses à sa décharge. C’était une proche du Pr Léon Schwartzenberg qui s'était engagé auprès des « sans-papiers » et des mal-logés. Jusqu'en 2001, il défilait régulièrement avec le lobby extrémiste Droit au logement. Elle participe donc au rassemblement de Jean-Baptiste Eyrault. Festif et indécent, quand, le coup de pub assuré à défaut d’actualité artistique à promouvoir, on peut retrouver son Château douillet en Sicile en sur l'île de Pantelleria… Festif, puisque probablement arrosé de Sangue d'Oro, le vin qu’elle produit maintenant dans son propre chai … Les ‘mamans’ africaine pourront lui préférer la très confidentielle cuvée du Château La Croix-de-Peyrolie qui provient de Lussac, une des appellations « satellites » de Saint-Émilion , fruit de la collaboration entre l’actrice Carole Bouquet et Bernard Magrez – multi-propriétaire à Bordeaux. Ne lui demandez pas quelle est la surface habitable totale de ses demeures, les ‘mamans’ pourraient avoir tout è coup des goûts de luxe. Et revendiquer un partage ? Et qui a dit de Bouquet Carole : ‘Lorsque la franchise sert de tremplin à la bêtise, on se surprend à regretter l'hypocrisie? Bedos Guy.
A son côté, Guy Bedos, que peu de ‘mamans’ africaines avaient remarqué tellement il est petit, n’est pas venu ouvrir aux africaines son modeste domicile à Neuilly où il passe l'hiver, ni sa pauvre propriété dans le Lubéron où il passe l'été. Non ! Il s'est interrogé plus abstraitement sur la situation des mal-logés, mais aussi plus finement que Mlle Bouquet-Chanel, bien que confondant aussi ‘mal-logé’ et ‘sans-logis’: "Est-ce qu'on peut décemment passer dans la rue, voir cela et ensuite rentrer chez soi ?", fustigeant l'inertie des "politiques de gauche comme de droite", avant de s'en retourner à Neuilly. Et toc pour la sectaire Carole Bouquet, vigneronne BCBG, icône de la société de consommation, égérie de la globalisation, sans emploi, mais pas trop mal-logée.
Citation de l’humoriste intelligent : ‘On peut aimer le caviar et avoir envie d'une blanquette de veau.’ Caprice exaucé !
A son côté, Guy Bedos, que peu de ‘mamans’ africaines avaient remarqué tellement il est petit, n’est pas venu ouvrir aux africaines son modeste domicile à Neuilly où il passe l'hiver, ni sa pauvre propriété dans le Lubéron où il passe l'été. Non ! Il s'est interrogé plus abstraitement sur la situation des mal-logés, mais aussi plus finement que Mlle Bouquet-Chanel, bien que confondant aussi ‘mal-logé’ et ‘sans-logis’: "Est-ce qu'on peut décemment passer dans la rue, voir cela et ensuite rentrer chez soi ?", fustigeant l'inertie des "politiques de gauche comme de droite", avant de s'en retourner à Neuilly. Et toc pour la sectaire Carole Bouquet, vigneronne BCBG, icône de la société de consommation, égérie de la globalisation, sans emploi, mais pas trop mal-logée.
Citation de l’humoriste intelligent : ‘On peut aimer le caviar et avoir envie d'une blanquette de veau.’ Caprice exaucé !
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