Besancenot soutient les mal-logés rue de la Banque
Le porte-parole de la LCR, le trotskiste Olivier Besancenot, a participé samedi 27 octobre après-midi à un rassemblement de soutien aux mal-logés installés depuis trois semaines rue de la Banque à Paris 2ème.
Il s’est beaucoup exprimé devant les caméras.
"Je suis venu pour soutenir les familles installées ici depuis trop longtemps et qui se heurtent à un mur de la part du gouvernement et des pouvoirs publics", a-t-il déclaré.
"C'est un appel au rassemblement le plus large et le plus unitaire", a ajouté Olivier Besancenot.
Il a poursuivi avec : "On continuera à être présents. La seule contrepartie efficace (aux évacuations) ce sera la présence militante permanente comme les associations Droit au logement". Cautionnement trotskiste assez explicite ?
Olivier Besancenot a encore souligné : "Pour la première fois, toutes les associations droit au logement sont rassemblées DAL, Comité action logement (CAL), CDSL, jusqu'aux Enfants de Don Quichotte". Toutes? Le Cimade, par exemple, va apprécier... Et Emmaüs? La LCR ne connaît pas? Toutes, donc!
Pourtant, moins d'une centaine de personnes a participé à cette manifestation, avec appels à la "solidarité avec les mal logés" devant la cinquantaine de tentes dressées sur le trottoir et occupées par une trentaine de familles en majorité africaines, au pied de l'immeuble où est installé le "ministère de la crise du logement".
La ministre du Logement Christine Boutin a déclaré vendredi à une délégation du DAL (Droit au logement) qu'elle n'était pas en mesure de reloger les 300 familles mal-logées, en partie installées rue de la Banque.
Le porte-parole de la LCR, le trotskiste Olivier Besancenot, a participé samedi 27 octobre après-midi à un rassemblement de soutien aux mal-logés installés depuis trois semaines rue de la Banque à Paris 2ème.
Il s’est beaucoup exprimé devant les caméras.
"Je suis venu pour soutenir les familles installées ici depuis trop longtemps et qui se heurtent à un mur de la part du gouvernement et des pouvoirs publics", a-t-il déclaré.
"C'est un appel au rassemblement le plus large et le plus unitaire", a ajouté Olivier Besancenot.
Il a poursuivi avec : "On continuera à être présents. La seule contrepartie efficace (aux évacuations) ce sera la présence militante permanente comme les associations Droit au logement". Cautionnement trotskiste assez explicite ?
Olivier Besancenot a encore souligné : "Pour la première fois, toutes les associations droit au logement sont rassemblées DAL, Comité action logement (CAL), CDSL, jusqu'aux Enfants de Don Quichotte". Toutes? Le Cimade, par exemple, va apprécier... Et Emmaüs? La LCR ne connaît pas? Toutes, donc!
Pourtant, moins d'une centaine de personnes a participé à cette manifestation, avec appels à la "solidarité avec les mal logés" devant la cinquantaine de tentes dressées sur le trottoir et occupées par une trentaine de familles en majorité africaines, au pied de l'immeuble où est installé le "ministère de la crise du logement".
La ministre du Logement Christine Boutin a déclaré vendredi à une délégation du DAL (Droit au logement) qu'elle n'était pas en mesure de reloger les 300 familles mal-logées, en partie installées rue de la Banque.
Situation étrange : les mal-logés sont exclusivement africains. Faut-il penser que les autres origines sont mieux logées ? Ou bien faut-il considérer qu’elles sont plus méfiantes et réservées sur la récupération trotskiste ?
Vous avez dit ‘étrange’ ? Les mal-logés africains sont des africaines ! Où sont les hommes ? Où se cachent-ils ? Pour participer à leur manière à la propagande, poussent-ils de faibles femmes devant ?
Paradoxale, aussi : bien que mal logés, les mal-logés ont des logements. Ces logements ne conviennent pas. Soit ! Mais le trottoir médiatique de la rue de la Banque est-il plus accueillant ?
Action convaincante…
Vous avez dit ‘étrange’ ? Les mal-logés africains sont des africaines ! Où sont les hommes ? Où se cachent-ils ? Pour participer à leur manière à la propagande, poussent-ils de faibles femmes devant ?
Paradoxale, aussi : bien que mal logés, les mal-logés ont des logements. Ces logements ne conviennent pas. Soit ! Mais le trottoir médiatique de la rue de la Banque est-il plus accueillant ?
Action convaincante…
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