Meyssan? Mieux vaudrait qu'il n'existât pas.
- né le 18 mai 1957, Thierry Meyssan est le petit-fils du colonel Pierre Gaïsset, observateur militaire de l'ONU et président de la Commission d'armistice Israël-Liban
- élevé dans un milieu très catholique, il rompt avec à l'adolescence. Il s'affirme bientôt comme « libre-penseur ». Il centrera une partie de ses activités autour d'un militantisme laïque tout en manifestant un vif intérêt pour les questions religieuses au point de suivre des études de théologie, pour mieux combattre l’Eglise.
- est journaliste et homme politique français, président-fondateur du réseau Voltaire
En 1989, il crée le Projet Ornicar, destiné à «lutter contre les discriminations fondées sur la sexualité». Cette association participe à la rédaction du rapport Roth au Parlement européen, négocie avec des organisations intergouvernementales le statut des fonctionnaires internationaux gays et lesbiens, et fait inscrire la dépénalisation de l'homosexualité au sommet de la CSCE .
En mars 1994, il fonde le réseau Voltaire dont l'objectif déclaré est la « défense de la liberté d'expression et de la laïcité ». Cette association publie des enquêtes remarquées sur l'extrême droite (en particulier sur le service d'ordre du FN, qui mène à une enquête parlementaire), et sur l'Église catholique (par exemple l'Opus Dei), etc. Ses adversaires l'attaquent plusieurs fois en diffamation, mais n'obtiennent aucune condamnation. Par la suite, il transforme cette association française en un «réseau international de presse non-alignée».
De 1996 à 1999, il est coordinateur suppléant du Comité national de vigilance contre l'extrême droite qui rassemble chaque semaine les 45 principaux partis politiques, syndicats et associations de gauche pour élaborer une réponse commune face à la montée de ... l'intolérance!
- élevé dans un milieu très catholique, il rompt avec à l'adolescence. Il s'affirme bientôt comme « libre-penseur ». Il centrera une partie de ses activités autour d'un militantisme laïque tout en manifestant un vif intérêt pour les questions religieuses au point de suivre des études de théologie, pour mieux combattre l’Eglise.
- est journaliste et homme politique français, président-fondateur du réseau Voltaire
En 1989, il crée le Projet Ornicar, destiné à «lutter contre les discriminations fondées sur la sexualité». Cette association participe à la rédaction du rapport Roth au Parlement européen, négocie avec des organisations intergouvernementales le statut des fonctionnaires internationaux gays et lesbiens, et fait inscrire la dépénalisation de l'homosexualité au sommet de la CSCE .
En mars 1994, il fonde le réseau Voltaire dont l'objectif déclaré est la « défense de la liberté d'expression et de la laïcité ». Cette association publie des enquêtes remarquées sur l'extrême droite (en particulier sur le service d'ordre du FN, qui mène à une enquête parlementaire), et sur l'Église catholique (par exemple l'Opus Dei), etc. Ses adversaires l'attaquent plusieurs fois en diffamation, mais n'obtiennent aucune condamnation. Par la suite, il transforme cette association française en un «réseau international de presse non-alignée».
De 1996 à 1999, il est coordinateur suppléant du Comité national de vigilance contre l'extrême droite qui rassemble chaque semaine les 45 principaux partis politiques, syndicats et associations de gauche pour élaborer une réponse commune face à la montée de ... l'intolérance!
De 1999 à 2002, il succède à Emma Bonino à la tête de la Coordination radicale anti-prohibitionniste, une organisation internationale visant à lutter contre le crime organisé en mettant fin à ce qu'ils voient comme sa principale source de revenus : la prohibition des drogues.
Depuis 1994, il est Secrétaire national du Parti Radical de Gauche. À ce titre, il a fait partie des équipes de campagnes de Bernard Tapie (élections européennes de 1994) et de la députée Christiane Taubira (élection présidentielle de 2002).
Quatre chefs d'État en exercice ont apporté publiquement leur soutien à la thèse de Thierry Meyssan : le président Mahmoud Ahmadinejad (Iran), le président Bachar_el-Assad (Syrie), le président Hugo Chavez (Venezuela)) et le Khalifa bin Zayid Al Nahyan (Émirats arabes unis).
Une douzaine d'autres ont reçu Thierry Meyssan à titre privé. Parmi les anciens chefs d'État et de gouvernement, on compte Mario Soares (Portugal), Francesco Cossiga (Italie) et Mahatir bin Mohammed (Malaisie). Manque le Pakistan, pour ‘bien’ faire.
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